Mercredi 23 décembre 3 23 /12 /Déc 11:53
 

Peut-être vous avais-je mis l'eau à la bouche, en vous proposant de vous narrer mon aventure avec une amante endiablée ayant précédé ma rencontre d'Erica.

Maintenant, je souhaite vous désaltérer...

De toutes mes maîtresses ayant précédé Erica, je ne connus qu'une unique occasion d'être embrassé par une bouche glacée ; embrassé par des lèvres filtrant le souffle court et désordonné produit d'un orgasme déchaîné, impétueux et violent...

Avec cette jeune femme de six ans mon aînée, toute en blondeur et blancheur typique de ses origines nordiques jusque dans ses yeux d'un bleu crayeux, nous avons connu des copulations multiples et fantastiques. Et j'en garde encore un souvenir fort agréable. Pourtant, elle était très éloignée de mon idéal féminin. En aucun de ses traits physiques, ni même en aucune de nos idées, tant sur la vie en général que sur la musique en particulier, nous avions de point où nous accorder. Elle avait la peau laiteuse, en fadeur comme en texture, et j'aime les peaux ambrées et musquées des latines. Elle avait les seins volumineux et lourds et je préfère les petits seins fiers, et légers... Elle adorait les mièvreries d'un romantisme que je déteste ; la musique sucrée et compassée, là où je lui préfère le jazz ; Wagner et Strauss où je leur préfère Stravinsky, Ravel, Debussy, ou Boulez, et pire, Stockaüsen qu'elle jugeait inécoutable... Elle aimait le saumon fumé, je préfère le foi gras. Elle, les frites, moi, les pâtes. Elle ne jurait que par Dickens, moi par Cervantès. Rien, je vous dis : rien n'aurait su nous rapprocher, si ce n'est son obstination à me séduire et à me mettre dans son lit... Alors, vous vous demandez comment cela fut-il possible ? Et doutez même que ce le fut ?

Fallacieusement, vous répondrai-je, « Si... »

Parce qu'il n'est pas tout à fait exact qu'elle chercha réellement à me séduire. J'explique ?

Un jour, au cours d'une répétition qui partait en sucette : une répétition où personne ne parvenait à s'accorder sur une manière de jouer un standard, je ne sais pourquoi, je me mis à jouer, sèchement et bruyamment, l'air connu du Faust de Gounod. Au résultat, tout le monde se tut. Et elle, dont la mission était de servir de régisseur de plateau, s'approchant de moi, m'embrassa au bord de l'oreille en disant, d'une voix aussi émue que sincère :

C'était vraiment très beau ! Si beau que j'en ai joui ! Regarde !

Et en prenant ma main pour la plaquer entre ses cuisses tout en avalant ma bouche de sa bouche, sa langue forçant mes lèvres et y fouillant frénétiquement. Et, quelle qu'en soit la raison, c'était vrai : sa culotte était si humide que, dans un réflexe incontrôlable, j'ôtais la main. Ses lèvres se glacèrent. Et ses joues, saisies entre mes mains pour tenter de canaliser sa fougue, devinrent brûlantes. Et... J'obtins l'effet inverse de celui que j'eus souhaité : un baiser si intense et passionné que j'en bandais aussitôt comme un sauvage qui n'aurait plus baisé depuis plus de deux lunes pleines...

Ce n'était pas la première fois qu'elle me volait un baiser fougueux. Ni même certainement qu'elle en éprouvait quelques plaisirs, car j'avais déjà eu quelques occasions à ressentir son baiser glacé. J'avoue ! Jusqu'à notre première relation sexuelle, ses baisers glacés ne me donnaient pas l'envie de bander : plutôt de débander si jamais elle m'avait attiré assez pour que j'en bande de désirs. Non ! Elle laissait mes désirs sourds à ses désirs.

Et ce même jour, sa bouche après avoir abandonné ma bouche sur l'injonction du batteur (qui, ironie du sort ou pas, n'est autre que le cousin d'Erica) :

— Bon ! Ça suffit : faut qu'on répète maintenant ! 

