micro roman

Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 13:38
 

C’est ainsi que…

La vie sentimentale de Jules, entre Camille et Gérard, n'était pas banale. Et sa vie professionnelle, au service de l'un comme de l'autre, non plus : [...]

Un soir où il était un peu las ... Leurs voix le berçaient et ça le faisait bander : le voyant, il voulut se redresser... mais Camille l'interdit... d'une main douce qui glissa vers son pénis. Et Gérard approuva... et conseilla à Jules :

[...] repose toi, petit.

Une main agile... et leste qui caressa fantastique érigé, dévoilé nu jusqu'au plaisir manipulé... jusqu'aux nues... ce que tu mets trois mois à produire en « purée de soi ».

Wwouafff ! — S'excusa Jules car c'était plus fort que lui.

C'est beau n'est-ce pas ? — S’extasia Camille. Gérard en sourit. Jules en fut sidéré [...] Et Jules partit, tétanisé...

[...]

S'il te plaît, ma trousse, vite, que... —

Jules venait de s’absenter pour un moment d'une durée indéfinie par sa conscience, d'où il reviendra directement nu sur le lit entre Gérard et Camille

[...] —

Camille était allongée, nue, contre Jules et le caressait en le regardant le plus maternellement du monde. Gérard lui sourit, se leva et les quitta. Jules paniqua… Et Jules repartit… en délire.

En cours de nuit, Jules se réveilla ardent et brûlant. Camille toujours aussi nue dormait sur lui. Elle dormait cuisses ouvertes. fesses pleines : statue d'Apollon... Cependant... le prépuce bandé de Camille flirtant avec sa verge bandée n'avait aucun commun atout à rivaliser de démesure [...] Et les corolles de chair de Camille couvrant son gland entier affirmaient naturellement son sexe féminin. Jules rêva du fantasme copulateur(*) où sa virilité envahissait sa féminité...

(*) On le sait que normalement on doit dire : copulatif. Mais là, hein, comme ce fantasme sonne aussi comme une capitulation, faut bien « inventer », non ?

[...] Bref ! Camille se réveilla [...] en criant :

Oui, viens libères-toi, libères-moi, encore viens ! Ouiiiihch

Et en dansant de son prépuce coiffé de ses pétales brûlants sur le prépuce ardent et décoiffé de Jules... qui livra en vrac répandue sur la toison... et jusqu'aux seins de Camille la rançon des libations de sa passion (...)

Jules lut son ravissement dans la délectation de Camille [...]

La bouche ouverte Jules libéra l'aveu sensuel de tous les vœux de son cœur charnel avide de luxure : — Je t'aime Camille... Je te désire... —

Camille (...) de ses lèvres secrètes embrassant sa tête discrète... enserrant le roc de chair excité, elle répétait :

— Je t'aime, mon bébé d'amour ! Je t’aime, mon bébé d’amour… —

[...] Et Jules, yeux ouverts vit loin derrière elle, à l'angle de la chambre :

Gérard nous observe — Suffoqua-t-il à l'oreille de Camille.

(...) N'aie pas peur mon bébé (...) de nous... ni de toi. —

Le regard de Jules cavalcadait... de Camille à Gérard... Et les regards de Jules et de Gérard se croisaient au passage du mont de Camille. Et de voir ce que Gérard observait fit si bien bander Jules que Camille se re-plût à polissonner (...)

L'étreinte de Camille le dominait [...]

L'instant suivant, [...] Jules sentit s'enfiévrer la chair de Camille (...) et sur son ventre se contracter son ventre et… son souffle désordonné envahir son oreille d'un chant de plaisirs [...] Jules... réalisa qu’il devait se dominer et laisser Camille atteindre le firmament de sa jouissance avant de lui offrir le jus de la passion en nouvelles libations sur l'autel de son corps : l'amour est un partage équitable (...)

Et Camille se redressa, râla, se crispa (comme toi quand t'éjacules), soupira puis roula sur le dos à côté de Jules libérant son doigt d'amour insultant les cieux dans le plain champ visuel où son regard croisa celui de Gérard. Et, dans ses yeux, Jules crut lire une joie infinie [...] Et Jules crut à la bénédiction de Gérard

[…] Jules en sera sûr beaucoup plus tard. Car à ce moment précis, Camille seule était son aimant […] Jules vit Camille frémir et tressaillir encore... et son tout-moi se tendre vers elle ; enfouir sa tête... entre les cuisses (...) Et se surprenant à contempler les jouissances de Camille, Jules sut qu’il adorait ça, aussi...

Excuses-moi Gérard... c'était trop fort et... — Dit-il bouche pleine.

[...] —

Se justifier, rassurer, séduire, éclaircir, admettre, accepter, partager (...)

Leur « trialogue » dura longtemps ... pour s'accorder aux volontés de Camille.

