Textes érotiques

Jeudi 1 juillet 4 01 /07 /Juil 12:37

 

Sous son chapeau

Sous son chapeau, la belle marquise,
jusqu'aux confins de ses cuisses, blanche, repose assise
laissant à voir ses prémices.

Et sous cette fine frise brune,

on imagine voir saillir la prune

de l'emprise de ses caresses
mêlés de sucs et d'ivresse.

Sous ce voile plein d'odeur
la belle cache, indiscrète,
une alcôve secrète
qu'on rêve d'ouvrir en voleur,
mais avec doigté et douceur.

Et lors, voit-on la bouche, l'entaille ?

Dans son feu d'or rose
jusqu'aux fusions de sa faille
qu'elle t'offre en pose.
Et avec malices elle entre-baille,
son fruit cerné de lèvres en prose
qu'on voudrait lire en braille.

C'est une onde charnelle,
Flot d'un océan d'allégresses
où sa friandise sensuelle
déchaîne une harmonie d'ivresses,

Tel la source épaisse et nue
en extase de plaisirs tu plonges,

au coeur de sa chair fendue :
Marquise ouverte aux songes...

Par Pateric - Publié dans : Textes érotiques - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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Mercredi 30 juin 3 30 /06 /Juin 08:23

 

Au jour de mon plaisir

Voici venu le jour opportun où s'exposent mes soupirs d
u mâle au doux mal à jeun

Quand ton jupon tu retrousses dans l'au delà des bas dévoilant l'étoffe qui s'écarte

libérant ta fentine enflammée

 

Quand

ta fine main apprivoise mon voeux pieu à tes trousses
En gros soupirs j'inspire,
les désirs que tu m'inspires

Quand
Tes lèvres viennent murmurer les mots grivois auxquels j'aspire
De ton ardent feu qui brûle en toi

Quand
Tu as si faim de mon carquois que tu te plantes et que tu danses
à en jouir de jouir sans jouer

Quand
Ta douce voix enjouée excite mon désir encore plus fort

Je veux jouir

 

Encore jouir,

 

Toujours jouir

De toi qui m'immerge de plaisirs jusqu'à oublier toute indécence

 

Je t'aime plus fort

Encore


 

Toi, mon amour !

*     *      *      *       *

 

Homme, mon « Mien »

De l'éternité en toutes fins les poètes ont psalmodié mille maintes louanges des si douces courbes

De nos corps féminins

Nous, putains et hyménées mi-démones, mi-anges de sourds désirs fourbes jusqu'au fond des yeux

De leurs regards de feu

Sur nos tailles fines et nos allures félines nous emportent aux cieux..

Aujourd'hui, il vient mon tour d'encenser l'idole contre leçons de coutumes et axiomes d'écoles

Fantômes

Aujourd'hui, c'est bien de proclamer ta beauté
Ô Homme, Dans ta mâle volupté.

Je te contemple, tel le dieu descendu des cieux au Temple

Et ses secrets, nu sans futiles atours, offrant sans détour

A tes infidèles catins

A tes fidèles vestales
Le spectacle divin de ta force initiale

De tes mains empoignant à tes yeux exigeants je mesure en savourant la chaleur de ton sang
Je caresse du désir d'enfin honorer tes muscles guerriers et je rêve d'être Plaisir

A te faire bander.

Je caresse sur ton torse les douceurs soyeuses et velues

Mes mains passent en force et repassent,

frémissantes éperdues s'égarent aux confins sur ton ventre durci
Et soudain cessent enfin pour devenir ton nid.

Douterai-je qu'autant encore mon coeur batte si fort ?
Pourrai-je approcher encore ma chair plus près de ton corps ?
Pourra-t-il l'oiseau sans remords ne pas s'envoler trop vite ?
Qu'à ma seule caresse encore s'apprivoise le mythe ?

En cet instant je te serre trésor secret en son essence réveillant tour à tour tous mes sens

où je t'enserre
Homme de chair et de sang froid et dur comme métal au feu brûlant en mon dédale

Tu me sers

Je m'immole.

Molle.

Oui ! En cela je t'adore ! J'en donne cette main qui te tient à couper s'il le faut bien pour bien

Nul besoin que j'en pérore car ma main qui frémit quand en elle tu grandis
Sous ton armure d'Aurel je sens vibrer tes ailes.

Ô Homme

A qui je chante mes poèmes et plus encore mes cris

Mes plaisirs

Mes délires

Ô Homme de mes désirs...Tout simplement

Je t'aime


 

...

