Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 00:36
 
  • Regardes ! — Dit l'amant à mon attention —

L'amant vint se placer de dos à mon mari, un pied sur le banc, l'autre à terre, et face à moi. Doucement, il fit descendre ses fesses, anus à l'aplomb de la bite de mon mari qu'il guida au centre et la fit pénétrer lentement. Je savais que ses gestes était calculés pour mon regard. Et je lui en rendis grâce en l'encourageant.

  • Voui ! Doucement. Là, juste le gland. Attends... Je me levai et entourai la bite de ma main.

  • Attends, je vais t'aider à la faire pénétrer, Tu veux ? — Même si je savais qu'ils n'avaient pas besoin de moi... Mais je trouvais que le geste était fort stimulant.

  • Oui ! — Accepta-t-il d'un simple hochement de tête.

Mes mains sous ses fesses, je séparais fermement les globes fessiers, pour amplement dégager le sillon et s'épanouir sa rose. Surtout pour ne pas perdre de vue la plus petite once de chair dans cette pénétration, là, à dix centimètres de mes yeux. Lentement et inexorablement la bite de mon mari s'enfonçait dans l'anus de mon amant... Lorsqu'elle atteignit le fond, ma main droite saisit la bite raide de l'amant. Et ma main gauche caressa ses pectoraux et titilla ses seins qui durcirent aussitôt.

  • Pas encore ! Conseilla-t-il : — Regardes-nous, d'abord... Lorsque je serais prêt de jouir, alors, tu pourras faire ce que tu veux sur moi : d'abord, regardes-nous. —

Alors, je me reculais un peu et je les laissais « s'aimer entre-eux »...

Même si, à de maintes reprises j'aurais voulu, me mêler à eux, caresser leurs peaux, et caresser leurs sexes, et caresser leurs anneaux...

Même si, un instant j'avais voulu venir m'empaler sur la bite arrogante de l'amant...

Et même si, la vue de la pénétration particulière de cette intromission culière allumait en moi tous les feux de la passion dévorante...

Je restais « sage »...

Sage ? Ça va pas ? Moi sage ?

Disons, pour être clairs, que je les regardais sans intervenir dans leur « union ». Et... Franchement ? Je la trouvais sublime : d'autant plus sublime qu'elle m'excitait tant que je me masturbais... Comme si j'avais été sevrée de sexe depuis la nuit des temps...

D'autant que, ces deux salopes, là, semblaient s'être parfaitement bien concertées (et sans que j'ai, un seul instant, pu m'en apercevoir) pour faire durer leur plaisir... et me faire saliver d'envie...

Enfin... L'amant fermant les yeux, respirant plus vite et sa chair, sur son ventre, se hérissant, et ses seins durcissant, je bondis vers lui et les pinçais. Puis je pris son sexe en main désireuse de le branler jusqu'à l'éjaculation. Mais il débanda lentement et je le sentis glisser dans la main. Alors, je le saisis au gland avant que le prépuce le cache et le serrai entre mon pouce et l'index... Et l'amant s'activa encore plus vivement sur la queue de mon mari. Et une goutte translucide perla sur le méat... Puis se fut un écoulement continu qui s'en échappa : un flux que je me plus à faire couler dans la paume de ma main... Et j'aimais tout ça... Tout ça qui ne s'arrêtait pas... Tout ça que j'imaginais pouvoir durer longtemps : aussi longtemps que mon mari parviendrait à retenir sa jouissance... Alors je l'observai, cherchant dans sa respiration, ou dans tout autre signe qui m'est connu, l'instant où son explosion gagnera sur sa volonté... Et l'amant se tordait de plaisir. Et plus il se tordait, plus son sexe se libérait... Jusqu'à ce qu'il crie.

  • Bourres-moi, bourres-moi à fond ! —

Alors mon mari, prenant appui sur son dos, soulevant ses fesses, s'activa amplement dans l'antre de son amant... qui sautait s'empalait sèchement à chacun des assauts. Et l'anus de mon mari, clignant comme un oeil aguicheur à chacun de ses relâchements, je décidai de le caresser de ma main enduite de la sève de l'amant qui avait coulé jusqu'au bout des doigts. Je choisis alors, d'y introduire un doigt. Il y glissa aisément ... Ce qui fit grogner mon mari... S'activer encore mieux et avaler mon doigt entier...