Susurra de nouveau à mon oreille :

C'était vraiment très beau ! Si beau que je suis sûre que mes parents adoreraient.

Et, c'est ainsi que, trois mois après ce jour, je me retrouvai dans le vaste et somptueux salon de l'hôtel particulier du Neuilly de ses parents pour donner un concert privé, extrait d'œuvres de Brahms, Schubert, R. Strauss, Wagner, Ravel et Debussy, à un aréopage d'une trentaine de snobs dirigeants... Et, ma récompense fut, outre l'un des cachets les plus intéressants de ma courte carrière de musicien (les autres venant tous de la dizaine de concerts qu'ils me réclamèrent), de me retrouver à poil dans la chambre de Mademoiselle... Pour notre première nuit copulative née de son envie calculatoire. Est-il besoin de vous raconter ? Allez, va ! Je vois bien que vous en mourrez d'envie...

Non ! Sa chambre n'était pas située dans cet hôtel particulier, mais dans sa gentille « garçonnière » : un chouet appart' de quatre-vingts mètres carrés au moins, niché à deux pas du Panthéon. Donc ?

Disons que dès mon entrée dans le hall, me demandant comment j'étais arrivé là, mon coeur battant la chamade, je n'avais eu que l'envie de fuir. Mais elle m'en empêcha. Retroussant ma veste derrière mon dos emprisonnant ainsi mes bras, elle avala mes lèvres et m'offrit un baiser d'anthologie. Tout en m'embrassant, elle fit tomber ma veste, ouvrit ma chemise, desserra la ceinture de mon pantalon, le fit glisser avec le slip, quitta ma bouche et vint aussitôt sucer ma bite sans autre forme de retenue. D'abord, je me sentis ridicule, planté là à demi-nu, au centre du hall, mon pantalon sur les godasses. Mais sa bouche entreprenant ma queue à l'odeur de sauvage exhalée (autant de ma transpiration induite de mon agitation au cours du concert précédent exécuté dans ce salon surchauffé, que de ma pisse évacuée en soulagement du cocktail d'après concert : toutes effluves chatouillant précisément mes narines) entre ses lèvres gourmandes (par l'odeur alléchée ?) sa langue léchait délicieusement le gland ; elle le chatouillait si bien, que ma bite se dressa aux cieux, insultante tel un mât d'artimon :

Cocagne ! Me dis-je en appréciant, tout compte fait, la tournure de la soirée...

Elle m'avait piloté, à travers Paris et au travers de mes pensées vagues, vers le bon port d'un pays de Cocagne : sa chambre, où nous allions « s'attacher à faire des vagues et de l'écume »... Et y réussir au delà de ce que j'avais su imaginer ou que j'avais pu connaître avant... Du calme ! J'y reviendrais !

Je ne me souviens pas aujourd'hui de la chaîne des circonstances ou autres subtilités m'ayant mené quasi inconsciemment, de l'hôtel de ses parents à son appartement. Juste que, pour ne pas avoir à accepter de donner ce concert, j'avais avancé des arguments de refus qui étaient censés ne pas en avoir l'air. D'abord, j'avais avancé que je n'avais pas de costume digne d'une telle prestation... Elle avait réfuté l'argument en disant qu'elle m'en payerait un. Ensuite, j'avais argumenté que... En costume sur une mobylette et... le métro, j'aimais pas (je n'aime toujours pas) Quant au taxi, moi... Je n'avais pas eu le temps de louvoyer, ni de mentir davantage car, péremptoire, elle avait dit avec un ton presque autoritaire que ce n'était pas un argument puisqu'elle avait décidé de me conduire :

Pour t'éviter toute fatigue et te mettre en bonne condition avant le concert !

Une bonne préparation ne peut être que le fruit d'une parfaite préméditation ! N'est-il pas ?

Effectivement ! Elle avait tout bien préparé et organisé : en professionnelle qu'elle était. Et tout fut parfait... jusqu'au milieu de l'après-midi suivante. Tout comme « tout fut parfait » lors des autres fois qui suivirent jusqu'à notre rupture consentie d'un accord commun, surtout le sien, qui, pour moi s'accomplit comme une délivrance. Et peut-être est-ce le plus bel exploit de ma vie. Tu verras !

