Jeudi 12 novembre 4 12 /11 /Nov 20:34
 

Avant cette fin d'après-midi du vendredi 7 octobre 1973 où je concédais pour la première fois à Erica de m'accompagner dans ma chambre sous les toits, je n'avais jamais eu le privilège de l'admirer autrement que vêtue : même pas en maillot de bain.

Lorsque Erica arracha la clé de ma main et avala les marches de l'escalier en bondissant et en riant, je la chahutai :

Garde ton souffle : tu ne connais pas mon numéro de chambre. —

Tu paries ? —

Je ne répondis pas et choisis de ralentir mon ascension. Tout ce qui arrivait, m'amusait !

... La porte de ma chambre était entrouverte. Donc ? J'entrai. Elle était là, allongée sur mon lit, nue, bras et jambes ouverts, offerte somptueuse. Et ses vêtements éparpillés sur le parquet. Je me sentis... saisis, stupéfait, émerveillé... Ému ; ému de cette émotion qui vous raidit entier, depuis l'hypophyse jusqu'à l'apothéose. Alors, quand vous entendez le sujet de votre émoi réclamer effrontément :

Viens, viens ! Aujourd'hui, baise-moi : je veux que tu me baises ! —

Que faites-vous ? Vous restez scotchés ! Ne mentez pas ! Ou alors ? Vous êtes un gougeât.

Interdit, au beau milieu de la chambre, un mètre au bord du lit, je l'admirai. J'admirai ses petits seins ronds d'adolescente, adorables avec leurs tétons dressés, arrogants, j'admirai son buste, ses épaules, et ses bras, tous muscles bandés... Et j'admirai son ventre sculpté, ciselé, et ses cuisses ouvertes au grand-écart quasi parfait exacerbant leur musculature aux galbes superbes jusqu'à la pointe des pieds tendus : celui au dessin marqué et puissant de ses quadriceps, celui de ses adducteurs, si souvent trop inexistant chez les femmes alors qu'il contribue à rehausser l'érotisme du sexe féminin

... Je l'admirai.. Et bandai, fort, de la bite et des neurones. Et sûrement aurais-je bander plus fort si j'avais eu plus d'yeux pour l'admirer. Mais je restai là : planté. Aussi captivé que médusé, aussi interdit que charmé. Je restai là, planté, à vouloir me pincer pour vérifier que je ne fantasmais pas. Cette jeune fille, allongée là sur mon lit, offerte telle qu'en chair et en muscles, telle que brune aux yeux d'or, telle qu'elle est dans tous mes rêves d'idéal féminin : telle que je croyais si irréelle que ne pouvais imaginer qu'elle existât. Cette jeune fille me réclamait instamment, répétant et répétant :

Viens, je veux que tu me baises, viens, je veux, viens, viens... — Ad libitum !

Mais, non ! Non et non ! Je ne voulais pas venir, je ne voulais pas la baiser... Je voulais l'admirer encore et encore... Et je voulais l'aduler, l'encenser, l'aimer... L'aimer à la folie... Et je l'aimais déjà. Je l'aimais de convoitise, de beauté... Et d'orgueil. Et je voulais la garder éternellement ou mourir immédiatement : ma déesse, mon idole, ma « bonne étoile », l'éclat de mes nuits blanches...

Prenant ma tête entre les mains, je grattai ma barbe : ça m'apaisa et confirma que je ne rêvais pas.

Viens, je veux, viens, je veux, viens, viens... — Chant envoûtant d'une sirène mythologique.

Ne pouvant y résister plus longtemps, je vins m'asseoir à sa droite entre bras et jambe déployés. Mais, inerte, j'admirai encore sa beauté et je félicitai ma bonne étoile... Qui m'encouragea à poser ma main sur son ventre. Et m'encouragea encore à caresser sa peau ambrée de mes doigts qui, s'animant lentement, explorèrent les galbes de ses abdominaux parfaitement sculptés, idéalement fermes et denses. Et mes doigts se plurent à esquisser une danse sur cette « planche anatomique » plus que parfaite : une planche anatomique dont la chair plus que vivante s'irisa peu à peu de frissons délicieux. Mes doigts se délectaient des merveilles de leur exploration et je bandai ferme.