Et toujours, le gland prisonnier de mes doigts, la verge de notre amant larmoyait... Et ses larmes tombaient maintenant sur mon ventre, jusque sur la touffe...

Mon mari se contracta et pouffa : — Ouf, ouf, fouaouff ! — Et l'amant remercia :

  • Ouh Ouh ouh... Je jouis trop fort, ouh ouh ouh... —

Et moi, mesdames peut-être ne me croiraient-vous pas, portant mes doigts à mes lèvres, je les suçais et éjaculais aussi sur mes cuisses en acclamations à leurs cris de joie...

  • Putain, vous m'avez faite jouir, juste à vous regarder jouir, — Criai-je. — C'est trop beau. —

  • Alors, t'as pas fini de jouir... Parce que dans quelques instants, ça va être ma fête... —

Je le regardais, vaguement absente, pensant que... Je ne sais pas si seulement je pensais encore...

  • N'est-ce pas ? — Qu'il demanda confirmation à l'amant.

  • Oui ! — Répondit-il joyeux : — Le temps que je respire un peu... Cette expérience est si bonne que je crois que je voudrais qu'elle s'arrête jamais —

  • Tu l'as dit — Confirma mon mari. Et à mon attention : ça t'a plu ? —

  • Oui ! — Que je crois avoir bêtement répondu, tant je me sentais comme saoule.

  • Viens contre nous. M'invita mon mari... Je titubai vers eux. Ils m'enlacèrent aussitôt.

  • Alors, tu en penses quoi ? — S'enquit-il tant il est habitué à ce que je verbalise tout.

  • Rien ! Et j'ai pas envie de penser maintenant. — Dis-je...

Et je me blottis dans les bras de l'amant... Comme s'il m'appartenait. Et l'inverse. Offrant juste la vision de mon cul à mon mari...

Surprise par mon geste, je tournai la tête vers lui. Il me sourit simplement, posa sa main sur ma nuque, souleva mes cheveux, m'embrassa dans le cou et me fit frissonner.

Ah, mon mari...

Je crois que même dans le plus licencieux des lupanars, lubrique à la déraison, bourrée par tous les trous et couverte de foutre... Il me sourirait encore, de ce même sourire de béatitude et de bonheur ;

je le croirais même capable de flatter l'empire de mes sens jusqu'aux enfers du stupre...

Je lui dois, au moins, cette grâce à mon mari. Il est le plus ravi des hommes lorsque je laisse mes instincts libidineux dominer sur les raisons de ma conscience. Et plus encore, lorsque, comme il dit, je lâche prise et m'abandonne aux flux de mes orgasmes...

C'est vrai, que s'ils ne font pas ma vie ; c'est vrai que s'ils ne peuvent constituer « notre pain quotidien » face aux contraintes de notre « monde social »... C'est vrai, qu'il faut aussi se ménager « un temps pour tout ».

Et si...

Et encore si...

Alors... il existe un temps pour toutes choses...

Donc, il existe aussi un temps pour s'échapper de ce monde. Et s'en échapper en se laissant emporter par ses sens... ça rend la vie beaucoup plus douce, beaucoup plus belle...

C'est banalement, de la Logique.

Si, si... J'en suis persuadée...

En tout état de cause, là, dans cette cabine d'essayage, tous les trois enlacés, nous étions biens. Question de morale, pas question de morale : nous étions bien et ce n'était déjà pas si mal...

Cependant, la main de mon mari venant caresser la verge molle de l'amant, je sus que mon mari, ne s'arrêtera pas là. Je sus qu'il ne reviendra pas sur sa décision de saisir cette opportunité inopinée de m'offrir ce après quoi j'ai longtemps rêvé. Je sus qu'il ira s'empaler sur la queue de l'amant, face à moi, ses yeux foudroyants dans mes yeux. Je sus qu'il s'en délectera, lentement, ouvrant largement son cul pour me montrer les contractions de son anus autour de la verge...

Je sus aussi que dans ses yeux je lirais ses gages...

Et je sus que lorsqu'il me sourira, ce sera comme pour dire :

  • Heureuse ? — Et aussi :

  • Montres-le moi : vas-y, branles toi ! —

Jamais, il ne m'a demandé de me branler : toujours je le lis dans ses yeux.

Et toujours, assis face à moi, ses yeux courant de mes yeux à mon sexe, je vois son visage rayonner.