Par Pateric - Publié dans : Textes érotiques - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 11:10
 

SALOME

Au début du mois d'octobre, mon mari a « récupéré » une assistante Bolivienne envoyée par son gouvernement pour valider sa thèse de recherche en coopération avec la « recherche française » : c'est, ce qu'on appelle, un « post-doctorant ».
Jusque là, me direz-vous : — Aucun intérêt.
Rassurez-vous : c'est exactement ce que je me suis dit lorsqu'il me l'a annoncé ; il me l'a annoncé avec d'immenses précautions et autres enrobages diplomatiques ; il me l'a annoncé en me rappelant que, même s'il aime guère s'embarrasser à tutorer, il existe des circonstances où il n'a pas le choix. Et dans le cas précis de cette Salomé-ci, il n'avait eu aucune porte pour slalomer. Ou quelque chose de ce genre là, comme une espèce de faux-fuyant, ou d'euphémisme à me laisser entendre que :
... Si la pente s'avère glissante, je n'y serais pour rien... 

Attendez ! Je me dois d'être totalement honnête : mon mari m'avait donné l'information « franco ». Et, c'est moi qui, aujourd'hui sachant ce que je sais, m'amuse à vouloir en travestir l'aspect initial. D'autant que, comme à l'accoutumé où mon mari hérite d'une « assistante étrangère » il ne manque pas de nous présenter l'une à l'autre. Et je dois avouer que, parfois, certaines m'ont bien plu. Bref !

Il arrive aussi à mon mari de tutorer des « assistants étrangers ». Et j'ajouterai qu'ils sont plus nombreux que les filles. Mais pour eux, il ne trouve pas utile de me les présenter systématiquement.
Pourquoi ce détail, hein ? Et pourquoi pas : j'aurais pu en trouver quelques-uns à mon goût, non ?
Non ! Mon mari ne « pense » pas à ça.
Non pas que mon mari éprouve une quelconque crainte à ce que l'un d'eux me plaise, ni que je puisse en croquer quelques-autres. Non, il m'aurait laissée libre de choisir, et d'agir à ma guise.
Et (aujourd'hui plus qu'hier) je sais qu'il aurait eu plaisir à me savoir en jouir.
Non ! Là n'est pas la question, des présentations ou de leur absences, car j'ai « accès libre » à son Unité, tout comme lui aussi, l'a dans la mienne où je reçois des « assistantes et assistants de recherche » que je ne lui « présente » jamais. Cependant, il les a toutes et tous, croisés et vus... Et même, il a souvent beaucoup « communiqué » avec elles et eux. Certes, ce fut toujours, juste que de la « communication verbale ». Mais ça lui procure toujours beaucoup de plaisir : mon mari aime bien les « échanges » en général. Et surtout lorsque l'opportunité lui est donnée d'échanger dans la langue de Cervantès ou dans celle de Dante. Oui ! Celle de Don Juan, aussi. Mais pas là. Bref !

J'espère que vous avez tout bien compris, entre les lignes et les mots de mon préambule ?

Je peux donc passer directement au vif du sujet de Salomé ?
Merci. Mais, allons-y à ma manière.

Vous l'avez aisément saisi, si Salomé est Bolivienne, alors Salomé parle la langue de Cervantès. Oui !
Nonobstant le fait que c'est une indienne Aymara, sa langue officielle reste celle du conquistador ;
nonobstant, mon mari ne parle pas cette langue pour cette raison : protestant plutôt sur le fait que...
Et nonobstant encore le fait que mon mari en libertaire forcené défend farouchement les orientations politico-socio-économiques prisent par Evo Moralès et s'en réjouit, à l'inverse de nombre des « observateurs » du gouvernement français, plus généralement mon mari aime parler Castillan, Catalan, Occitan...
Salomé est venue chez nous (En France) avec l'aval de nos ministères de l'Intérieur, de l'Equipement et de l'Industrie ; aval très certainement accordé, avec une « forte arrière pensée » : certainement celle de « redorer » le blason de TOTAL... Parce que, l'Unité de mon mari s'est retrouvée étonnamment dotée d'une bourse exceptionnelle « d'études et de Recherches » généreusement dispensée par notre mécène du brut.
Peut-être le savez-vous : une bourse d'étude de post-doctorant culmine autour des 500,00 € mensuels. Grâce à TOTAL, et aussi à GDF-SUEZ, la bourse personnelle de Salomé s'élèvera à quelques 1 700,00€ mensuels. Et ce n'est nullement ses charmes féminins (qui sont très redoutables) qui en sont la cause, ou la raison, Non ! Je ne trouve pas ça anormal, bien au contraire : c'est la méthode employée ici qui me désole...
Néanmoins, en cette période de crises multiples, tout ce qui est pris... n'est pas à vomir.
Et puis, comme les spécialités de mon mari n'ont rien à voir avec le « déploiement économique de l'industrie française et son rayonnement dans le monde » (rayonnement peu brillant s'il en est), je suis persuadée qu'il n'ira pas se noircir dans des compromis sournois. D'autant que, dans l'exercice de ses spécialités de cindynique, mon mari n'est pas un homme de compromis, surtout quand il s'agit de « préservation de l'intégrité Physique » dans son ensemble. C'est ainsi que si, en bord de marge de sa discipline, mon mari se doit d'être « écologue », ses thèses en matière d'Ecologie sont en luttes perpétuelles avec les écologistes. Et pire : en révolte constante contre les faux-écologistes qui exacerbent le « culte de la peur ». D'autant que, hormis le culte voué aux seins honorés et aux culs encensés, mon mari est un agnostique forcené ; d'autant que le « culte de la peur » est une forfaiture conduisant à la « mise en danger de l'intégrité Physique ». Et que, le comble de ce culte, ne serait-ce qu'au strict sens des Lois en vigueur dans la « modernité du monde occidental », c'est d'être un délit pénal. 

