Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 21:36
 Parfois !

Parfois il existe des questions nées au coeur de la mémoire sensée raviver des souvenirs agréables qui agitent de nouvelles questions : questions souvent plus complexes qu'il y paraît à première vue ; questions qui vous secouent et vous entraînent dans le doute : jusqu'à douter que vous ayez réellement vécu les épisodes aussi agréablement qu'ils le demeurent dans vos souvenirs. D'autant que votre vie, au fil des décennies coulées, n'aura pas pu s'écouler comme un long fleuve tranquille. D'autant que les souvenirs agréables existent pour le moins afin de pouvoir contre-balancer les « épreuves de la vie ». Quoique ! Dans notre Monde géo-physique, le « fleuve tranquille » existe-t-il vraiment, de sa source à son embouchure ?

Ainsi, il existe, entre mon épouse et moi, quelques « variations de mémoire » donnant aux souvenirs agréables des références quelques peu différentes.

Et ces mêmes variations existent aussi entre ma maîtresse favorite et mon épouse, comme elles existent entre ma maîtresse favorite et moi, et entre mon épouse et son amant favori.

Non ! Maîtresse et amant favoris n'ont jamais été les « derniers en date » : ils sont les « premiers ». Ma femme et moi sommes au moins d'accord sur ce « point de souvenir » : Erica, mon épouse est ma maîtresse favorite, et moi, son mari, je suis son amant favori.(1). Vous avez très bien compris !

J'utiliserai parfois les (notes) comme ma femme aime à le faire - se concentrer sur le fond, et non sur la forme - , car les uns comme les autres ne sont pas des « cas uniques »... Mais je vous les publierai dans un article annexe que je nommerai : " Précisions"

La semaine qui suivit s'écoula bien, aussi interminable, que ce qu'elle le dit mais pas sans plaisirs. Car nous partageâmes au moins une heure chaque jour étroitement enlacés, juste dissimulés sous un porche. Aussitôt, ouvrant nos pelisses, nous lovant corps à corps, entremêlant nos bouches, nous flirtions goulument et nous caressions fébrilement, mains chaudement enfouies dans nos vêtements.

Toujours tendue sur la pointe de ses pieds, d'abord la main gauche d'Erica saisissait ma main droite pour la conduire sèchement sous sa mini-jupe et forcer les élastiques du collant et du slip. Là, elle la plaquait sur son sexe, toujours en roucoulant dans ma bouche, sa main droite tirant sur ma nuque... Et toujours, « bienheureux », du majeur je commençais à flatter son clitoris, le caressant sous son capuchon pour qu'il s'enfle de volupté. Ce qu'il se plaisait toujours à atteindre. Alors, je faisais glisser mon doigt, sur ses lèvres secrètes. Puis, comme je l'immisçais entre elles afin que ses chairs de pulpe sacrée le sucent tandis qu'entre pouce et index j'entreprenais lentement de faire rouler le pistil de sa fleur d'orgasme, sa main gauche venait fouiller dans mon pantalon et saisissant ma verge affirmée la masturbait en accord rythmique du mien. Elle le faisait bander comme un sauvage, puis éjaculer, répandant son sperme le long de la verge, sur les bourses, sur mon pubis... Immédiatement, sa main jouant dans mon pantalon, Erica sut comment « forcer » mon éjaculation, au moment même où son orgasme s'annonçait, et ainsi, nous faire jouir de concert... Et ce n'était que « purs délices ». La veille du grand jour, sitôt après avoir jouis, ses yeux fauve brûlants Erica sortit vivement sa main de mon pantalon, la porta à ses lèvres, y lécha mon sperme et souriant de ses lèvres blanchies, dit :

Hum ! C'est drôle ! Parfumé ! Une béarnaise... En plus sal... —

Je l'interrompis de ma bouche sur la sienne et confirmai :

Oui ! Peut-être... Mais vraiment trop salée. —

Et comme nous n'avions rien à foutre de parler gastronomie, trop salées, ou pas, nous avions si faim de nos bouches que nous nous embrassâmes furieusement, mélangeant nos salives et mon foutre.

De toutes mes précédentes maîtresses, dont certaines (non majoritaires) me gratifièrent de fellations, Erica fut la première à goûter à mon sperme : à y goûter avant d'avoir sucé ma bite et d'en devenir une divine suceuse, tout aussi « accro » que virtuose. Cependant, ce fut longtemps après notre mariage qu'Erica m'honora d'une fellation complète, après m'avoir averti en appuyant son exigence :

Allonge-toi. Je vais te sucer jusqu'à ce que tu jouisses. Tu me laisses faire : je t'interdis de t'échapper sinon je te mords. —

N'anticipons pas. Déjà (je n'en fus jamais jaloux) sur ce chapitre je ne fus pas le premier servi...

Et venons-en sans détour à notre « première fois ».