Mon amour, tu connais bien cette « aventure », puisque « la protagoniste » est demeurée, jusqu'à aujourd'hui, l'une de tes « relations amicales » (entre guillemets, certes, parce que « peu intime ») mais, je crois que tu ignores tout des « intensités » qui l'animèrent. Parce qu'il est vrai que nous ne ressentîmes jamais la nécessité d'en parler précisément ensemble ; parce que tu ne m'as jamais posé aucune question sur l'intimité de ces relations, comme tu m'en posas pour d'autres ; parce que, moi, si j'y ai connu des plaisirs physiques qui demeurent agréables, j'y ai aussi connu des désagréments intellectuels (sinon sociaux) qui demeurent désagréables... Même si je suis persuadé qu'ils furent profitables à mon épanouissement philosophique. Et plus encore à mon épanouissement libertaire...

Mon amour, tu connais bien cette aventure, mais tu n'en connais pas les aboutissements agréables. Cependant, sache que tout ce que je dévoilerai ci-après, si ça m'a servi d'expériences positives, notamment pour t'offrir du plaisir et mieux comprendre le langage de ton corps et de tes sens, jamais aucune « performance » réalisée avec elle ne fut aussi intense, prenante, puissante et douce... Que celle du plus infime des plaisirs et jouissances que tu m'as donnés le bonheur de connaître.

Ainsi parvenu, de sa bouche tirant ma queue et sa main mes couilles comme un chaland sa barge, j'avais traîné mes pieds entravés par mon pantalon comme un forçat par ses chaînes à boulets, du hall au salon, du salon à la chambre... Jusqu'au pied du lit où elle s'assit en me suçant toujours. Alors, j'entrepris de caresser ses cheveux, sa nuque, ses épaules glissant ma main sous la soie du chemisier, d'arrière en avant, sur sa gorge je déboutonnai le bouton, puis le suivant caressant sa peau sur le haut d'un sein, glissant vers l'autre jusqu'au troisième bouton... Jusqu'à ce que l'obstacle des boutons cèdât, je la caressai, remontant vers les épaules, retroussant le chemisier, l'ôtant... dégrafant son soutien-gorge, soupesant ses seins sur la balance de mes mains tandis qu'elle, était proche d'atteindre un point de mon plaisir que je me devais stopper avant que ma lance joue au pompier.

Alors, mes mains sous ses seins je la soulevai en retirant vivement ma bite de sa bouche. Surprise, elle se crispa un peu. Et je sentis ses dents mordre légèrement ma verge, déraper sur le gland, et engendrer à la base de ma nuque un picotement à la sensation à la fois étrange et agréable ; une sensation pas du tout douloureuse : plutôt excitante qui me fit saliver d'envie jusque dans la voix :

Trop bon ! A moi maintenant... De sucer ta dragée aussi bien que toi mon sucre d'orge —

et dans le geste, je la forçai à s'étendre sur son lit tout en tirant sur les pressions de la jupe à facettes de son tailleur Courrèges, et sur les lacets de sa culotte, et plongeai ma bouche sur les lèvres de son sexe déjà bien humide serrant entre mes lèvres son clitoris fièrement bandé et... J'avoue ! Pareille expansion d'arrogance clitoridienne, je n'en ai savouré chez aucune autre (à peine en ai-je vu trois chez des copines body-buildées huilées et hormonées peu engageantes pour baiser) : c'est dire ! Toutefois en l'instant, ça ne me préoccupa nullement car un parfum musqué-acide s'épanchant de son sexe en chaudes effluves avivant mon sens olfactif excitant mes appétits m'entraîna à y goûter. Et comme on s'enivre de vapeurs éthyliques, je m'en délectai avec une jubilation frénétique. Je lapai la fleur de ses secrets qui, sur ma langue, distillait la liqueur astringente de ses plaisirs libidineux...