Je le sens venir ! Vous allez finir par m'insulter :

Et Salomé dans tout ça ! Tu fais chier Erica avec tous tes discours... On ne se contentera pas que tu dises, entre parenthèses d'ailleurs, que les atouts féminins de Salomé sont redoutables...

Stop ! Ils sont redoutables. Et je vais vous les montrer. Certes, il faudra que vous fassiez vrombir votre bulbe rachidien pour les apprécier car pour l'heure vous devraient vous satisfaire avec mes descriptions verbales.

Donc. Mon mari me présenta Salomé deux jours après son entrée. Ce jour là, elle était vêtue d'une banale blouse blanche, et sa tête couverte d'une charlotte. Néanmoins, la pureté des traits de son visage me sautant au yeux, la main de la concupiscence cogna deux fois à la porte de mon coeur :

Entrez, entrez ! — La saluai-je en bafouillant : — Enchantée, enchantée. —

E yo tanbièn ! — Me rendit-elle la politesse en me tendant sa main au longs doigts, fins et parfaitement manucurés... Et à la peau d'une extrême douceur. Je crois que je n'ai jamais eu sous la main une texture de peau aussi douce. Et cette sensation associée à ma pensée me firent frissonner.

Presento mi mujer. Se llama Erica. — Dit-il à Salomé entre autres verbiages incompréhensibles.
De toute manière, je crois que si j'avais pu comprendre, je n'aurais rien entendu tant son visage me fascinait... Et ses yeux noirs, fichtre ! Et ce regard incendiaire, mazette : une défit à toute retenue... Holala ! Et cette bouche au carmin brûlant... Et ces lèvres mesdames ! Comment les décrire sans vous faire bander d'envie : des lèvres à pécher, à l'aspect soyeux du fruit du pêcher et à la chair sûrement aussi pulpeuse et fruité qu'une pêche de vigne qui excitent mon désir d'y goûter puis à goûter les lèvres qu'Eve dissimula sous sa feuille de vigne.
Je vous jure, qu'en cet instant, mon désir de plonger ma bouche entre ses cuisses, m'était quasi insupportable. Et cette « Joconde » qui ne quittait pas mon regard. Avait-elle saisis la fureur de mon désir, Jouait-elle la malice, jouait-elle la séduction ? Vibrait-elle autant que moi. Putain, je me serais jetée volontiers dans ses bras ! Si, dans la phrase de mon mari je n'avais saisis ceci, que je compris sans savoir lui attribuer de sens :

... Erica es mi chiquita Aymara adorada... — Expression qu'il m'a souvent offert dans le souffle de ses orgasmes pris en moi :
... Ma petite indienne adorée.... — ; — ... Ma petite Aymara des hauts plateaux... —
Et autres mots doux en référence aux indiennes d'Amérique latine. Bien avant que ma
curiosité s'éveille au point que j'aie besoin d'aller chercher les attributs ethnologiques de cette tribu... Je sais que c'est la mandorle de mes yeux qui, à ses yeux et pour ses sens, érotise tant mon image. Sauf que, redoutant soudain que mon érotisme indien palisse face à celui d'une vraie indienne, une indienne Aymara qui plus est, je ressentis un pincement sec et brutal au coeur, bien que je sache depuis longtemps que mon mari n'est pas un concurrent pour moi. Bien au contraire. Mais, en cet instant je ne pus dominer sur mon angoisse, ni sur un frisson de jalousie : moi qui ne savais plus, depuis fort longtemps aussi ce qu'est la jalousie, je me sentais jalouse de l'attention que Salomé portait à mon mari.
Mon mari est un excitant : c'est l'aiguillon de mes désirs... Et plus mes désirs sont fous, plus ils sont indécents, plus ils sont hors des conventions, plus son aiguillon est piquant. Et plus il m'interdit de m'interdire : plus il me pousse vers l'avant. Et plus, je m'en veux... Je m'en veux d'avoir un temps réfréné mes pulsions et mes désirs ; d'avoir valorisé le souvenir de plaisirs incommensurables en réponses aux chienneries de la vie qui m'en avait frustrée. Comme si la vie, par procuration du souvenir des grandeurs d'une passion indéfinissable et d'un amour fécond, pouvait sublimer et transcender les plaisirs vécus... Je m'en veux parfois d'avoir fait la sourde oreille à certaines tentations ; je m'en veux d'avoir trop longtemps refusé certaines invitations lubriques ; je m'en veux depuis que j'ai retrouvé la force de m'abandonner sans retenue ni ambages à mes penchants
libidineux ; depuis que j'ai succombé à nouveau et avec bonheur aux plaisirs licencieux, je m'en veux.