Pas vrai mon trésor : t'es d'accord ! Dis-lui que moi je le veux !

Ton parfumé, soupir vanillé…

Oui chérie : je suis d'accord et je vous aime. — Confirma Gérard.

Mais je vous aime aussi, même sans sexe. — Contesta Jules.

[...] —

On sait que cela vous semblera tiré par les cheveux. Mais dans cette nouvelle, il serait peu raisonnable de vous plonger dans un débat philosophique traitant de la mise en accords d'un trio : soliste, bassiste y alto. Alors on fait court !

[...]

... éclipsant son regard lagonique qui envoûte, Camille l'abandonna en chantant de sa voix aux timbres qui ensorcellent :

Qu'il est beau ! Pas vrai qu'il est beau ? —

Veinarde ! — Plaisanta Gérard en fermant la porte sur eux.

* * * * *

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Pateric©

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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 13:33
 

Le plus souvent !

Ainsi va la vie : le plus souvent, la vie va mal, mais il advient quelquefois que la vie va bien. Pour Jules, aujourd’hui, elle va même très bien.

Jules a suivi une formation ... des spécialités de l'Environnement... Et il devenu le conseiller annoncé et promis.

Le plus souvent c’est Jules qui conduit Camille.

[...] Jules aime Camille... mais il n’est pas son amant. Et même, il a encore plus peur de Camille...

Un jour... après une commission assez animée, Camille était agacée. [...] Jules avait peine à se concentrer sur le flot de circulation [...] Et tout ça le rendait triste. Et Camille, irritée, l'inondait de ses vagues mots. [...]

— Nous arrivons : cinq minutes et tu pourras te reposer... — Dit Jules.

Pas fatiguée... — Marmonna Camille.

Ou t'énerver… Ou, si tu veux, je pourrai te masser le dos… —

[...]

... Et, pourquoi tu ris ? — S'irrita Camille.

Pour rien — Faux-Fuya-t-il dans le coin de son sourire.

Mens pas, je sais […] Je te connais trop bien ! — Affirma-t-elle

... C’est toi Camille [...] Quand tu boudes... tu me ravis. — Sourit-il fourbe…

Camille le mata (dans tous les sens que tu peux attribuer à ce verbe).

Et masser mon dos, ça t'excite pas ? — Lui demanda-t-elle.

On est chez nous. — Bifurqua-t-il au plus court.

ça m'excite déjà. — Dit-elle sans raccourci.

Quoi ? – Demanda-t-il d'un ton innocent très mal couvert.

Les yeux verts ce Camille brillèrent dans le noir... [...] et ses yeux scintillants dirent : Ah, ah ! ça te fait bander, hé !

[...] Plus tard, alors qu’il cuisinait, la voix grave de Camille l'interpella :

Eh bien Jules ! Que fais-tu dans la cuisine ? Je t'attends, moi ! —

Il en frémit de peur...

Peut-être faudrait-il préciser pourquoi, cette peur le saisit encore ? [...]

Bof... Ne nous attardons pas sur les méandres de la pensée Julesque [...] Sauf que... Le sait-il, Gérard, que Jules flatte les muscles de play-boy de l'anatomie féminine de Camille ; qu’il masse... qu'elle ronronne, qu’il fantasme et bande ? Et... qu'après... elle le libère en spasmes éjaculatoires qui se répandent sur son ventre et ses seins ?

Alors Jules ! Tu rêves ? —

Non Camille, j'arrive ! —

[...]

Allez, ne me fais plus languir, secoue-toi ! — Conclut-elle...

Ce soir là, Jules massa Camille comme jamais avant [...] Camille se livra entière à Jules par une voix mélodieuse tenue secrète jusqu'alors [...]

Jules vibrait d'un plaisir suave ... Ce soir là, Jules comprit Camille [...]

Je fais de la politique parce que... je ne sais rien faire d'autre... —

Lui expliqua-t-elle... Et Jules proposa de la servir :

Si tu veux, je serais ton premier violon. —

De fait... il deviendra son « premier archer ». Et... il sera très adroit […]

Jules n'avait pas entendu Gérard rentrer... Camille, susurrait tendrement :

Tu masses comme un Dieu [...] Je t'aime ! —

Jules ne savait pas... Mais l'aveu de Camille le fit fondre de peur puis, ruisseler plus.

Jules, j'aime Gérard... Grâce à lui je suis « moi » et je l'aimerai toujours. Toi, Jules, je t'aime parce que tu fais vivre les désirs et les plaisirs de la jeunesse que je n'ai pas eu. Jules, je vous aime ... j'y peux rien... je ne saurais pas comment t'expliquer...

Camille, pas ça ! — Cria Jules en tournant ses talons... Et en tombant nez à nez sur Gérard, hilare de toute sa barbe blanche... Jules serait tombé si Gérard n'avait serré fortement son épaule contre son bras en disant à son oreille :

Camille est heureuse enfin. Merci Jules. —

Je ne suis pas l'amant de Camille... — Se défendit Jules.

