Le blog de Pateric

 

J'ouvris le mitigeur, que j'avais préalablement réglé à la température qui me convenait, c'est-à-dire, à une température plutôt assez chaude pour la majorité d'entre-vous, messieurs... Puis je le douchais à l'eau claire.

  • C'est un peu chaud ! — Releva-t-il.

  • Non ! C'est une bonne température. La preuve : je viens juste de me doucher. — Affirmai-je.

  • Regardes ! — Ajoutai-je en venant me doucher de nouveau : — Elle est parfaite. —

Je fis gicler l'eau sur mes seins. Je creusai mes reins et fis de même sur mes fesses en le regardant.

  • Tu vois ! Tournes-toi : montres-moi ton joli petit cul ! —

Il s'exécuta sans un mot et je fis gicler le jet qui massa ses fesses en un jet puissant et bouillonnant. Lorsqu'elles commencèrent à rosir, je remontai le jet le long de son dos : le long de sa colonne vertébrale. Puis, je massai sa nuque :

  • Regardes-moi ! — Commandai-je. Il se retourna et je constatai :

  • Tu bandes comme un âne ! — Ajoutai-je en saisissant sa verge de ma main libre, pour la branler très lentement... Je coupai l'eau et replaçai le pommeau sur son support sans cesser de le branler lentement. Prenant le flacon, je l'ouvris et en versai une larme sur son gland que j'étalai de ma main masturbatrice. Le lait moussa comme de la crème sur un café brûlant. Je versai une nouvelle larme... Puis une autre... Et encore une... Sans cesser ma branlette jusqu'à ce que son sexe, de la hampe aux valseuses, fut entier avalé par cette mousse. Je lui demandai alors :

  • Dis-moi, avec tous les produits de soin que tu as ici, tu n'aurais pas un savon intime ? —

  • Oui ! Dans l'armoire derrière toi. Cette réponse, loin de me surprendre, me confirmait ce que j'imaginais juste... Or, ça ne l'était pas réellement : vous allez pouvoir le vérifier...

Je sais : avant de vous prononcer vous auriez souhaité connaître, au juste, ce que j'imaginais juste. J'imaginais simplement que dans cette partie boudoir de la réserve... Il devait s'y dérouler aussi de belles parties de baises... Et je me les imaginais plutôt homosexuelles que bisexuelles. Et je pensais fermement qu'avant aujourd'hui le boudoir n'avait jamais accueilli partie hétérosexuelle.

  • Petit vicieux ! — Le taquinai-je en le faisant mousser : — Tout pour être toujours prêt... —

  • Heu ! Pourquoi tu dis ça ? — S'étonna-t-il.

  • Il doit s'en passer de belles, ici ! Si cette douche et le canapé pouvaient parler, je suis sûre qu'ils auraient beaucoup d'histoires hot-hot à me raconter. — Plaisantai-je encore.

  • Oh eh beh, alors là... Suis désolé : tu te trompes — Répondit-il sur un ton vraiment désolé.

  • Tu vas pas me faire avaler que tu ne reçois jamais personne ! — Répliquai-je incrédule.

  • Si. Je te jure que c'est vrai : j'aime pas mélanger. — Insista-t-il.

  • Tu reçois qui tu veux, tu fais ce que tu veux, avec qui tu veux, ici, ça me regarde pas ! Je dis ça pour te taquiner... Aussi, parce que, côté soin, t'es équipé comme un salon de beauté ... —

Tentai-je de le rassurer tout en poursuivant mes douces caresses de mousse douce.

  • C'est que je passe beaucoup de temps, ici... Enfin : j'y passe presque tout mon temps. —

  • Ah, tu habites ici ! — Percutai-je soudain : — Je comprends mieux ! —

  • J'habite pas vraiment ici ! Et en principe, j'ai pas le droit... Mais... — Hésita-t-il gêné.

  • Mais... Tu manges où ? Tu peux pas cuisiner ici : bonjour l'odeur ! — Changeai-je de sujet.

  • A la cave ! Je me cuisine des bricoles à la cave... — Chercha-t-il à enterrer ma curiosité.

  • Oui ! Fais gaffe, à ton âge, faut pas manger n'importe quoi... — Insistai-je, maternelle....

  • Oui, oui... Oui-oui-oui-non arrêtes je vais jouir — Cria-t-il.

  • Non : tu jouiras pas ! — Lui interdis-je de jouir en serrant fortement la racine de sa verge.

Une bulle de mousse éclata au bout de son gland en faisant quelques bulles. C'est tout !

  • Piouf ! C'est fou ! C'est trop bon comme ça ! — Siffla-t-il.

  • Et attends : ce n'est que le début ! — Lui affirmai-je en prenant le pommeau de douche...

J'ouvris le mitigeur, testai la température... Et quand je la jugeais parfaite, je le rinçais. D'abord je fis gicler le jet sur ses pectoraux. Lorsque la mousse eût totalement disparu de sa verge, je pointai le jet sur son ventre. Devenu rose vif, je visai la bite qui tressauta deux fois. Puis je visai les testicules. Sa queue, en bite bien élevée, salua du bonnet. Les yeux clos, il serrait les dents :

  • Ecarte tes jambes ! — Ordonnai-je : — Mieux que ça : montre ton anus ! — Il obéit.

Je m' accroupis et pointai le jet. Il frissonna comme sous l'effet d'un glaçon. Sous mon nez, sa belle bite à l'apogée de l'arrogance salua de nouveau. J'ouvris mes lèvres, léchai le gland... Et l'avalai...

Ma bouche le masturba un peu : juste pour l'exciter davantage. Puis je stoppai tout en ordonnant :

  • Ne bouge pas. Et ne regarde pas non plus ! —

    pateric©

Mer 24 jun 2009 Aucun commentaire