Presque comme la semaine précédente, à peine eus-je ôté la clé de la serrure et ouvert la porte du hall de l'immeuble qu'Erica m'arrachant les clés s'engouffra dans l'escalier. Au pas de course elle gravit la centaine de marches. Sauf que, cette fois jouant comme des enfants à « celui qui arrivera le premier », je bondis sur ses talons et arrivai à la porte de ma chambre sous les toits juste avant elle : juste le temps de me retourner pour qu'elle pût sauter dans mes bras. De vrais enfants, vous dis-je. Et, « sauter dans mes bras » n'est qu'une façon de parler. Car elle s'était jetée sur moi. Enserrant ses cuisses autour de ma taille, et de ses mains s'agrippant à ma nuque, le soutien de mes bras ne lui fut d'aucun recours. Toutefois, puisque n'ayant pas besoin de la retenir j'avais les « mains libres », croyez-moi, je ne restais pas les bras ballants. Nos bouches s'entre-mêlant pour un baiser de morts de faim, sous sa robe je glissai mes mains et me délectai à doucement caresser sa chair... Du bas de son dos jusqu'à ses fesses. Et, enfouissant mes mains sous le collant, je caressai ses fesses nues... Puis j'en vins à caresser son ventre... Et subrepticement à infiltrer une main vers son bas-ventre... Reculant légèrement son ventre, d'une main elle appuya sur ma main en un geste signifiant que :

Oui ! Caresse-moi là ! Et, je savais que ça signifiait aussi : Fais-moi jouir !

Je le savais assez bien car je commençais à savoir lire ses ordres sans trop d'erreurs. Donc, je ne me fis pas prier une seule seconde. Et bientôt, elle commença à ronronner au coeur de notre baiser...

Comme elle s'apprêtait à embarquer pour son petit voyage sidéral, une clé tournant dans la serrure de la porte d'à côté me déconcerta : sidéré mal à l'aise le « mâle au trou » ! La porte s'ouvrit et un jeune couple en sortit en babillant. Il se faufila derrière le dos d'Erica et mes yeux croisèrent leurs yeux tout sourire auréolé de ravissements et s'engagèrent dans l'escalier, se mettant à rire gaiement. Erica, faisant tinter les clés dans mon dos, dit :

On entre, c'est mieux ! — Laissant traîner : — Juste quand j'allais jouir. —

C'est dans cet équipage, que pour la première fois, avant beaucoup d'autres fois(2), Erica assise à califourchon, son bourgeon gonflé collé sur mon surgeon dressé sous le ceinturon, nous pénétrâmes dans « nos appartements », et sans tourner en rond nous jetâmes sur le lit, et de nouveau sans délai mes doigts redémarrèrent la procédure d'envol à l'instant précis où l'alerte l'interrompît et, sans répits ma chatte ronronna de plaisirs juste avant que, en deux clignements d'œil et un cri, elle jouît...

Oui ! Erica avait jouit en quelques dix secondes. Je l'affirme sans fanfaronner car tel était son désir, tout simplement. Et toute la dextérité de mes doigts n'était que l'instrument de son accomplissement

... Lentement elle reprenait souffle calme et se relâchait tandis que je la caressais doucement ; tandis que par mes caresses je la dévêtais prudemment, j'admirai son sourire, scrutai ses yeux et y décelai l'extase irradiant son visage de madone florentine... Et sentant sa chair bruler mes doigts, je me surpris saisi d'un émoi triomphant m'engageant à me défrusquer promptement. Avais-je un autre choix, sauf à vouloir frustrer mon « moi » ? Zou ! Sans retard et la caressant toujours, je fus à poil...

Adoptant une parfaite attitude de « pompeur » (3), je m'allongeai au dessus d'elle et contemplai son visage au sourire radieux et au regard fauve et lumineux. Je lui parlai, de mes yeux dans ses yeux. Puis, n'y tenant plus, de ma bouche avalant sa bouche, je parlai à ses lèvres pulpeuses et glacées.(4) Et dans l'élan, mon doigt d'amour en agitations vint cajoler son bourgeon demeuré en excitation. Aussitôt, Erica dansa du ventre et des reins, langoureusement, laissant glisser mon gland de son bouton aux commissures des lèvres, pressant sur l'huis de l'antre secrète, et... Parfois, dans un coup de reins plus puissant je sentais ses chairs sucer mon gland : la succion d'un vide avide de m'aspirer. Chacune de ces fois je me réfrénai à ne pas me laisser avaler entier comme mon désir m'y incitait. Heureusement que, cette fois encore, Erica jouit de nouveau intensément, s'agitant entière, bras et jambes désordonnés comme un pantomime, corps convulsé, contracté, secoué comme un martyr avant de s'écarteler comme une crucifiée laissant filer son « sang de jouissance » sur mon gland (5). Ce bouillonnement jaillissant de son antre excita mes désirs et mes tourments à pénétrer net en elle. Cependant ce furent mes tourments qui me firent choisir un autre tournant des opérations. Certes, dans l'instant, je mourrai de désirs de l'honorer illico de l'offrande de ma bite dans son con... Exactement, cette envie envahissait mes pensées, nourrissait mes idées : fantasmes communs de ces copulations avec mes précédentes maitresses ; fantasmes où je prenais le temps, pour allumer, attiser, exacerber le plaisir. Et, plein de puissance je me voyais, l'assaillir à la hussarde enfonçant le clou exécutant l'exercice à la barre du petit ramoneur de la slave au papillon vers l'union des X, et, la saillir en levrette exotique à l'ouverture merveilleuse d'une manœuvre de jardinier et charger la brouette de mon foutre incandescent, pour qu'explose son orgasme (6). Mais... Je ne fis rien de tel.