Ce n'est pas vieux : c'est revenu juste au début de l'été ; revenu par un défi lancé par mon mari ; revenu de manière fortuite, dans une tournure inattendue mais dans des débordements intenses, généreux et délicieux. C'est pas vieux mais c'est vite redevenu assez fréquent. Et assez différent mais, toujours, très intense. Et vous ne savez pas ce qui me procure le plus de plaisirs ? C'est la nature de nos nouvelles expériences. Oui ! Nos « nouvelles » expériences sont nouvellemment délicieuses parce qu'avant nous avions refusé de les explorer...

Mais nous y reviendrons sûrement : nous y reviendrons car j'ai décidé de terminer le récit de notre aventure omnisexuelle débutée le jour de la visite de M. OBAMA à PARIS... Comme quoi...

Je suis encore assez comme ça : lorsque qu'elle chose m'intrigue... Ou me secoue et m'excite, je pense à autre chose, espérant que « la pression induite » s'enfuira. Parfois, ça marche, parfois pas... Aujourd'hui, face à Salomé, ça ne marchait pas. Et lorsque mes yeux recroisèrent ses yeux, je fondis. J'étais persuadée que le soir même je ne pourrais m'interdire de questionner mon mari au sujet de Salomé et vouloir tout connaître d'elle... Et surtout, si, selon lui, elle ne fut pas moins insensible à mon charme que je fus secouée par les siens. Et je savais que je lui avouerai que je mourrais d'envie de baiser avec elle. Et je savais que je lui jetterai à la figure que je ferais tout pour la séduire, avec son aide ou sans... Avec sa présence et sa participation et peut-être davantage sans...

Le soir même, lorsqu'il rentra un peu après moi, j'étais sous la douche. Il tapa à la porte et me dit :

Laisse-moi en un peu ! — .Surprise dans mon rêve, j'arrêtai net de me masturber avec l'éponge :

J'ai bientôt fini — Soufflai-je — T'auras assez d'eau chaude.!

Rien à foutre de ton eau chaude ! Voudrais surtout pas avoir besoin d'eau froide pour oublier que t'as trop joui à te masturber en fantasmant Salomé.. — Ricana-t-il derrière la porte.

Connard ! — Hurlai-je en ouvrant la porte — Viens sucer ma dragée au lieu de divaguer —

C'est ça, c'est ça  ! — Bissa-t-il en me saisissant sous les fesses et me soulevant jusqu'à sa bouche. Puis, m'installant à califourchon sur ses épaules, bloquant les miennes à la faïence, mes lèvres sexuelles à l'aplomb de ses lèvres gourmandes disant ironiquement juste avant de m'emboucher :

Dis-donc ! Toi, si t'étais pas en train de te masturber, moi, je ne connais plus rien aux clitoris. Putain ! Je vais te bouffer jusqu'à ce que tu fondes... Et si tu veux fondre plus vite, dis-toi bien que tu as plus de chance que Salomé, qui elle, je le sais, devra se finir seule, en fantasmant peut-être à toi. —

Dites donc, vous ? Vous avez entendu comme moi ? Qu'est-ce à dire ? Pour l'instant ? Rien !

Pour l'instant, j'étais incapable de réfléchir. Et même, incapable de fantasmer. Mon salaud de mari !

Il me fit jouir en un clin d'œil, et trois tours de langue. Le salaud ! Et nonchalamment, il m'allongea dans la baignoire, prit le gel douche, me savonna entière, me rinça au jet dru et puissant de la fonction « massage » et il m'abandonna lâchement, avachie là, en disant, sournoisement :

Qu'est-ce que c'est reposant lorsque le travail est aussi bien avancé ! —

Et vous ne savez pas, vous ? Je bondis, le saisis au paletot et le tirai vers moi jusqu'à la baignoire, arrachant sa chemise, explosant les boutons du futal. Et surtout, ordonnant :

Reste-là : t'as pas fini avec moi. Et moi, j'ai pas commencé avec toi. —

Ti cresis — Jargonna-t-il en faisant mine de se défiler. Croyait-il que j'avais perdu mon latin ?