Là, ma tête blottie au coeur le plus sacré de sa vallée secrète, je léchai, suçai, pinçai de ma bouche à la langue pendante dansant de la fleur de miel à la rose de fiel ; dansant de l'anneau ocre au bouton d'or ; dansant en parlant à ses lèvres de ma langue au plaidoyer ronflant, pompeux, lyrique, dithyrambique, grandiloquent mais muet, et...

Et là, vraiment...

En ce moment précis où je me soulage, de ces souvenirs de mémoire, je me demande bien pourquoi je me casse la calebasse à faire « littéraire » quand je me souviens fort bien que ma seule quête était de la faire jouir du clitoris, aussi violemment que rapidement, avant de me permettre d'enficher brutalement ma bite excitée, ma bite enflammée, ma bite... Embrasé du gland jusqu'à l'occiput. Moi entier, moi languissant après l'instant favorable à l'assemblage du tenon de ses désirs au sarcophage du vagin de la « chose » pompant le tempo aux seuls accords harmoniques du tenant de mes envies, s'excitait de toutes mes pensées et m'entrainait à rêver... A rêver, moi, à ces « moments de force » (au sens propre des lois de la Physique) où un piston bien ajusté est mis en pression dans la chemise d'une culasse. Et où il s'ébranle sous l'effet d'une chaleur. Et où il produit l'énergie, nécessaire et suffisante aux transports de « l'ensemble des corps formant la machine » : l'énergie nécessaire et suffisante, l'énergie parfaite pour atteindre, moi, et surtout moi, ma petite mort...

Mais tu le sais, les rêves ne peuvent rien face à la réalité : ni à ses violences, ni à ses douceurs...

Et cette première nuit, introduction à nos premiers arrangements copulatifs, fut, entre violences et douceurs, une nuit de jouissances et d'orgasmes démesurés : fut une nuit d'agitations sans sommeil longue de vingt-sept heures dont je mettrais au moins une semaine à me remettre... Plus de son harcèlement à remettre « la machine en branle » que de la fatigue connue, ou de l'absence de désirs. Oui ! Je ne voudrais jamais imposer à personne mon emploi du temps d'alors où ne n'étais pas couché avant une heure et demi et debout dès six heures. Et souvent la nuit de samedi était blanche.

Oui ! Quatre vies par jour : études, travail, musique et baises. Mais je ne m'en plaints pas, bien au contraire. Plus sûrement, n'aurais-je pas su vivre plaisamment sans toutes ces activités mêlées à ma soif de connaissances, de découvertes, d'apprentissages, et mes désirs de rencontres variées...

S T O P !

Si tu veux enfin pouvoir lire une histoire incandescente de cul brûlant, arrête ici ton « saut de mon texte prise de tête » !

Déjà, ma tête blottie, ma bouche léchant, pinçant, suçant son sphincter qui se contristait autour de ma langue comme l'œsophage d'un python autour de sa proie. Et son clitoris dardait au rythme de sa respiration effrénée. Et sa bouche grognait son plaisir. Et sa chatte pompait au tempo de son coeur, ses grandes lèvres battait l'air comme les ailes du papillon cloué à la planche du naturaliste s'agite : la contraction, le relâchement, la libération ; contraction, relâchement, libération ; con... ad libitum !

Et à chacune de ses libérations son coeur de sexe répandait sur ma langue son fluide lubrique ; son jus de plaisirs, légèrement gluant picotant et salé, quoique totalement inodore, parfaitement incolore ... Mais ma langue le dégustait, avide, toujours plus avide. Et après m'être enivré des odeurs âcres, de son désir, et des traces d'épanchements naturels, dont ma langue avait nettoyé les saveurs âpres, je respirai amplement pour m'enivrer de ses arômes de plaisirs, de jouissance... Et d'orgasme. Oui !