— Tu gamberges trop, Jules ... oublie... les idées reçues. — Chuchota Gérard.

[...]

Camille finissant d'attacher son peignoir, se retourna, et voyant Gérard, elle sourit et dit : — Ah, t'es rentré ! ça va Mon amour ? —

Camille se blottit dans leurs bras et avala les lèvres de Gérard...

* * * * *

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Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 17:23
 

Aberrations et bla-blas !

Un matin, avant l'aube l'interphone déchira un cauchemar. Il y tapa dessus. La voix de Gérard s’excusa : le chauffeur de Camille vient d'avoir un accident en venant la chercher. Jules si tu voulais le remplacer... (...)

Conduire Camille... et rester trois jours auprès de Camille. Euh ! Répondre aux questions de Camille sans paraître trop stupide : trouver des mots... [...] Parler à Camille pour ne rien dire à Camille ? Bon y'a pire. Y'a surtout : dissimuler son trouble et sa peur de Camille... Et pire : regarder Camille sans voir Camille ? Ah bah ! Ce job était une nouveauté qui le désemparait. Il trembla des genoux

[...]

Néanmoins, ils partirent un peu plus tard... pour arriver pîle-poil sur le parking où il apparût en bête curieuse aux yeux des chauffeurs officiels qui lui posèrent cent questions... Jules humorisa : — J’suis ici à titre accidentel ! — Mais comme les autres persévéraient à le regarder de travers, il remonta en voiture, alluma la radio, ferma les yeux et se rendormit.

On tapait à la vitre. L'un des chauffeurs mimait et gesticulait : « Réunion ! Terminée ! Eux, arriver ! » Jules vaguement agacé débita cette phrase sèche : — Ce n'est pas parce que je suis différent de vous que je suis un sauvage qui ne comprend pas le français ! — A faire pâlir l’autre... Bref !

Camille, seule lumière bleutée au centre d’une trentaine de sexagénaires gris, illuminait le porche. Jules pinça son sourire.

Le parterre discuta quelques instants. Cinq ou six cent flashes plus tard, le parterre éclata en particules d'individus qui se répandirent tels des gibbons à bosses s’enfouissant dans leurs carrosses…

Jules imita les autres ouvrant la portière de l’arrière droite, mais Camille disant : — non ! — s'installa à la place du mort. Jules claqua les portières et contourna le véhicule pour rejoindre son volant. Et Jules rit : de toutes ses dents blanches... Aussi des regards ahuris de « ses collègues »...

T'as l'air bien gai mon petit Jules : ça fait plaisir à voir. — Dit Camille.

Où conduis-je son excellence ? — Plaisanta-t-il, pompeux.

Au resto. Suis. — Trancha-t-elle. — Cette ballade te rend joyeux ?

...C'est les autres… Ils m'ont harcelé de questions et m'ont laissé entendre que je n'avais pas la classe du chauffeur. — Répondit-il.

Et c'est ça qui te fait rire, petit ? — S’étonna-t-elle.

J'ai expliqué pour ton chauffeur(…) En fait, je m’en fous… —

Bref ! Camille Sourit en affirmant : Ils ne sont pas à ta place. —

Non — Souffla-t-il terrifié par le fascinant sourire de Camille…

[...]

Je ne mangerai pas avec eux...  Marmonna-t-il.

Tu mangeras à table — Exigea Camille dans une intonation virile.

… ?? … !!! — Dit Jules d’un œil perdu.

Tu mangeras à côté de moi. — Répondit-elle à son ahuri silence.

ça va jazzer dans les chaumières...  — S’essoufla-t-il.

Qui sait ! Je m'en bats les couilles : je les encule tous ! 

De nouveau, il eut peur. Alors, du fond de sa déraison, il raisonna :

Moi, à la table d’élus de France ? C'est impossible !

— Petit ! T'es un homme ; un être humain comme les autres (…) Et tu serais même, plutôt du genre bel homme. —

Il se consumait. Heureusement, que ce calembour jaillit :

— (...) Je ne suis pas qu’un corbeau noir dans un beau corps noir ? —

Ah ... Qu’elle est bonne ! Rit Camille…

Camille rit si fort qu’il en resta chocolat, fondu : là, do mi né ad mi ré.

Sors-en quelques unes comme celle là, à table, et tu passeras pour le plus spirituels des conseillers. — Lui conseilla Camille.

Conseiller, moi ! Conseiller de quoi ? — Paniqua-t-il.

Mon conseiller pour l'Environnement. — Affirma-t-elle sérieuse.

Chauffeur, passe encore ! Conseiller ? Ça ne s’improvise pas...