Maintenant, mes doigts exploraient le corps d'Erica, depuis le duvet doux et léger de son pubis, jusqu'à celui tout aussi duveteux de ses aisselles. Je caressais ses petits bras musclés, ses épaules, sa gorge, sa poitrine en ignorant ses seins. Je caressais sa nuque, ses épaules, sa gorge, ses aisselles et je faisais glisser mes ongles sur son flanc jusqu'à l'oblique de sa taille. Je contournais le nombril, deux fois, pour redescendre jusqu'au pubis où sous mes ongles je frisottais sa toison de soie ambrée. Et sa chair frémissait sous mes doigts, comme coule l'onde frissonnante sous la brise du printemps. L'ampleur de mes désirs enflammait mon corps, de la nuque à la queue. Et je bandai, encore plus : au point de souffrir du tissu du pantalon entamant les chairs de ma verge, écrasant mes testicules...

J'ôtai mon blouson, corrigeai mon assise et repris la course folle de mes caresses du bout des doigts depuis sa toison jusque sous ses seins. Et comme je m'apprêtais à les contourner, la main d'Erica s'empara fermement de la mienne pour la plaquer sur son sein droit. J'en frémis autant de surprise que de plaisir. Et le soyeux, et la souplesse de la chair de son sein contrastant étonnamment avec la fermeté de la chair de tout son corps, ce soyeux et cette souplesse détonnant avec la dureté du téton dressé, m'inclina à l'embrasser, à le lécher, à l'enrober de ma bouche, à le sucer et le flatter de ma langue, tandis que ma main s'empressa de caresser le jumeau. Erica frissonna, se crispa, gémit et saisit ma main sur son sein, et aussi fermement qu'auparavant la conduisit jusqu'entre ses cuisses. Aussitôt, sous mon majeur je sentis son clitoris bandé, bien extrait de son capuchon... Je fis rouler lentement son clitoris sous le bout de mon doigt. Plusieurs fois... Puis je le fis rouler du bout du doigt jusque dans la paume de ma main, glissant sous le frein, m'insérant entre ses petites lèvres, bien humides, jusqu'à l'orée de l'intimité vaginale. Masturbant son clitoris dans la paume de ma main, du bout de mon doigt glissant d'une lèvre à l'autre en m'immisçant doucement sur l'huis vaginal qui s'entrouvrait au transfert le suçant de ses chairs, je la caressais envahi par mille délices... Et je bandai sauvagement. Et Erica refermant vivement ses cuisses entre ma main se cambra, s'agita sur elle frénétiquement, gémit, secoua sa tête anarchiquement, se raidit, râla, hurla, se crispa entière ... et s'amollit, juste le bassin secoué par quelques spasmes erratiques... et les jambes enfermant ma main plus fort encore : si fort que je sentais des fourmillements avaler peu à peu mes doigts.

Nous y étions ! Et de l'admirer ainsi, flotter sur la nuée de l'orgasme, j'étais ravi au anges. Tout comme j'étais heureux d'avoir, devant mes yeux, de l'avoir pour moi seul, la confirmation qu'Erica est le concentré de sensualité que j'avais décelé dans ses yeux lorsque nous flirtions. Et de l'avoir vu aussi intense, de l'avoir vécu aussi explosif me comblait d'un bonheur total et suffisant pour l'heure : se suffisant lui seul et ne méritant pas d'être gâché par une copulation non soigneusement préparée.