Déjà, l'orgasme l'ayant saisie entière, ses cuisses giflèrent mes oreilles, se contractèrent autour de ma tête, et s'amollirent aussitôt sur le lit. Et je vis son vagin s'ouvrir. Puis son œil honteux, aussi... Presqu'aussitôt, son vagin expulsa un jet puissant qui gicla sur mes lèvres. Sans réfléchir le moins du monde, j'ouvris la bouche à l'instant même où le deuxième jet fusa. Il emplit ma bouche. J'avalai. Et, dans la seconde, je me surpris, pensant qu'elle m'avait pissé dessus, puis, m'étonnai de l'absence totale d'odeur et de saveur de son urine. Et je me surpris encore davantage à me dire que j'étais trop con, de m'être aussi bêtement fait piéger par une fille qui ne me plaisait pas. Et pire, d'être là, entre ses cuisses, agenouillé comme en prière, comme en adoration devant l'idole païenne, pris entre les couilles jusqu'au fond de mon crâne par cette envie irrésistible, irrationnelle, incontrôlable, d'honorer ce tabernacle à grands coups de mon goupillon ; une envie irrépressible de lui dégoupiller ma bite, de la faire exploser au fond du sacré-coeur. Tout à la fois, un mélange d'images pieuses et d'images militaires entre-mêlées. A la fois, une louange et un hommage. A moi, de telles images ! Juste à moi qui était déjà aussi mécréant qu'antimilitariste. Moi, pour qui Dieu n'existe pas. Moi, pour qui une Nation se défend par la grandeur de ses idées et de ses humanités : non pas par le sang.

Et j'en frissonnais d'angoisse. Néanmoins, je parvins à me dominer, pensant illico que j'aime tant les expérimentations (à cette époque déjà, mon point d'aboutissement fixé est de devenir un chercheur), que ce serait une erreur fatale de refuser de pousser celle-ci à sa dernière extrémité. D'autant que, n'est-ce pas, le jus du fruit étendu là sur le lit étant déjà tiré jusqu'à la lie, me restait plus qu'à l'étirer jusqu'à l' AH ! LALA ! du final avachi que j'avais toujours su tirer de chacune de mes maitresses. Et, je dois l'avouer, sans orgueil ni fausse modestie, pas toujours, ou forcément, avec mon pipeau. Je parle bien de cet ultime point orgasmique qui interdit toute nouvelle convulsion : de ce point, qui invite au « repos des guerriers » ; qui convoque l'apaisement, qui félicite les instant de tendresses...

Avec celle-ci (mais je ne le savais pas encore car je n'en connaissais n'y n'en imaginais l'existence puisque ce fut la première de mes maîtresses à m'en gratifier), mon expérimentation allait me conduire vers des extrémités encore inconnues. Non seulement j'allais baiser une femme-fontaine, mais j'allais aussi baiser une femme multi-orgasmique : une femme qui, dès que tu y tournes le petit bouton « power » s'allume plein écran et t'y joue « la chevauchée fantastique » en « technicolor » et « Dolby-Prologic 7.1 Surround ». Oui !

Oui ! Aujourd'hui, j'en parle avec humour. Mais je n'en ai parlé jamais, ni n'en parlerai, avec ironie. Et puis, je constatais très vite que cette faculté devenait parfois plus un handicap que du bonheur à coup sûr. Chez elle en tout cas, j'avais remarqué qu'après, elle fuyait toute effusion de tendresse...

J'avais le visage trempé...Du jus d'un orgasme éclair, (quand avec d'autres, je dus œuvrer bien plus longtemps et sans « pour-boire ») : un orgasme fulgurant et violent. Qu'importait ! Elle s'offrait, je n'allais pas l'offenser, tout de même ! Sauf que, aujourd'hui encore, je me questionne : pourquoi soudain me retins-je d'enfiler mon vit au coeur de sa vie de jouissance ? Pourquoi, alors que la congestion extrême de ma verge m'inclinait à la soigner selon la méthode « express », je replongeai plutôt ma bouche sur sa bouche de plaisirs pour de nouveau exalter ses spasmes de jouissances ?

Rassures-toi : je ne m'en repentis point. Car aussitôt que ma langue chatouillât son clitoris, son corps s'anima entier, secoué par un long spasme glissant des orteils aux seins puis refluant jusqu'au pistil de sa fleur sexuelle. Et, de nouveau... Je léchai, suçai, lapai, titillai, mordillai, salivai, léchai... Encore et toujours. Et sa bouche baillait de plaisirs, et son œil anal clignait... Toujours et encore... Tandis que mes mains glissaient sur son ventre sur ses seins... Pinçaient les aréoles, massaient les seins, massaient le ventre... Glissaient sous les fesses... Et de nouveau ! En un éclair, elle jouit ! Violemment ! En un éclair son sexe gicla sur mes lèvres. Doucement je léchai son sexe. Elle hurla :

AH ! OUI ! OUI ! OUI ! Encore ! Personne m'a jamais sucée comme toi ! Encore !