Si ! La preuve ! Je te nomme solennellement Dit-elle en lui tapant affectueusement sur la nuqye en signe d'intronisation … Et puis, pour les restes, tu improvises. Les manques ? Tu passes : il n'y aura pas d'imper. — Affirma Camille en jouant sur les mots sans solennité aucune...

C'est gonflé, avec ma gueule : à l'Environnement ! — Toussa-t-il.

Justement ! Fais-les rire ainsi ils ne broieront pas du noir. — Conclut-elle. Et elle rit ; un fou rire tel que l’un des compagnons intrigué l'interrogea :

Qu'est-ce qui te fait rire de la sorte ? 

Mon conseiller : il m'a sorti une blague irrésistible. — Bégaya-t-elle.

Dévisageant Jules... il demanda confirmation : ça, conseiller ? —

... Tu ne le connais pas encore... Jules-César Montouvirin. Jules ! Etienne M. Maire d'A. président du Conseil Général du C.

Enchanté ! Dit Jules en tendant sa main.

Bouche bée, l’Etienne ! Après un retrait sensible il serra la main de Jules d'un geste furtif et distant : comme s'il avait craint de serrer des doigts noirs. [...]

C'est bien. — Finit par émietter l'Etienne. Et n'ayant, a-priori, rien d’autre à déclarer il entra dans l'auberge. Camille riait fort. Jules riait aussi bien. Elle suivit l'Etienne des yeux et dit : — T'en fais pas, petit. Entrons. — Ils entrèrent. Bref !

[...]

Plus tard, après l'intermède apérif, Camille annonça d'une voix forte et grave :

Chers confrères, je vous présente Jules-César Montouvirin, mon conseiller des questions d'Environnement. —

Il y eut quelques applaudissements... et, également quelques (...Passons...)

[...] A table, un ancien illumina toute l’assistance de sa connaissance :

Montouvirin, c'est Réunionnais ! D'origine Indoue, c'est ça ? 

Oui monsieur, c'est exact.  Confirma Jules.

— C'est bien l’un de vos ancêtres qui colonisa la canne à sucre sur l'île de la Réunion vers 1700 ? —

— Monsieur est d'une famille de colons ! — S'émerveilla quelqu'un.

— Bof ! L'histoire de la Réunion fut mouvementée [...] Un ancêtre, colon ? Aujourd'hui, ça n’est plus qu’une légende ! [...] Et, vous le savez aussi bien que mmoi, un nègre, ça restera toujours un nègre. Arrondit Jules

Passons, passons ! Passons la colonisation, l'esclavage et Bonaparte. Et passons l'abolition [...] Mais conservons la négritude : toujours et encore. Parce qu'enfin, qui d'autre que le nègre qu'il se revendiquait être pouvait se vanter de l'être ? [...]

Au milieu du repas quelqu'un l’interrogea : — L'intérêt pour l'Environnement, ça vient de quoi ? — J ules répondit du tac o tac, sans tact : — Des caprices ! —

Ah ! J’n’ comprends pas. — Avoua banalement le questionneur.

Ne cherchez pas. Madame votre député me paye très bien, pour que je lui réserve mes exclusivités. — Masqua-t-il son manque sans imper car Camille le flatta devant tous : — Et Jules n’est pas avare ! — En caressant son émoi [...]

Voilà comment l'on deviendrait conseiller ? Quand même ! Ne rêves pas ! D'autant que... Qu'il fut conseiller ou pas, ça servira peu à l'épilogue

[...]

L'après-midi fut consacrée à une « grande commission »... Sans intérêt.

[...]

Une fois seuls dans leur voiture, Jules dit à Camille :

Merci Camille, je me suis bien amusé.

Moi aussi. T'as été parfait. — Répondit-elle en caressant sa cuisse avec

douceur, s'attardant un peu, là, où ça fait frissonner de peur. Sans masquer son trouble, Jules, la voix tremblante, osa lui demander :

Pourquoi caresses-tu ma cuisse ? ça me gêne énormément.

Ta cuisse ? Ce n'est que de la tendresse, petit. — Enjôlisa-t-elle.

La tendresse ? Avait-elle eu un quelconque pouvoir de calmer sa peur ? Non : la tendresse avait amplifié sa peur. Demeurant impuissant face aux affres de sa peur, Jules chercha à l'embastiller. Mais il ne parvint qu'à banaliser :

Où je te conduis maintenant ?

Camille qui les avait parfaitement discernés, ne répondit pas immédiatement : elle préféra d'abord, le chahuter gentiment[...] Puis, ironiser sur ce qu'elle nomma ses « retranchements puérils ». Mais comme il voulait s'en défendre, elle l'admonesta vertement avant de lui expliquer, que à la place qui est désormais la sienne, il ne devra plus jamais se laisser dominer par des affects comme la peur. Ni par des sentiments dénués de raison politique ou cognitive... Ce jour là, ce que Camille expliqua à Jules était parfaitement clair. Cependant, ce ne sera que longtemps plus tard que Jules en saisira la quintessence. Là, Jules n'avait vraiment comprit que : — Dix kilomètres, à la maison où je suis née. — Entendu la voix veloutée de Camille et noté une pointe de plaisir non dissimulé.