Et toujours, je m'ouvre pour qu'il se délecte du plaisir que je me donne.

Et toujours, il me dit : — Je t'aime ! —

...

Alors, je m'agenouillai au pied de l'amant, prenait sa verge dans ma bouche et décidai de la conduire à cet état nécessaire à la sodomie de mon mari...

Et lorsque l'affaire prit tournure je me plantai face à lui et attendis que s'agite mon rêve...

Je vous le jure : ce fut encore plus beau, plus intense, plus orgasmique que ce que j'avais jamais su le rêver... Y compris dans l'emprise de mon sexe par mes doigts.

Et l'apothéose fut atteinte, lorsque mon mari hurla sa jouissance en même temps que sa bite molle pleurait de joie...

Et, me sembla-t-il que dans le même temps, l'amant éjacula dans le boyau anal en soufflant :

  • Oh que c'est bon ! Que c'est trop bon ! —

Et lorsque notre amant décula, je vis la vésicule de son préservatif remplie, déformée à exploser... Intéressée, je demandai à mon mari :

  • Tu l'as sentie son éjaculation, tu as aimé ? —

  • Oui ! J'ai senti sa force. Et sa chaleur aussi... Et je crois même que j'aurais beaucoup aimé gardé sa semence en moi... Peut-être, une autre fois... — Laissa-t-il traîner, évasif.

Nous passâmes encore quelques longues minutes à nous caresser ensemble : juste des caresses d'apaisements et de remerciements en parlant de choses et d'autres, de choses banalement banales. Puis mon mari me demanda en souriant gaiement :

  • Bon ! On les essaye ces Jean's. Je crois que ce n'était que pour ça que nous sommes entrés ici, Non ? —

  • Je croyais que c'était juste pour fuir la foule dans la rue — Sembla s'étonner notre amant.

  • Y'a un peu de ça ! — Répondis-je — Mais il avait vraiment besoin d'acheter un Jean. —

  • Je vous les offre — Dit-il sincèrement prêt à nous les offrir de bon coeur.

  • Non ! — Refusa mon mari. — On les essaye, ils nous vont, on les achète. POINT. Surtout ne pas confondre, plaisir du tiroir cul et plaisir du tiroir caisse... Même si, même si, parfois, certains culs sont des caisses... —

Et il éclata de rire. Et notre amant aussi...



Voilà.

Nous avons deux Jean's neufs : deux Jean's neufs quei de surcroit nous plaisent beaucoup et nous font des culs splendides.


Après avoir si idéalement échangés nos sexes, nos culs et leurs plaisirs, nous sous sommes séparés après nous être tendrement embrassés, sans jamais avoir échangé nos prénoms, ni nos numéros de téléphones, ni rien d'autre de nos intimités. Juste, notre amant d'un soir nous a assurés que serions toujours les bienvenus dans sa boutique...

Mais nous ne lui avons pas promis que nous pourrions revenir...


Nous sommes sortis dans la rue qui était devenue presque déserte : juste des gens qui entraient dans les restaurants. Les lampadaires s'allumaient...

Nous sommes revenus à la Mairie du troisième, nous avons repris nos vélos et sommes rentrés tranquillement, en parlant de notre aventure...

J'avouais à mon mari, que ce garçon m'avait beaucoup plu. Il me répondit que je n'aurais pas eu besoin de le lui dire : il l'avait tout de suite sus. Il me dit même que :

  • Puisqu'il te plait tant, rien ne t'empêche de répondre à son invitation...

Je répondis à côté :

  • Toi, il ne te plait pas ? —

Il alla droit au but... Qui plus est, en sautant un trottoir :

  • Si ! Beaucoup ! Il est charmant, bien éduqué... Et doué, ce cochon ! —

  • Alors, toi aussi ! — Dis-je, trop heureuse de ne pas répondre

  • Non ! — Un « non » cinglant — Je t'ai juré que ce ne sera jamais sans toi. —

  • Ah ! — Dis-je. — C'est vrai : je n'ai rien juré de tel... —

La chaussée se rétrécissant, il me laissa passer devant. J'en fus aise... De ne plus pouvoir parler... Néanmoins, j'étais intriguée. Quelque cent mètres plus loin un feu nous obligea à poser pied à terre.

  • Tout compte fait, c'est bien que ... (notre fils) passe la soirée avec ses copains. —

  • Oui ! Heureusement que j'ai insisté aussi... Parce que toi, hein... — Qu'il me chahuta...