En appuyant fort ses mains sur ma tête pour confirmer qu'elle en voulait encore. Et j'en fus flatté...

Je me persuadai qu'était arrivé le moment propice de la pénétrer. Mais, comme elle frottait son sexe délicieusement dans ma bouche tout en maintenant ses mains tremblantes appuyées sur ma tête en se dandinant lentement, je choisis de la pénétrer du doigt majeur. Sauf qu'il disparut en elle comme avalé par un vide sidéral. Aussitôt, je le mis à l'index et agitai mes doigts joints dans la conjonction de l'espace vaginal où ils nagèrent aussi gaiement que des enfants s'ébrouant dans une pataugeoire...

[ Ce n'est pas très romantique, et alors ? La conjonction de mes idées n'a rien de romantique ! ]

L'annulaire, par la curiosité attiré, y jeta un « coup de phalangette ». Y découvrant un bain agréable, il y plongea entier. Et mon petit doigt me dit : Et moi, l'émoi j'y ai pas droit ? En se joignant d'un geste fouineur aux autres doigts au con enfouis à fond. En une crispation continue et intense, son huis se nimba autour d'eux à l'unisson du chant : AH ! OUI ! de mon innovatrice tandis que ma bouche n'ayant pas cessé de sucer son clitoris, ma langue virevoltait sur sa congestion. Alors, mes doigts baignant dans son jus de luxure entamèrent la danse agile des pianistes, juste là, sous le petit renflement de la vessie : là où les chairs du vagin sont les plus sensibles et excitables. Ainsi, la suçant toujours j'accordai mon jeu tout en touché de mes doigts au rythme de ma langue. Et sur le demi-temps faible de mes temps forts son corps entier s'agita en syncopes à cinq temps ; son corps se balançait dans un swing parfait style funky-groove. Et sa voix chantait une mélopée de — RAH ! OUIH ! désarticulés aux timbres rauques des blues-ladies-blacks. Et, dans ma bouche... Suçant sa perle de jouissances je sentais son coeur, et toute sa vie, en accroches battre en croches : — Boum ! Boum-boum ! Braoum ! . Léchant ses lèvres sexuelles, j'entendais les blocks sourds de sa gorge vaginale sourdre en — OH ! OH-OH ! OOH ronds et bien articulés entre chacun des soupirs engendrant ses contractions pubiennes. Et, de concert, je pianotais en touches véloces, précises, accentuées sur ses chairs avivées à vif. Et sur les lames ciselées des lèvres de sa bouche luxurieuse filtrant ses larmes de jouissance, comme sur les lames d'un harmonica, tantôt aspirant, tantôt soufflant, sur ses soupirs libidineux, j'interprétais une ritournelle endiablée excitant tous mes sens : mes sens sus en elle sensuelle par essence de ses sens, mes sens sut d'elle, sensuels de mon sang bouillant en tous sens, mes sens suant d'elle jusqu'au siège de mes sens d'art où le rythme de ce style naissant initiait un sens nouveau aux rythmes essentiels de mes plaisirs existentiels tenant dans les cinq éléments majeurs réglant cette époque de ma vie...

Et de nouveau, en beaucoup moins de temps que celui qu'il vous a fallu pour lire mon délire, le jus de son cocon força son antre et gicla sur ma bouche à l'unisson du cri strident : — OHAHIIIII ! jaillissant de sa fabrique à langages évolués, sinon érudit. Cependant, l'intense et puissant appui de ses mains sur ma tête me donnait à comprendre qu'elle exigeait que je poursuive ma partition sans quitter le siège de ma production. Du moins, le compris-je ainsi. Et c'est ainsi que je poursuivis mon jeu avec elle, en elle. Néanmoins, je dus glisser ma main gauche sous ses fesses afin de les contenir bloquées au bord du lit, pour mieux contrôler l'amplitude de sa danse du ventre et du cul. Aussi pour ne pas être contraint de m'étirer le cou afin que ma bouche garde son emprise sur son sexe...