Tu fais ce que j'ai dit : tu obéis ! —

Mon cul — Gigota-t-il, du cul, justement.

Fais pas le mariole où je vais te le défoncer, ton cul ! —

Oh oui ! — Fit-il en se penchant vivement, geste qui me dévoila la pleine lune et son « trou noir ». Sauf que ce geste eût en sa faveur l'avantage de l'éloigner de mon emprise. Et que, se relevant et me faisant face, il me lança à la figure cette dure réalité :

T'as vu l'heure ? D... va rentrer.

(Note pour ceux qui ne le sauraient pas et pourraient donc se perdre en conjectures inutiles, D... est notre second fils : un ado aux yeux duquel on se doit d'exposer toutes les apparences de la dignité...)

Notre fils rentra effectivement peu de temps après : je n'avais pas terminé de me rhabiller.

Le reste de la soirée se déroula « sagement » en famille. Mais la nuit fut assez animée. Tant mieux.



Il était convenu, entre mon mari et moi, que Salomé viendrait le samedi à la maison. Evidemment : c'était aussi convenu entre Salomé et mon mari...

Qu'allez-vous imaginer ! La convention n'avait aucun objet d'ordre sexuel : la convention s'était établie en raison de la somme des documents administratifs que nous devions remplir pour valider , autant la bourse, que la mission de recherche de Salomé. Vous connaissez tous les lourdeurs et complexités des désordres administratifs nés d'élucubrations fantasmagoriques pondues par les « ordres bureaucratiques » ? Merci ! Parce c'est « pipeau » à côté de ce que nécessitait les nôtres. C'était une convention destinée à mettre à jour la convention de recherche entre un sujet de l'Etat Bolivien et un organisme de recherche para-public sous tutelle de l'autorité de l'Etat français : une convention épaisse de 150 pages en français. Et autant en espagnol. Une convention à dupliquer en trois exemplaires pour chacun des ministères et mécènes. Sans compter toutes les copies de visa et autres certificats obligatoires, notamment les certificats médicaux. Bref ! A l'heure du « document virtuel » dans l'ère bénie de « l'oeil de la fouine » et de « l'oreille indiscrète », vive le royaume du papier ! Et : —  Bonjour Monsieur du « développement durable », comme vous êtes joli, comme vous me semblez beau.... — Ah si, à ces mots... Ne se sentant plus, il pouvait me lâcher les seins... Au lieu de me bourdonner aux feuilles tel un essaim de guêpes désorientées... Bein voui ! Ce n'était pas notre pauvre Salomé et son français sommaire qui auraient pu en venir à bout toute seule. Ça non !

Or, bien que dès l'aube nous eussions commencé à assembler et compiler toutes pièces utiles, il advint que ce samedi matin passa comme l'éclair, sonnant l'heure de repas comme « marchant » sur les bordures du petit déjeuner : bien avant que nous eûmes achevé le dossier numéro 1. Pfuit !

Or, comme les samedis après-midi, pour mon mari (et mon fils), c'est rugby, il fut convenu entre-nous que durant l'entraînement nous poursuivrions l'assemblage de la convention toutes les deux, C'est ainsi que, pour au moins trois heures, j'allais me retrouver seule avec Salomé. Et j'en étais... Comment dire ? Toute émoustillée ? Oui ! Et, plus vulgairement : passablement mouillée. Néanmoins, nous poursuivîmes sérieusement le travail du matin, au moins durant... Trente minutes. Au plus, trente minutes, car assez vite j'eus peine à comprendre son français. Tout comme elle eût peine à comprendre le mien. C'est alors que je choisis de « parler latin ». Plus exactement de « parler comme les latins », c'est-à-dire, avec les mains. Plutôt, d'appuyer ma « communication verbale » par une « communication non-verbale ». Exactement comme quand on veut aller droit au but, sans passer par les cases préliminaires et développements, savoir : appuyer la parole par le geste. Mais si ! Voyons messieurs ! Vous savez bien de quoi je parle, non ? Je parle de votre mode de « communication » favori, celui de la drague par lequel vous adressant à votre conquête vous lui déclarez : — T'as d'beaux yeux tu sais ! — En lui posant votre main sur son cul. Ah ! Vous voyez !

Aujourd'hui, Salomé avait revêtu une tenue féminine de bon goût, ni trop excentrique, ni trop sage. Le chasuble bigarré aux couleurs andines qu'elle portait était suffisamment échancré pour rendre sa poitrine attrayante, sinon désirable. Mais suffisamment clos sur la gorge pour être des plus décents. Les longues échancrures sur les côtés de la taille pour ne rien montrer de sa peau excitaient l'envie. Elle portait une jupe courte et pourpre lui seyant au mieux dévoilant le haut de ses cuisses qui me semblèrent d'emblée du plus beau galbe tracé au dessus de genoux délicieux.... Une jupe courte à mi cuisses parachevée par de légères bottines en cuir souple et sans talons enveloppant ses jambes jusqu'à environ cinq à six centimètres sous les genoux. Genoux ? Érotiques les genoux de Salomé ?