Toutefois, il n'aurait pas juré en être sûr. La seule chose dont Jules était sûr est qu'il avait peur… Une peur qui le dominait… Une envahissante peur...

— Voilà ! Au marronnier, tu tourneras à droite. — L’avertit-elle.

Une longue allée, interminable, et à l’extrême infini de l'une de ces extrémités sans fin, s’avançait le halo d'une lampe tempête.

— Arrêtes-toi à la lumière ! — Dit Camille.

Un couple de petits vieux sortit en courant lentement. Camille bondit vers eux. Jules lâcha le volant, péniblement. A mi-chemin, Camille les serrait fort dans ses bras en disant : — Papa, Maman, — d'une voix inconnue : une voix douce et tendre, presque fragile.

— ça fait plaisir ! — Dit le papa. Et dès l’apparition de Jules la maman s’exclama : — Oôh ! Excusez-moi môssieur ! Gérard nous avait bien prévenus mais ça surprend ! —

Et Camille rit net : — T’as eu peur ? (...) Jules est un homme paisible !

[...]

Les parents de Camille parlaient sans cesse... Ensemble, ce soir, ils discutèrent longtemps, en dînant  lentement. Et Jules se sentit comme chez lui ; il se sentait comme chez lui quand sur le premier coup d'horloge de minuit, Camille, du souffle de ce sourire qui le faisait frémir, lui chuchota : Je suis fatiguée ! — Et ses yeux verts l’hypnotisèrent. Alors... Quand il l'entendit solliciter aussi : — On va se coucher ? — Et quand l’intervention charnelle des lèvres vermeilles de la bouche sensuelle de Camille bissant sa requête dans un effluve d’érotisme ravissant restaura la réalité de ces angoisses qui font tant trembler de froid son effroi, Jules resta, le cul givré... sur la chaise de paille...

— Alors, tu viens petit ? — Le secoua Camille.

[... ]

C’était comme s’il était entré dans un autre monde, irréel, intemporel

[...]

Camille, dévêtue... s'allongea... en ronronnant comme ta chatte perdue au milieu du grand lit et quémandant son câlin avant de vouloir dormir :

— Viens ! Viens t’étendre et te détendre près de moi. —

Jules restait planté, aimanté par les bas noir de Camille sur ses longues jambes ambrées ; aimanté par son triangle de soie ocre, par sa taille mince et musclée ; aimanté par sa poitrine nue aux seins peu volumineux mais parfaitement hémisphériques et des mamelons aux aréoles rigoureusement centrées ; une poitrine haut tendue sur son buste : un buste aussi large et fort que celui du gymnaste... Cette poitrine, c’est l'orgueil de Camille.

— Alors, qu'est-ce que t'attend, petit ? — Le fit sursauter Camille.

— Rien. Je ne peux pas venir m’allonger près de toi. — Se refusa-t-il. Se redressant prestement, Camille toisa Jules. Puis, elle ricana :

— Tu ne m'as jamais vue, dans cette tenue ? —

— Autour de la piscine... y’a Gérard aussi… Et, je ne te vois pas comme maintenant. — Dit-il.

— Allons petit ! [...] arrête de te faire des films et viens, là... —

Jules hésita... à obéir. Mais, demi nu, il s'assit sur le sofa... Camille posa sa tête sur les cuisses de Jules, le regarda de toute sa splendeur offerte à lui et se mit... A parler :

— ... Je t'aime beaucoup. Et Gérard t'apprécie comme son fils. [...] Si je voulais que tu deviennes mon amant, tu n'y pourrais rien... Gérard m'approuverait [...] ça te fait bander ? Ne t'en préoccupes pas. Ce soir, j'ai seulement besoin de parler avec toi. —

Parler ? [...] Normalement, ça le faisait bander, mais pas du même endroit.

— […] Toi, t’es une envoûteuse. — Avoua-t-il. Camille sourit :

— Jules, [...] Et je ne comprends pas pourquoi tu es toujours seul. Ton traumatisme est si douloureux ? —

— Non ! — Affirma-t-il sur le ton de la sincérité non feinte : — Je ne souffre plus de ma douleur : je ne m'en rappelle même plus. —

— Pourquoi ne sors-tu jamais, alors... —

S'en suivit un dialogue à bâton rompu où Jules ne niait pas qu'il aime la chair et les femmes mais qu'il s'en méfiait [...] Et surtout, que Camille, elle, lui fait peur. Ici, je ne t'en reporte que l'essentiel.