En cet instant, telle était ma décision que rien n'allait pouvoir ébranler, surtout pas mon désir atrocement prenant de baiser et son érection de sauvage. Non ! Même pas les suppliques d'Erica... Erica qui à peine revenue toute chargée de frissons de sa ballade orgasmique me réclamait encore :

Viens, je veux, viens, je veux, viens, viens... — En bégayant d'une voix rauque

J'étais aussi bien dans ma tête que ce que mon sexe prisonnier me faisait souffrir ; j'étais aussi bien dans mon corps que ce que j'étais résolu à faire la « sourde oreille » à cette réclamation. Sauf que j'avais très chaud. Et j'aurais bien voulu me mettre « à l'aise ». Mais j'hésitais craignant qu'Erica se méprenne sur mes intentions. Il aurait juste fallu éloigner mon corps de l'emprise de ses bras pour :

Viens, je veux, viens, viens... Embrasse-moi... —

L'aubaine ! L'embrasser ! Evidemment que j'allais me faire une joie de l'embrasser, l'embrasser d'un baiser qu'elle ne connaissait pas encore mais qui ne manquera pas de l'embraser : j'en étais certain ! En outre, ce baiser allait m'offrir l'avantage de pouvoir me dévêtir sans « m'exposer », pas que j'aie craint d'apparaître nu à ses yeux, non, je ne voulais pas qu'elle vît mon érection : un point c'est tout.

Donc, je l'embrassais. D'abord ses seins : je les tétais, les caressais de ma langue, les aspirais... Et, à nouveau, le suave frisson envahit la chair d'Erica. Ma langue suivit son sillon se laissant volontiers conduire jusqu'au pubis. Là, ma langue tutoya le bouton turgescent repoussant un peu plus le bonnet ayant la plus grande peine à le coiffer un peu... Ma langue les flatta tous les deux jusqu'à ce que le clitoris gagnant sa démesure mes lèvres le saisissent et l'enveloppassent pour l'aspirer et de ma langue le chatoyer. Aussitôt Erica, arrondissant ses reins en feulant, offrant ainsi plus de son sexe à ma bouche, serrant fortement ses cuisses autour de ma nuque, se mit à ronronner de plaisir en caressant mes cheveux...

Avant Erica, aucune autre de mes maîtresses n'avait aussi bien su « s'ouvrir » à ma « science » du cunnilinctus. Et, déjà, toutes, m'en avait félicité. Et comme j'adore ça, « bouffer une chatte »... Aucune femme n'eut (ni n'aura) jamais besoin de m'en prier... Mais, bon : j'y reviendrais !

Quelques instants après elle commença à contracter ses fessiers... Puis à tortiller du bassin. Et donc, à branler son clitoris dans ma bouche. Comme je ne voulais pas le « perdre » je serrais mes lèvres autour et peaufinais mon langage. Elle s'agita de plus belle. Tantôt ronronnant, tantôt feulant, elle s'agita assez longtemps me parut-il, surtout pour une « débutante »... Et puis, quand sur ma langue survint ce petit goût fruité marquant l'arrivée du point de « non retour », cet instant où l'extrême jouissance peut céder le pas au déplaisir de la douleur, j'arrêtais net le « discours d'amour de ma langue » et relâchais doucement l'étreinte de mes lèvres... Mais Erica poursuivit la danse de son clitoris congestionné dans ma bouche, avant de bondir du corps entier désarticulé en hurlant :

Hou ha ha ! Oh oui... Non ! — En trois temps et deux mouvements et en s'avachissant sur le lit, toute molle et un tantinet « absente ». Et moi, je la badai en « bavant » de bonheur...

Le temps qu'elle me revienne, je me hâtai de me dévêtir. Je me mis entièrement nu. Je respirai. Ouf ! Et bandai plus fort qu'auparavant. Du moins était-ce la sensation que j'en avais, enfin libéré des vêtements qui m'engonçaient. A peine venais-je de poser mes fesses au bord du lit, à ses pieds :

Hou lala ! Que c'est bon ! C'est trop bon ! Viens, viens, viens ! Baise-moi maintenant ! —

Chanta-t-elle sur le thème parfait en six temps d'un boléro excitant sans perdre la mesure de la démesure de ses volontés...