Je me souviens, un jour il y a fort longtemps, au début de notre union, j'avais demandé à mon mari :

Qu'est-ce que tu regardes en premier chez une femme ? —

Ses genoux ! —

Alors, je n'avais pas compris. Mais je m'étais inquiétée... Et aussi un peu excusée de mes genoux :

Moi, j'ai pas de jolis genoux... —

M'en fou ! Toi, je t'aime. — M'avait-il illico coupé l'herbe sous les pieds

Et puis, cette question « pourquoi les genoux ? », je ne l'avais plus jamais posée à personne. Et même, je l'avais totalement oubliée. Et voilà que c'est en voyant les genoux de Salomé que je me dis :

Il avait raison : c'est le genou qui fait tout dans l'équilibre, la finesse, l'allure et la beauté des jambes des femmes. C'est même ça qui contribue à mettre en exergue sa croupe et sa cambrure —

Pourquoi ? J'en sais rien ! Je vois ça chez Salomé. Et je confirme ce que je vois.

Point...

T'as d'beaux yeux tu sais ! — Finis-je par abandonner tout argument à lui faire comprendre quoi que ce soit d'autre que la caresse chafouine de mon doigt sur ses lèvres justifiant de ses beaux yeux.

Elle posa une main sur ma joue et la caressa avec une extraordinaire douceur. Je frissonnai. Sa main glissa vers ma bouche. J'entrouvris mes lèvres et léchai son majeur. Elle l'insinua entre mes lèvres et je le suçai. Elle approcha ses lèvres des miennes et je les léchai avec avidité. Sa langue se mêla à la mienne. Et nous nous blottîmes, bouche à bouche, seins contre seins. Puis nous commençâmes à nous caresser, bien vite nos poitrines à l'air... Sa peau est d'une extrême douceur. Et ses seins sont d'une fort belle tenue... Et d'un galbe du plus bel effet. Et... Entre mes lèvres j'enrobai un mamelon et le suçai tout en le caressant de ma langue. Salomé serra ma tête contre elle me signifiant que ma succion lui est agréable. Elle le retira et aussitôt m'offrit l'autre sein à choyer tandis qu'une de ses mains ouvrant ma jupe glissa dans mon string et vint chatoyer ma vulve...
Nous y étions !

Avec maintes délicatesses, elle me dévêtit entière. Et c'était tendre, doux et excitant à la fois.
M'invitant à m'allonger sur le canapé, elle entreprit de caresser mon corps tout en gardant assez de distance pour m'interdire de la caresser aussi. Et son attitude était suffisamment claire pour que je comprisse qu'elle désirait se concentrer sur le plaisir qu'elle souhaitait m'offrir : après tout, je n'allais pas m'en plaindre, même si, dans la plupart de mes expériences lesbiennes, le plus souvent, ce fut moi qui ouvrit les ébats... Même si, je mourrais aussi d'envie de la caresser conjointement. Donc, je m'allongeai confortablement, écartai et relevai mes cuisses. Elle embrassa mes seins, un peu trop furtivement pour mon désir, descendit lentement entre mes cuisses, goba mon clitoris et l'honora avec beaucoup d'habileté... Et d'attentions.
Ses mains glissaient langoureusement sur mes seins, sur mon ventre. Tantôt, elle faisait rouler mes mamelons entre pouce et index, tantôt elles les pinçaient entre l'index et le majeur tandis qu'alternativement aussi, sa langue massait mes limbes, ses lèvres avalaient mon bouton d'amour, sa langue s'insinuait aux portes du paradis... Et tout cela
étant d'un extrême délice, je m'alanguis réclamant de tous mes sens l'explosion d'un orgasme violent. Dès le début, j'avais compris que Salomé avait choisi de me faire languir ; choisi de le faire monter lentement pour qu'il soit plus irrémédiable, plus intense encore. Et comme je me connais, comme je sais qu'en pareille circonstance où je gamberge, je peux le retarder à ma guise, voire, ne jamais me laisser prendre par l'orgasme. Surtout, comme je voulais jouir de Salomé... Et en jouir intensément, je me concentrai sur chacune de ses caresses... Et aussi sur chacune des réponses de mon corps...

Je le sentis venir ; je le sentis monter depuis mon sexe jusqu'à mon crâne ; je le sentis s'emparer de mon ventre, en exciter tous ses muscles depuis le diaphragme jusqu'à l'anus ; je sentis mon dos quitter le canapé, je me sentis m'envoler, à la fois légère et « remplie »..; de plénitude, et je sentis le goût âpre de ma jouissance couler dans ma gorge. Et je m'entendis hurler ma jouissance...