— T'es amoureux de moi ? — Lui demanda Camille sans détour.

— Camille! J'ai l'âge d'être ton fils… Et puis, je suis noir… — S’étouffa-t-il.

— Qu'elle âge crois-tu que j'ai ? — Le chahuta-t-elle.

— Camille ! Tu es une belle femme mais pour donner ton âge c'est encore plus difficile que chez la plupart des femmes… —

Camille en rit de bon coeur. Et la main de Camille glissa et s'égara à nouveau. Et Jules banda… Et Camille rit plus brillamment encore en affirmant :

— Alors, t'es amoureux. —

— Non Camille Tu me fais fantasmer, je te désire parfois, mais… —

Jules palpitait frémissait fondait... Camille déposa un baiser humide sur les lèvres de Jules. Puis elle posa tendrement, sa tête sur ses pectoraux frissonnants en chantonnant : — Petit trognon : je ferais ce que je veux de toi. —

[...] Jules ne se souvenait pas d'avoir déjà autant bander. Camille le devina : elle vérifia (...) Et puis elle en finit, entre cinq doigts et dix mouvements, d'une purée de six mois giclant de sa main sur son ventre et ses seins. Elle sembla s'étonner : — Humm, c'est chaud, C'est doux... Et, [...]

Et… Jules rebanda.

Et Camille flatta à nouveau... Et sa tête glissa lentement sur le ventre de Jules […]

Camille s'endormit sur sa queue. Jules restait pétrifié. Il aurait voulu la caresser entière. Mais il s'endormit aussi.

Au septième coup de la comtoise... Camille dormait. Jules bandait dans sa main comme un vrai sauvage… Et le grelot du téléphone brisa son rêve. Jules étendit péniblement ma main et répondit :

— Oui ? —

— Salut, ça va ? — Le surprit la voix de Gérard.

— B'jour Gé - gé – rard.... Oui. Camille dort — Chuchota Jules.

— Non, je dors plus — Bondit Camille en ôtant vivement le téléphone de la main de Jules. [...] ça va très bien. — Répondit-elle au combiné... en rejouant avec le sexe de Jules qui se crispa : Pas jouir maintenant ! Se retenait-il.

— Il est aux anges ! — Répondit Camille au combiné noir ; Camille répondait de la voix au téléphone noir, et de la main à la bite noire. Elle s'éloigna pour chuchoter à l'autre noir... Jules pâlit [...]

— Gérard... — S’esclaffa-t-elle en secouant l'entremetteur noir devant Jules..

— Ah ? Ahh ! — Se dégonfla-t-il. Jules paniquait tant que... Camille éclata d'un rire tonitruant à la Méphisto, [...] Gérard riait aussi [...] :

— Alors petit, on a dormi avec Camille ? —

Jules prépara sa défense et débita une phrase de silence. Et Gérard prodigua des conseils à Jules pour soigner l'humeur de Camille. Jules tremblant de peur,  répondit béatement : — Ahh ! Oui ! — Et la main de Camille dans son caleçon fit que Jules se répandit entre les seins de Camille et contre ses volontés.

— J’adore ça : ton sperme... — Susurra Camille.

[…]

Jules massait Camille. Et Jules se consumait, à masser sa poitrine […]

Et à chaque fois qu'elle jouait de son Jules, Camille susurrait :

— J'aime ça : ton sperme si blanc jaillir de ton sexe si noir —

Et elle s’autorisait à en jouer aussi souvent que... [...]

Jules massait Camille [...]

Jules massait par monts et par vaux de Camille [...]

Et il se consumait, pas seulement à masser [...]

Mais Jules n’est pas l'amant de Camille.

Pourtant les sillons des jours des mois de sa vie s'écoulent paisibles et heureux.

* * * * *

A suivre
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Par Pateric - Publié dans : micro roman - Communauté : Fantasmagorie pure
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 08:54
 

Va en peine !

Bonjou' m’dames m’ssieurs, jm'appell’ Jules... J’m'scuz d’vous d’ranger pendant vot’ voyag’... etc.

Il s'expliquait en terminant ainsi :

— ...J’assept’ aussi d’tvawailler : j’suis électwouicien. Mais sais wôssi ja'diner, peind’, tapissé... —

« Mais ! Rassurez-vous : je ne rêve pas. » Qu’il se disait au fond de lui...

Au fond ? Il avait tellement touché le fond du néant que le fond de lui n'était plus rien : Putain de galère ! —

... Chaque jour, dans le rames urbaines rabâchant son excuse avant d'aller planquer sa honte dans les galeries noires, à hanter la nuit ; hanter la nuit par la chance qu’il avait eu de dénicher un abri secret au fond des galeries : il était parvenu roi des clochards [...]

Bon voyag’ m'sieurdam et que Dieu vous bénis’ ! — Il sursauta.