Je n'ai pas précisé que, lorsque je l'avais poussée sur le lit, j'avais pris soin qu'elle s'assît, juste ses fesses au bord du lit. Ni, qu'après l'avoir dévêtue, je m'étais installé à genoux à ses pieds... J'avais déjà noté que cette posture plaisait à mes partenaires. Mais je n'avais jamais songé qu'elles puissent l'aimer parce qu'elle signifiait plus une soumission envers elles qu'une adulation de leurs plaisirs. Or... Ce fut précisément en cet instant que je réalisai qu'il pouvait en être ainsi. En cet instant précis où des spasmes convulsifs saisissant son bassin, j'extrayais mes doigts de son sexe qui me gicla au visage en cinq ou six geysers comme le champagne jaillit dès le bouchon ôté d'une bouteille agitée ; en cet instant précis où reculant doucement mais fermement ma tête à dix centimètres du calice, je vis son sexe se contracter puissamment, puis s'épanouir insolemment. Et à nouveau, se contracter violemment et s'épanouir délicieusement. Et encore, au rythme précis de ses convulsions. Et aussi, je vis son anus s'ouvrir puis se contrister, alternativement au contre-temps des torsions de son vagin

... Tous mes sens se ravissaient face à cette exhibition explicite : elle ravissait mon esprit entier, depuis mes pensées les plus équilibrées jusqu'à mes fantasmes les plus scabreux bourdonnant dans mon crâne, et ébranlait mes sens libidineux : avivés de l'occiput jusqu'à la congestion extrême de ma verge, jusqu'à la douleur extrême de mes noyaux de bourses. Je n'avais plus qu'une envie... qui ressemblait davantage au caprice insolent à de nouveau la pénétrer, sauvagement et profondément. Et je le fis. Cependant, je retins encore mon envie, condamnant l'insolence de ma bite à rester bien planquée sous le lit, et, au bénéfice de l'un des bâillements de son con j'enfouis sauvagement mes quatre doigts et les fis buter sur son point G à butiner... C'était juste, je vous le jure, par curiosité ; juste par ce désir indomptable de prolonger mes expériences jusqu'à leur ultime retranchement ; juste pour vérifier si d'autres jets, exultant exubérants, applaudiront la mélodie jouée par mes doigts

... Je repris la partition du pianiste, pour un petit break en solo car, au premier touché le corps de mon amante s'agita amplement, m'interdisant d'approcher son doux « harmonica » de ma bouche. S'ébranlant dans un roulis ravageur, bringuebalant dans un tangage dévastateur, il oscillait, vacillait, cahotait, tel un esquif balloté en haute mer par les vagues tempétueuses d'une houle de perdition. Toutefois, dans mon retrait contraint, son déhanchement diabolique m'offrit la vision magnifique de son anus entrouvert, ostentatoire, admirable, demeurant ouvert bien que clignant tel l'œil brillant d'érotisme et de sensualité vous invite à la lubricité à laquelle j'allais aussitôt répondre avec licence.

Comprenez-moi bien ! Je voulais encore me prosterner devant son temple et de ma bouche lui rendre louanges tandis que persévérait l'offrande de mes doigts dans son tabernacle. Mais pour y parvenir, je devais d'abord dominer sur les chaos de son corps. Et, c'est l'invitation de son anus qui m'offrit la solution ad-hoc. En effet, l'ouverture était idéale pour y accueillir sans hésiter mon pouce.

Alors je le suçai abondamment pour l'apprêter. Et à l'instant où ses fesses s'éloignait du lit, je glissai ma main sous elles et enfichait mon pouce « crochetant » son orifice anal qui le goba entier en le « mordant » : ferré, l'anus ! Ferré comme un poisson à l'appât qui, au plus veut s'en défaire, au mieux est pris. Mon pouce au chaud, ma main s'épanouit sous ses fesses. Je les soulevai davantage et bloquai mon coude sur le lit pour les maintenir relevées de la longueur de mon avant-bras...