Ouh ! Que j'étais bien !

Viens, C'est à moi maintenant.— Lui dis-je en bondissant : — Viens allonge-toi. —

Elle resta immobile Et son regard m'apparut éteint. Et je ne compris pas pourquoi elle me dit :

Espera (Attends) — Pourquoi ? Cette attente laissera-t-elle place à, l'espoir ?

Franchement, en cet instant, je ne me posais pas la question sous cette forme, ni même «sur ce ton». Non ! En l'instant je faillis m'énerver, comme quoi : — ... ça y est, t'es tombée sur une compliquée. — Quoique, son regard... que je sentais "douloureux", me faisant gamberger, mon énervement disparut. Et me voici, là, alors que je peinais encore un peu à retrouver une respiration paisible, me voilà à échafauder encore une de mes théories fumeuses sur le « mal être soi » et sa dichotomie du « bien être en soi »... Bref ! Peu importe le « couvert de soi »... Salomé possédait une douleur en soi, et je devais la voir...

Ce qui n'a strictement rien à voir à « être couvert sur soi » et encore moins « couvert de soie » ; soie que j'aime bien sur moi, parfois... Moi en cocon de soi... Et en soie, je suis moi. BASTE !

Au fond de moi, j'étais parfaitement convaincue qu'il y a quelque chose qui cloche... Et, j'avais raison :

Qu'est-qu'il y'a ? — Lui demandai-je doucement en caressant sa joue : — Dis-moi tout ! —

Né souis pas una mujer comme té — Me jeta-t-elle à la figure.

Pourquoi ? Soy strange mujer ? — Bafouillai-je multilingue désorientée.

No, no, ti, eres una bonita mujer, Yo es una mujer extraña.

J'ai beau être très limitée dans la compréhension de l'espagnol, je croyais avoir compris d'autant qu'elle s'était exprimée très lentement en détachant bien chaque syllabes ; j'avais compris, que je suis une « bonne » femme et elle, une femme étrange. Etrange ? Mais en quoi ? J'en étais curieuse :

Je miro – (je regarde) En tendant ma main vers sa jupe pour y fouiller. Elle eut un geste de protection.  Mais, ses yeux noirs étincellant dans mes yeux, elle écarta ses bras et me laissa venir à sa découverte ... Et...
Dis moi, ça, comme clitoris, ça s'imposait là. Parfaitement, là, dans ma main, je tenais une bite et je me dis :

Une trans aussi belle qu'une belle fille... Douce comme la plus douce des femmes... Génial ! — D'autant que jusqu'à présent mon tableau de chasse est vierge de tout transsexuel. Et je le lui dis...

Si pas touche, moi pas voir tu que es transexuelle. —

No ! — Répliqua-t-elle comme une défense : — No soy transexuel, soy pseudo hermaphrodite. —  
Puis, prenant ses seins entre ses mains elle ajouta : — Mis senos son naturales. —

Bon, Pour la subtilité, transexuelle ou pas, hermaphrodite ou pas, ça attendra, — Pensai-je. Aussi, l'embrassai-je voluptueusement sur la bouche sans que ma main lâche sa bite prenant quelques ardeurs... Alors, dans ma main lentement, je l'entrepris pour la faire bander. Ce qui fut aisé.

Ma bouche quitta ses lèvres. Doucement je la forçai à s'allonger en lui disant : — Me gusta !

Evidemment vieille cruche, que ça te plait. Me pinça mon diablotin : — Allez suce-la. —

Inutile qu'il insistât ! La terre aurait même pu trembler, moi je ne tremblerais pas en l'embouchant, en l'embobelinant, en lui suçant le gland...
Salomé commençait à frisonner en gémissant doucement... Je comprimai sa verge à la racine pour la dominer :
— D'abord, je veux me l'enfourner Etais-je bien décidée...

Je laissais un peu sa bite respirer : je la remplaçais par ses seins. Salomé gémissait aussi. Et à l'instant où je me dis : — Allez zou, en selle ! je m'insultais : — Merde le préservatif... —

Momento ! Dis-je à son attention. Je me redressai, tirai sur un livre et ouvrit la « boite à bonbons » planquée derrière (heureuse de m'en souvenir encore, qu'il y avait là, une boite à bonbons !). J'y pris un préservatif duquel je coiffais la bite de Salomé ; bite à laquelle je dus redonner un peu de vigueur avant de venir la coiffer de ma vulve. Humm ! Parfaite pour mon petit minou que cette bite : presque du « sur-mesure » mesdames. Et ça, le « sur-mesure » c'est « au bonheur des dames », n'est-il pas ?
Donc, sans faire pornocrate, je vous avouerais que ma chevauchée fut fort agréable, même si elle ne fut pas la « chevauchée fantastique ». Sûrement avions-nous d'abord besoins de s'apprivoiser mieux, ma monture et moi. Mais je suis sûre qu'au prochain coup, ce sera meilleur : ce coup-ci fut un galop d'essai. Mais un bon coup.