Les rythmes ternaires m'envoutent pour tout ce qu'ils agitent, à la fois mouvement primitifs et instants de sensualité. Et ils m'envoutent davantage lorsqu'ils accentuent le décalage des temps en syncopant le second temps de la seconde mesure... Et ils excitent mes sens quand le boléro flirte avec la bossa-nova. Aussi quand le tango flirte avec la salsa. Et la samba avec le reggae... Et... Bref.

C'est à ce moment, assis à ses pieds là, au bord du lit que je refusais nettement à Erica de la baiser.

Exactement, ce n'est qu'à cet instant que je lui ai demandé pourquoi voulait-elle « baiser », en jouant avec le mot lui-même, en biaisant autour de son sens trivial, en tentant de connaître sa mise en accord entre ses désirs et ses sentiments... Mais, si je saisis clairement que tous ses désirs présents la poussaient vers moi, si je compris nettement que me « vouloir à elle » était « sa » raison suffisante : une raison qui ne nécessitait pas qu'elle se prît la tête à y réfléchir, je n'appris rien quant à la nature de ses sentiments envers moi : je n'appris rien de la valeur irrationnelle de son attirance... Au fond, cela devait-il avoir de l'importance ? Non. D'ailleurs, six mois durant ça n'eut aucune incidence sur nos relations, tant humaines que sentimentales. Moins encore sur nos relations sexuelles débridées.

Oui ! Nous « baisions » au moins deux fois par semaine ensemble... Même en période de « trouble menstruel » (qui était plutôt trimestriels et fort peu « gênants » : à 16 ans et demi... N'est-ce pas..). Et je baisais encore avec d'autres, puisque, ma foi... Elle ne me l'avait pas interdit... Sauf que, lorsqu'elle était là... Les autres... eh bien les autres comprirent vite que... Ce ne sera qu'après elle.

Vous comprenez bien qu'en pareille circonstance il n'aurait jamais pu être « question de sentiment » autant avec Erica qu'avec mes « autres copines » ? Parfait ! Eh oui, tout apparaissait « parfait »... Pourtant. Pour moi, rapidement ce ne fut plus « parfait » car dès ce 7 octobre 1973, c'est Erica qui remportait tous les suffrages de mes désirs, de mes envies, de mes plaisirs, même s'il n'était pas encore question d'amour : amour qui ne s'affirmera comme « entité » qu'après la naissance de notre premier fils. Sur ce point, Erica et moi sommes totalement en accord. En revanche, je n'ai pas la même lecture qu'Erica des souvenirs de ce 7 octobre 1973. D'abord, je ne me souviens pas avoir été aussi prolixe. Ni même aussi précis. Et encore moins si péremptoire. Néanmoins, globalement nos souvenirs concordent sur le fond comme sur la forme. Et il me semble peu important qu'ils aient été « confinés » en un même « espace de temps et de lieu » ou qu'ils se soient déroulés sur de la durée : nous sommes d'accord sauf pour ce que révèle le fond de notre « pacte du diable ». Et plus encore la forme du « portrait idéal » de l'homme que je représentais à ses yeux : il est de loin trop « idéal »...

Avant ce 7 octobre 1973, nous fricotions dans la rue, les squares et arrières-cours... Les soirs de cabarets, sa tante la surveillait étroitement... Jusque là, je confirme la version d'Erica. Y compris, qu'après la fin, je partais toujours en « charmante compagnie ». Et j'ai déjà dit : après ce jour, aussi. Le principal avantage que nous en retirâmes, Erica et moi, c'est que longtemps, sa tante ne vit rien.

Cependant, c'est avant de flirter avec Erica que je lui ai tenu « mon discours de la liberté libertine ». Dans mon souvenir, ça remonte au vacances de Pâques. Exactement, au vendredi 20 avril 1973...