Non ! Je l'embrassai de nouveau sur la bouche et me délectai encore du plaisir de ses lèvres glacées en éloignant mon sexe du sien et aussitôt plongeai ma bouche dans la faille séparant si divinement ses cuisses pour y laper goulûment le jus opaque de son fruit d'amour. Jamais nulle autre maîtresse avant Erica ne m'avait gratifié d'un pareil sirop fruité, aigre-doux et au subtil piquant suave...

J'avoue !

Jamais, d'aucun précédent cunnilinctus (ni d'aucun suivant d'ailleurs), je connus pareille autre extase à m'abreuver de jus féminin que celle engendrée d'Erica : suc d'extase dont ma bouche se repait inlassablement. De même qu'avec aucune autre femme, avant Erica comme après, jamais je connus ce plaisir ineffable à admirer un harmonieux corps de femme. Qui plus est, à admirer le corps d'une femme aux apparences si enfantine et si fragile, s'agiter, se convulser, vibrer... aussi fortement, sinon violemment sous l'emprise de son orgasme. Mais, je sus vite, moi, que chez elle ce n'était qu'apparences. Car, hier comme aujourd'hui, lorsqu'au paroxysme d'un de ses orgasmes, de toute la puissance de ses cuisses aux muscles bandés, elle enserre ma taille, j'en ai toujours le souffle court...

Et j'avoue aussi, que ce jour là comme ceux qui suivirent encore longtemps après (au moins jusqu'à la conception de notre premier fils), mon Amour pour Erica se limitait à ce plaisir des yeux et des sens : comme s'il n'eut été qu'un plaisir esthétique ou artistique (7).

Je m'attachais encore à laper le sexe d'Erica devenu fade par l'ardeur de ma langue, humide de ma seule salive, et je sentais aussi que je m'égarais dans mes pensées en proie au doute et autres angoisses, quand elle exigea d'une voix mate au ton sec, et en me tirant par les cheveux :

Viens ! Maintenant ! Baise-moi ! Viens, je veux !

Je me redressai et remontai au dessus d'elle : elle sous moi s'abandonnant, membres écartelés, yeux dans les yeux, et mon sexe sous son clitoris, à l'exact aplomb du sien, ses lèvres suçant le gland. Et l'étincelle fauve de ses yeux pyromanes incendiant l'azur de mes yeux, attisant mes désirs ultimes, elle bascula son bassin pour aider l'emprise de son sexe sur le mien en répétant son exigence :

Viens ! Je te veux en moi ! Viens, vite !

Là, aurai-je pu me dérober encore ? Qu'importe ! Car je n'avais plus aucune raison de me dérober. Au contraire : la tentation à prendre possession de son sexe avait atteint le paroxysme de mes désirs. Et, ne formulant pas d'autre vœu que celui de la satisfaire, je vins. Doucement, je m'enfonçai, lentement, once de chair après once de chair mon gland entra dans le vestibule du vagin. Au passage de la couronne du prépuce, les muscles du vagin se crispèrent autour, forts, forts. Et ses muscles abdominaux ondulèrent comme roule la vague du large jusqu'à la crique. Un rictus glissa, de ses yeux clignant à ses lèvres s'entrouvrant sur un soupir bref et muet. Longtemps je restai bloqué, là. Du moins eus-je l'impression que le temps s'était arrêté, là, sur mon gland, prisonnier, congestionné, sur le rythme de mon coeur arrimé, là, résonant au rythme de son coeur battant le temps fort, autour ...Puis, vint le reflux de sa vague abdominale qui aspira mon gland et avala ma verge jusqu'à faire buter mon gland au fond de son vagin. Alors, à nouveau elle se contracta entière et ses muscles se bandèrent délicieusement : ses abdominaux, du diaphragme jusqu'au pubis, reformant leurs vagues puissantes, et ses obliques redessinant le « V » symbolique d'une crique... Et ses muscles profonds enserrant puissamment mon pénis, je le sentis se comprimer, et vis se gonfler à exploser l'infime portion restée libre entre mon pubis et le sien. Et sur ma verge, je sentis nos deux cœurs battre. D'abord battre chacun son rythme, en cadence désordonnée, pour peu à peu se régler en « canon » : son coeur battant le temps fort, le mien battant le temps faible, nous aurions dû débuter un « swing de l'amour » endiablé. Or, elle serrait ses muscles si fort autour de mon vit, qu'il ne put demeurer qu'inerte : comme sans vie. Néanmoins, la vie l'habitait autant que l'envie à vibrer librement au con. Car, au plus elle serrait mon sexe au plus il bandait fort. Et au plus il bandait au plus il voulait... Naturel, non ? Toutefois, je maintins mon bassin immobile, me délectant de la caresse de mes mains sur son corps « d'écorchée anatomique ». Et de la vision de notre « union » que je trouvais divine...