Dieu vous bénisse ? — Mais il n'y croyait pas !

Car s'il existait, il voulait le voir... Pour le crucifier de tous ses tourments […]

— Crevez en paix ! –

... Marre de ramer debout sans jamais atteindre le rivage de sa mare à boue…

Il prendra le train suivant... en marche, de face, bras en croix pour rejoindre sans remords le crucifié... à la dernière heure de mort qui le saisit à l'épaule d'une main ferme : un homme blanc svelte veste de cuir cheveux gris et barbe rabbinique... Mon dieu ! Ce qu’il eût peur !

J'ai un travail pour toi. Appelles-moi à quatre heures. Tiens ! —

Dit l’homme en déposant une enveloppe dans sa main [...]

L'enveloppe contenait une carte de publiphone, un ticket Paris-Chevreuse, et cette carte de visite :

Gérard MIM


Psychiatre – Psychanalyste


Chef du service d’



Hôpital Sainte Anne


Tél : 01.45.54.XY.YZ


 — C'ça son toiwail: il che’ch’ un cobay’ ? Pou' quoi fai’ ? —

[...] Il regardait devant (...) Le soleil perçait (...) Le soleil persista, Jules larmoya. Le soleil insista, Jules pleura... de sa brûlure et... de joie...

Y'a longtemps que t'attends ? — Demanda barbe blanche.

J'sais pas. — Répondit Jules d'une voix blanche.

— Viens. —

[...] La voiture se présenta devant un portail de fer forgé... qui broutait.

...Deux coups sur trois, il fait ça [...] — Dit le psy contrarié.

[...] ... Si t’y réussis, je te fais un CDI. D’accord ? — Conclut-il.

Jules ne répondit pas : évaluer les difficultés (...) MIM tenta de le rassurer (...) Jules le regarda… muet... Le psy l'observa, sourit et ajouta :

— Je ne suis pas un négrier. —

Le portail... s'étant décidé (...) La voiture arriva devant une remise et s'immobilisa (...) Pour Jules, ça ressemblait à un « Palais Royal ».

Ils parlèrent longuement. Et... Monsieur Gérard confirma à Jules que, s’il est sérieux, rien n'interdira qu’il puisse... devenir son homme de confiance.

« Rassurez-vous : je ne rêve pas. » Se persuada Jules au fond de lui. Mais son fond de moi, n'était plus aussi profond que tout à l'heure...

Et ça, c'était déjà quelque chose.

Ris, Jules !

Jules avait réussi. Exemple : Dès le lendemain il répara l'automatisme du portail qui ne brouta jamais plus le bitume !

... Bref. Monsieur Gérard Satisfait tint sa promesse en offrant à Jules un contrat à durée indéterminée de travail (cet ordre-ci est volontaire) sur la base d'un salaire et d'avantages inespérés...

Monsieur avait des idées... Jules dirigeait les travaux avec intransigeance…

Et virait illico tout coupable de négligence... sans remord...

Neuf mois bétonnés depuis son arrivée chez les MIM [...]

Il tondait la pelouse... Madame Camille MIM, venait vers lui en oscillant sur la pointe des pieds : souple déhanchement (et autres séductions ...)

Voulant éviter qu'elle... Il sauta du tracteur et courut à sa rencontre... Jusqu'alors, quand il croisait Madame, c'était toujours en présence de Monsieur : Madame lui faisait peur et il la fuyait.

[...]

— M'dam’ suis à vot’ servis'... fallait sonner, pas v'salir, M'dam’... —

Il saisit la main de Camille dans un geste machinal de contenance soumise. Vois-tu ? Buste incliné tête baissée genoux mous... ses doigts sous les siens. Camille les serra fort, pesa de son poids, tira Jules vers elle et dit :

Regarde-moi ! Ce que tu fais est très bien. Je te félicite, petit. 

Voix de baryton jouant le registre d'une contralto, ou d’un haute-contre.

Troublé, il la regarda, deux secondes, d’un clin d’œil furtif puis pénible...

Il trembla… Il ne comprenait pas. Etait-ce un anachronisme métabolique ces traits d'un visage mâle teinté de séductions féminines ? [...]

— M'dam’. Vn'avez pus b’soin d’moi, je'tou’n’ twavayer. — 

Attends petit ! — L'ordre de Camille, résonnant, le statue figea

... Jules craignait tout... Pourquoi ? Il ne savait pas ! Sauf que [...] Le banal entretien nécessitait-il un salaire perpétuel ? [...]

Personne te rend visite (...) Juste à travailler... — S’inquiéta-t-elle.

Abasourdi, Jules leva ses yeux... la regarda d’un œil oblique... Camille, oeil vert persan, cheveu d'ébène (...); dents de carnassier (...); épaules de baroudeur... mais seins de pin-up, taille de nymphe, hanches étroites mais cul de déesse... Il la contemplait… Et il s'enterra...