Toujours dans mon souvenir, c'est ce même jour que je lui ai présenté mon « pacte du diable », pensant qu'il ne nous engagerait en rien, car j'étais persuadé qu'en raison des contraintes techniques, principalement notre éloignement, ce ne serait qu'un flirt éphémère. Mais, lorsqu'après son bac réussit en juin 1973 (oui : à 16 ans, et alors ?) elle m'annonça, de la joie plein la voix qu'elle avait choisi Paris sous prétexte que l'option qui l'intéressait n'était pas dispensée à Aix-en-Provence, je compris que je l'intéressais aussi, au moins, un petit peu plus qu'il y paraissait « au débotté ». Rapidement je sus que c'était assez réciproque. Comme je sus très vite que c'était une « forte tête » à qui l'on pouvait difficilement refuser quelque chose... Et j'avoue que, « mon pacte du diable », hé ...

Là, ce 7 octobre 1973, après avoir été ravi par l'intensité du deuxième orgasme d'Erica, je n'y aurais plus pensé du tout, si elle ne l'avait « remis sur le lit »

Allez ! Baise-moi, ou fais-moi l'amour si tu préfères mais prends-moi tout de suite. J'en ai envie : c'est tout. Pour toi, ça changeras rien : tu sais bien !

Eh bien non, je ne savais pas ! Ou plus. Et, penaud, je lui demandais ce j'aurais dû savoir qui faisait que pour moi, ça ne changerait rien.

On a signé un pacte tous les deux, non ? Baise-moi... Et baises qui tu veux : j'accepte ! —

Ah bon ! — Fanfaronnai-je : A condition que tu me promettes de ne pas t'interdire de faire de même... Ajoutant après avoir dégluti mon angoisse : Si jamais tu en éprouves le désir.

Et comme je m'évertuai à lui expliquer que « cet acte-ci n'est pas aussi banal que ça », qu'il est souvent... E tutti quanti. Reprenant sa pause de crucifiée, elle accepta out de même de le reporter :

Moi, je suis prête. Et je m'y suis bien préparée dans ma tête. Et puis toi aussi là, tu as bien préparé ma pacholle à avaler ton vier. J'ai pas raison ? Oh ! Que oui mon bébé ! —

Glop ! L'argot marseillais dans le texte sortant de la bouche toute douce de la toute « menue » Erica et ses 36 kilos m'appelant, moi et mes quatre vingt kilos, « son bébé »... J'en ai ris de bon coeur... Depuis toujours, Erica « ma moitié ». Mais je ne suis pas son double, d'accord. Et imaginez bien que si j'ai toujours préféré les filles fines ET sportives (pas maigre et lisses des « papiers glacés »), c'est parce (au moins à cette époque) j'étais aussi, sportif.

Bon ! Admettons que toi, tu as besoin de te préparer pour me baiser. Alors, je t'accordes une semaine, pas plus : je te l'accorde, à condition que tu me suces encore... —

Evidemment ! Je m'apprêtai à plonger ma bouche au coeur du calice quand elle ordonna :

Donne-moi ton sexe : je veux le caresser. —

Et plouf ! Et je confirme, du moins est-ce la sensation que j'ai gardée présente à ma mémoire, ce jour là, le troisième orgasme d'Erica fut le plus intense : le plus violent et le plus long. Tout comme je confirme qu'elle m'a intensément fait jouir de sa main et me répandre sur ses seins sans que je puisse lui résister. Parce que... Soyons clairs : elle me le serrait si fort que je n'aurais pas pu lui échapper sans dommage...

Qui a dit : Mon œil !

Parfois !


A suivre !

Patrice

pateric©
Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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Commentaires

Merci pour tous ces beaux textes!!!!!!!!!
commentaire n° :1 posté par : Lilly le: 10/12/2009 à 15h37

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  • : 28/01/2009

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