... Salomé et moi avions repris « tenue correcte » et nous efforcions de reprendre le cours de nos assemblages administrativo-casse-burnes, lorsque mon mari revint du rugby en disant :

D reste chez H jusqu'à demain. —

Pfiou ! Que je l'adore mon mari quand il anticipe ainsi ; quand il sait ce que j'espérais qu'il arrivât.

Toutefois, là, je n'allais pas le remercier... Pas avant qu'il m'ait dit s'il savait qui est Salomé.

Ça va, pas de soucis, tout baigne ? — Me demanda-t-il.

Pas vraiment — Répliquai-je sèchement. Ça le fit rire. J'eus envie de le gifler : pour de vrai.

C'est pas ce à quoi tu t'attendais ? — Demanda-t-il du même rire.

Et je devais m'attendre à quoi, selon toi ? — Surtout pas dévoiler mon jeu. J'ai l'habitude de ses questions ambigües : de ces questions qui « touchent à tout » aussi bien qu'elle ne servent à rien.

Eh bien, à ce foutu dossier pardi ! De quoi d'autre pourrait-il être question, — Me charria-t-il sans charité aucune. Et il enfonça le clou de son étonnement : — Vraiment ! Toi alors ! —

Dis tu vas pas dire qu'on s'est branlées les couilles tant que tu y es — Répliquai-je tout de go.

Ah bon, en plus ? Et dis-moi, à qui avez-vous branlé les couilles ? — Joua-t-il hilare.

Il excite mes nerfs lorsqu'il joue ainsi à celui qui veux rien comprendre. Et le bougre, il joue bien.

C'est façon de parler, tu le sais — Me défendis-je. Surtout, je voulais la lui poser « la question ».

Façon de parler, façon de parler : ton odeur de cul, ça, c'est pas une façon de parler, non ? —

J'allais « couper court ». Et tant pis pour l'effet de surprise : j'allais lui rentrer dans le lard.

Dis-moi vicelard, tu le savez, toi que Salomé avait une paire de grelots ? —

Et un gong au milieu, oui : c'est dans son dossier médical... —

Je restais pantoise, comme une poule perdue en gare de Pontoise. (Cherche pas : pur effet de style !)

Cherche pas ! Et ne me dis pas que tu es déçue, je ne te croirais pas. Parce que tu sais que lorsque tu as bien joui, j'en respire délicieusement tes effluves et le lis parfaitement dans tes yeux. —

Attends salopard, attends qu'on se comprenne mieux, toutes les deux, et je vais te la faire prendre au fond de ton trou du cul, sa bite. —

Pourquoi attendre : je traduis tout de suite ! —

Effectivement, il se lança dans une phrase interminable de laquelle je parvins à grand peine à extraire quelques mots connus. Mais je reconnus le fond du sujet. Et je sus en gros que ce qu'il dit à Salomé n'était rien d'autre que ça : rien d'autre que merci pour elle (moi)... et que si Salomé veux de son cul, lui, il est OK.

Et je suis certain que tu va bander, juste à la voir m'enculer. — Me nargua-t-il.

...

Honnêtement ?

Au delà de tout ce que j'avais pu imaginer avant.



Peut-être, un jour, vous raconterai-je cet « épisode ».

Peut-être, un jour.

D'abord, j'ai besoin de l'analyser avant de l'intégrer.

Et plus encore d'autres besoins avant de vous le livrer intelligiblement.

Et puis, il est prévu que Salomé reste ici pour 24 mois...

Sans vouloir nous l'accaparer; il se pourrait bien que... Non ?

Sait-on jamais...



Au-delà de tout ça, il est vrai que le dossier médical parle clairement de son « pseudo-hermaphrodisme » en précisant que son ADN et ses chromosomes, XX, sont 100% féminins.

Et précision est faite que son « clitoris » masculin est une aberration génétique, « particulièrement présente en proportions remarquables chez les indiens Aymara de l'alti plano ».

Et ces entre guillemets sont un doux euphémisme du « langage médico-scientifique » pour ne pas dévoiler la réalité.

Effectivement, c'est ainsi que l'on exprime le fait que cette proportion est plus forte chez les Aymara que dans toute autre tribu ou population. Sans qu'on puisse en expliquer les causes, ou les liens de causes à effet, ni préciser que cette aberration touche moins de 1/3000 individus.


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Par Pateric - Publié dans : Textes érotiques - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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