Parce que c'est vrai, moi, je ne voulais pas qu'il y aille à sa soirée de fête de leur titre de champions de France... Tout de même, ce n'est qu'un enfant de quatorze ans à peine...

Mon mari se moque de moi lorsque je dis ça à mon fils :

  • Tu n'es qu'un enfant de quatorze ans à peine... — ;

Et mon mari ajoute toujours hilare :

  • Et cinquante numéros de téléphones féminins dans son répertoire. —

  • Fous-moi la paix. C'est mon fils. — Que je lui hurle à la gueule...

Oui ! Cet enfant là, c'est toute ma vie. Et, pour aujourd'hui tout du moins, c'est comme ça...

  • Oui ! J'avoue que tu as été bien inspiré — Lui consentis-je.

  • Ouais ! Et je suis sûr que si tu lui lâchais un peu la bride, à « ton fils », tu te fournirais en opportunité d'en dégotter d'autres, des inspirations comme celle-ci, tiens ! —

Il avait marqué « mon fils » de ce ton qu'il emploie toujours pour se moquer de moi... Parce que dans la réalité nue et crue, « mon fils », c'est aussi « son fils ». Et notre aîné aussi. Mais lui, c'est un homme de la génération de mon amant de ce soir... Brrrr ! Un frisson glacé parcourut mon échine.

  • T'as froid ? — Me demanda mon mari revenant à ma hauteur.

  • Non ! —

  • Alors tu penses au jeune. —

  • Oui et non ! Je fais des relations ... —

  • Tu ne vas pas regretter maintenant d'avoir baisé avec une jeune de l'âge de ton fils. —

  • Non ! Je ne regrette rien ! —

  • C'est ça Cocotte ! —

  • Ta gueule ! — Il le sait parfaitement que je déteste ce diminutif : c'était celui de sa mère.

Mais non, il faut toujours qu'il me taquine avec. Et en plus, ça le faisait rire à ce benêt :

  • Connard !

  • Oui ! Mais je t'aime ! — Qu'il hurla en attaquant le boulevard de l'Hôpital en danseuse...

J'étais certaine qu'il le faisait exprès à dandiner son cul comme une pute à cinq mètres devant moi. Sauf qu'il me fit rire. Et je n'arrivais plus à avancer sur cette côte de merde... J'arrivai enfin au feu.

  • Y'en a pas un pour sauver l'autre de ces foutus feux, hein. Tu démarres et pof ! Cent mètres plus loin tu te retrouves assis sur le cul à poireauter... — Il se marrait... Il est incorrigible.

Et il l'avait quand même dit, que les feux rouges à Paris, c'est n'importe quoi... Et pas que pour les cyclistes ; pour les automobilistes, les motocyclistes et les piétons... Ton-ton et ton-taine !

...

Tout au plus, dix minutes plus tard, nos vélos étaien rangés et nous étions chez nous.

  • Tu as faim ? Lui demandai-je.

  • Non ! Pas maintenant ! D'abord je prends une douche... Tu viens ? —

Sa question me secoua.

C'est vrai qu'il y avait longtemps que nous n'avions pas pris une douche ensemble...

En tout cas, ici, jamais : vous comprenez, « mon fils »...

  • C'est une excellente idée ! — Que j'acceptai.

Sous la douche, il me savonna, me frictionna... Et me chaaatt ouiiillla ! Wou ! Que j'aimais ça...

Sous la douche, il bandait comme un âne, comme s'il n'avait pas baisé depuis vingt ans...

  • Toi, alors ! Plus tu baises plus t'as envie de baiser... —

  • Heu ! — Bafouilla-t-il en regardant sa bite : — Dis-donc, j'ai même pas senti... —

  • Et ton trou du cul, tu le sens encore ? —

  • Woui ! — Souffla-t-il un sourire envahissant son visage : — Et toi ? —

  • Quoi, moi ? — Fis-je mine ne ne pas comprendre...

  • Elle était bonne ? —

  • Sa queue ? — Dis-je en tripotant la sienne.