Tu viens dîner ce soir : ce soir vingt heures ! — Ordonna-t-elle.

Et Camille s'en retourna (...) fesse alternative, croupe induline ; Esthétisme, hermaphrodisme, angélisme : Esotérisme ? Sans réponse ! Il rougit. Heureusement, chez lui, ça ne se remarque pas : c'est génétique !

Déjà dix-huit mois.

Jules est intime du couple MIM. Il les tutoie et il a du crédit : Jules est homme de confiance. Cependant, (...) il n'envie pas la place des rois...

Dix-huit mois déjà.

Il tirait tout son plaisir d’ici, ne le partageant avec personne... du matin au soir à servir Camille et Gérard. Et du soir au matin, il prenait son plaisir seul. Parfois il se tripotait... et cauchemardait le corps de Camille. Mais dès qu’il la voyait sourire, il débandait de peur car Camille lui faisait encore plus peur aujourd’hui…

* * * * *

 

Par Pateric - Publié dans : micro roman - Communauté : Fantasmagorie pure
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 08:46
 

Tout ce qui suit pour introduire un essai scientifique sur l'Environnement ?

Absolument : une commande publique que les représentants de l'utilité publique ont trouvé si intéressante qu'il l'ont classée aux archives de l'oubli, eunuques qu'ils sont. C'est ainsi que j'appelle les énarques : eunuques. C'est-à-dire : ceux qui font tout avec les couilles des autres. Mais je n'en revendique pas la paternité qui en revient aux Pharaons. Si ! Les ministres des Pharaons n'étaient-ils pas tous des eunuques. A mourir de rire, n'est-il pas ?

Tout ce qui suit dans cette nouvelle est extrait d'un roman écrit pour nous-même (mon épouse et moi) afin de me permettre de moins souffrir dans la rédaction de cette commande que je devais honorer dans le cadre de l'un de mes attributs : celui du chercheur (parfois faut justifier son salaire !). Sauf que, quand tu sais ce que l'on va en faire, de ton essai... Juste parce que ce que tu démontres n'est pas « politiquement correct », ou plutôt, dérange les lobbyes, surtout les lobbyes écologistes qui sont aussi sectaires que tous les intégristes, quelle que soit leur classe ethnique, religieuse ou sociale... surtout les écologistes soldés des Clans « Générale Lyonnaise » qui n'ont rien d'écho – logique, tu... Baste !

Nous nous sommes donc écris le roman de l'Ecologie. Et mieux encore, celui de sa Sécurité, comme « raisons » à la Préservation de la Vie et de la Sauvegarde des êtres vivants dans l'Environnement de sujétion de leurs activités. Bref !

Souvent, il faut des « histoires fantasmagoriques » (ou, romans), pour « donner de l'intérêt aux vraies choses de la Vie » ou « aux choses de la vraie Vie » comme pour « donner de l'intérêt à la vie des vraies Choses »...

Mais, pour toi, ici, nous n'en dirons rien ; sauf que, en tant qu'individus vivants, Gérard, Camille, Jules, sont des personnes réelles ; des personnes qui existent réellement même s'ils elles n'existent pas tels que nous l'agençons dans l'histoire romancée ici...

C'est en juin 2006, en cherchant « d'autres » infos relatives à « CE » sectarisme écologique qui pollue la perception logique de l'Homme et contamine ses comportements, notamment celui voulant les rendre « consommateurs » de l'anti-consommation productiviste en le conduisant à des comportements bien plus consuméristes ; des comportements de consommations à l'économie spéculative fondée sur « la peur du manque », donc sur l'inflation de la demande ; c'est en cherchant ces infos et des illustrations sur le net, que nous sommes tombés un peu  par hasard » sur le blog de Camille MM qui nous aura subjugué. Et c'est en lisant une de ses réponses, ambiguë quant à sa réelle personne, à son genre vrai, que nous avons alors décidé de lui dédier cette nouvelle adaptée du roman ; nouvelle où l'héroïne qui s'appelait déjà « Camille » est une femme politique qui devient (fortuitement) la « maîtresse » d'un ex clochard, « Jules » qui deviendra (fortuitement aussi) son conseillé spécial pour les questions d'Environnement...

En outre, le mari Gérard et sa femme Camille, sont des abbérations génétiques ... Il sont de ce genre d'abbérations qui font TOUT de l'Ecologie : de la Biologique et de la Physique, donc de la VIE ; de ce genre d'états marginaux qui rendent « fous de joie » les libertins libertaires que nous sommes.


Si donc, les abbérations vous intéressent, "Variable complexe", ce n'est que ça : "cette improbable vérité" et néanmoins "vérité".

Par Pateric - Publié dans : micro roman - Communauté : Fantasmagorie pure
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  • : 28/01/2009

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