S'abandonnant certainement(8) à la douceur de mes caresses, peu à peu, elle « lâcha prise » puis s'amollit, cuisses grand-écartées genoux ramenés fléchis sur le côté de ses flancs, bras écartelés comme sur un croix, haletante bouche entrouverte tête renversée yeux clos... Dans une posture semblable à celle d'un pantin qu'on aurait jeté désarticulé au travers du lit. Et j'avoue qu'en l'instant, cette posture me laissa « interdit ». Sauf que, sentant mon sexe « libéré » de l'emprise de son sexe , aussi, le sentant mouillé de son suc, sentant le désir brûler sur ma verge, je m'animai enfin...

Lentement j'allais et venais en elle avec plaisirs : lentement de ces mouvements si mesurés produits de la contemplation ; joyeusement, de ces mouvements produits de l'exaltation ; vivement de cette agitation précédent l'orgasme ; sortant précipitamment d'elle pour éjaculer sur son pubis, la racine de ma verge pressant sur son clitoris, et me répandre de son ventre jusqu'à ses seins...

Tout le temps où je l'avais honorée, j'avais cherché à lire son bonheur dans ses yeux, j'avais guetté un soupir de plaisir sur ses lèvres. Mais elle avait gardé ses yeux clos. Et sous souffle, pour haletant qu'il fut, ne m'avait offert aucun soupir. Juste, lorsque mon gland avait forcé la porte vaginale pour la fuir, m'avait-elle gratifié d'un petit cri étouffé, un petit cri qui m'avait confirmé ce que j'avais craint : elle n'avait eu aucun plaisir. Mais, bien que déçu, je ne lui avais rien dit. Au contraire... J'avais caressé son ventre, y répandant mon sperme. Et lorsque j'en étais arrivé à caresser ses seins, elle avait saisi l'une de mes mains et la portant à sa bouche, elle avait sucé mes doigts, son sourire espiègle illuminant ses yeux d'or... En demandant : « pardon ! »... J'avais failli hurler un : « Non ! ». Je m'étais maîtrisé in-extrémis : sûrement lui aurais-je apparu comme le pire des imbéciles. D'autant que ce n'était pas du tout ce que je voulais exprimer. Certes, je refusais qu'elle me demandât pardon. Comme je le refuserai toujours à toutes les femmes en pareille circonstance et après pareil abandon

En embrassant ses lèvres, je lui avais susurré :

C'est moi qui te demande pardon... — lèvres à lèvres — Si tu veux la fois prochaine, Langues mêlées Toi, tu viendras me prendre. [Elle m'avait mordillé la langue]...

... Certainement, tu devrais en jouir. Avais-dis quand elle eut achevé sa tendre morsure :

J'embrasse ton petit bouton ? Lui avais-je proposé avec un sourire polisson et gourmand

Pour te faire pardonner ! Avait-elle ri , espiègle en poussant ma tête à deux mains vers :

  • Je vais te faire jouir ! — Avais promis.

Et, j'avais tenu promesse avec bonheurs : à m'en décrocher les mandibules, la langue...

Et même les oreilles, tant l'orgasme qui la gagna fut intense et sonore...

J'avais tenu ma promesse en y découvrant moi-même une jouissance aussi inconnue qu'intense : une jouissance qui, à l'instant précis où son sexe dans ma bouche sécréta son jus, me fit éjaculer...

Je dois l'admettre : depuis toujours, les orgasmes les plus intenses que j'ai su (et sait encore) offrir à Erica, sont ceux de ma bouche. D'ailleurs, je l'admets volontiers avec une certaine fierté... (9)

Evidemment !

Trente-six ans et près de quarante jours après ce jour, nous en avons connus d'autres, des orgasmes. Et des orgasmes nés d'origines diverses, et des orgasmes connus d'expériences variées, et encore des orgasmes produits de pratiques insoupçonnées...

2ème partie

Pateric©

Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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