  • Sa queue, oui... Et toute la soirée entière ? —

  • Oui ! Mon amour c'était délicieux. Je crois même que c'est mon expérience sexuelle la mieux réussie de toute ma vie... Et pour toi ? —

  • Sûrement ! D'autant que j'y ai perdu ma virginité, non ? —

  • Ta virginité, ta virginité, ça fait longtemps qu'elle s'est dissoute dans les oubliettes, non ?—

  • Oui ! Et non ! Il est vrai qu'avec tes « outrages », mon anus est rodé... Mais jusqu'à ce soir j'étais bien encore vierge d'une vrai bite de soudard dans le cul, oui ? —

  • Et alors, dis-moi, tu préfères quoi ? Ma bite ou sa bite . —

  • Sa bite... —

  • Salaud ! — Dis-je en tirant sa queue contre l'entrée de ma grotte : — Et ça alors ? —

  • ça, ça ... Voyons, rien ne le remplacera jamais — Dit-il en y fourrant sa bite.

  • Pourquoi ? —

  • Parce que... Tu es la reine ds chattes —

  • C'est ça : n'importe quoi ! —

  • Je te jure : je n'ai connu aucune autre femme que toi capable de serrer un zizi comme toi, de l'avaler, de le masser... d'en faire ce qu'elle veut, juste à la force de ses muscles... —

  • Ah bon, t'a vérifié ça toi... Et quand ? —

  • Oh ! Dans nos souvenirs anciens, tu le sais bien... —

  • T'as les souvenirs tenaces... —

  • Comme les tiens, je crois... Et pourtant... —

  • Pourtant quoi ? —

  • C'est pas les soupirants qui t'ont manqué. —

  • Non ! C'est le désir ! —

  • Parce que tu te le refusais ! —

  • Comme toi ! —

  • Non ! Moi, j'ai juré : - Jamais sans toi. - Comme je t'ai juré que tu étais libre, que jamais je te reprocherai de jouir avec d'autres... Tu sais bien pourquoi : je ne me suis jamais pardonné d'avoir volé ton adolescence... Encore moins d'avoir obéi à tes parents qui m'y ont contraint, de n'avoir pas eu les couilles de les envoyer chier. De t'avoir épousée sans que tu n'es rien connu de la vie. Je t'ai eu par la force... —

  • Arrête ! Je suis aussi coupable que toi : Je t'ai aimé au premier regard. —

  • T'avais quinze ans. —

  • L'amour n'a pas d'âge. —

  • Sauf que pour toi, « ton fils » sera encore un enfant. —

  • Tu m'emmerdes : je t'aime depuis toujours, c'est tout. —

Il arrêta net de me baiser, là sous le jet de la douce. Il me regarda tendrement et dit :

  • Jure-moi que tu es heureuse avec moi. —

  • Non ! Tu me rends souvent heureuse, mais je ne le suis pas totalement... Mais tu n'y es pour rien, et tu sais pourquoi. —

  • Oui. Comme je sais que ni toi, ni moi ne pouvons rien y changer... Même pas ton fils. —

  • Peut-être ! —

  • Alors, bordel, récoltes les bonnes choses de la vie et jouis te tout ce que tu peux jouir ; jouis de tout ce qui te fait jouir, sans gamberger vers des idéaux inaccessible... Ce soir, mon amour, tu étais si belle dans ta jouissance ! La jouissance te va si bien ! —

  • Peut-être as-tu raison — Lui concédai-je pas particulièrement convaincue.

  • Ecoutes-moi un instant : si ce garçon te plait autant que j'ai cru le voir... Et si tu en as envie, ne te prives pas... D'autant que je suis persuadé que tu lui a fait découvrir quelque chose dont il n'imaginait pas l'existence...

  • Tu dis n'importe quoi ! — Dis-je espérant qu'il me lâchera.

  • T'es libre, mon amour ! —

Sur ce, il se remit à me faire l'amour. Et lorsqu'il sentit que j'étais sur le point de jouir, il me dit :

  • Tu n'aurais pas envie de me sodomiser, toi ?

Je lui avouais :

  • Si, j'en ai envie... Mais seulement si toi aussi tu veux me montrer ton orgasme comme tu me l'a offert tout à l'heure... —

  • Regardes-moi dans les yeux. —

...


Je ne sais pas, Mister OBAMA, si vous êtes l'avenir du Monde comme aiment à le croire les gens crédules... Mais pour moi, ce soir, vous fûtes une bénédiction...

Thank You, Mister OBAMA...


Et je vous jure, jamais plus je ne dirais :

Fontaines....




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Par Pateric - Publié dans : micro roman - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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