Ainsi parés, son sexe idéalement positionné face à ma bouche sans que j'eus à me contorsionner, j'entrepris, de masturber vigoureusement son sexe des quatre doigts de la main droite enfouis, tout aussi vigoureusement son anus de mon pouce de la main gauche, et de ma bouche avaler et sucer son clitoris. Je la possédais, de ma main sous ses fesses maîtrisant les déhanchements de sa danse empirique, accroché de mon pouce en crochet dans son cul limitant l'amplitude de ses roulements erratiques à un tangage abrupt et un roulis étroit qui facilitaient grandement le jeu frotté de ma bouche sur son sexe et affirmait la précision du jeu de mes doigts... Je dominai l'orgasme démentiel qui la possédait. Et mon plaisir était immense. Tant, que je n'éprouvai plus l'envie de la baiser de ma queue prête à exploser. Je jouissais cérébralement de mon pouvoir de domination, et j'en étais fier...

Et ça, jouir avant d'éjaculer, jouir déjà du seul plaisir à sucer et masturber sa maitresse, orgasmer aussi bien des neurones du plaisir que de l'organe viril et devenir maître de l'orgasme de son amante sans recourir à l'ustensile, sans user de la puissance pré-supposée par son éducation assujettie à la rumeur des lieux communs au sujet de l'appendice sexuel, ce fut également l'une des plus grandes découvertes extraite de mes expérimentations menées cette nuit là, avec cette amante ci...

Oh ! Ne vous précipitez pas, à vouloir me juger inconsidérément. Ni à vous moquer. Avec chacune de mes amantes précédentes, j'avais eu l'occasion de noter, et de vérifier aussi, qu'elles avaient autant aimé les attentions de ma bouche sur leur intimité que nos copulations. Autant, sinon plus... Et j'avais eu le bonheur de caresser les frissons de leurs corps précédant leur orgasme clitoridien saisissant leur bas ventre de leurs contractions violentes et désordonnées. J'avais senti mon plaisir monter entre les convulsions colloïdales de leur cuisses autour de ma tête. Avec trois autres (seulement : je me souviens précisément de celles-là. Peut-être y'en eu-t-il d'autres), j'avais eu le plaisir d'explorer leur caverne de mes doigts. Lentement, délicatement, attentivement, j'avais cherché à lire leurs secrets sur mes doigts, à y découvrir les déclencheurs de leurs plaisirs. Tout ceci longtemps avant d'avoir pu détailler les planches anatomiques du sexe féminin (bien trop confidentielles au temps de ma jeunesse) ; bien avant d'avoir entendu parler du Gräfenberg, j'avais situé le point sensible, là, à deux phalanges de la porte des secrets, juste sous l'emprise de la vessie

... J'aimais beaucoup ces liminaires avec mes amantes et les considérais même comme primordiaux. Car ils signifiaient que j'allais automatiquement les entendre me réclamer, à demi-voix enrouée, ou à voix déployée entre deux syncopes respiratoires, de venir en elles... J'aimais autant ces instants que ceux où enfournant lentement ma bite au con, je prenais rythme à les aimer jusqu'à ma libération spermatique... Car, pour moi, signifiant surtout l'opportunité d'éjaculer en elles, ça flattait avant tout mon égo... Et dans mon esprit, ça produisait un état de bien-être fort agréable et reposant. Et, lorsque j'atteignais l'orgasme, j'atteignais aussi la félicité. Oui ! quelquefois, mon éjaculation ne conduisait pas nécessairement à l'orgasme. Surtout lorsque, pour la retarder, j'extrayais ma bite, pour la remplacer par un intermède buccal où je lapais avec délices leurs sucs de plaisirs. Et nombre de mes amantes m'en remercièrent sincèrement : aucune ne s'en plaignît jamais. Et puis, orgasme à l'éjaculation ou pas, ce ne fut jamais un problème pour moi. Et aujourd'hui, bien moins qu'hier. Imaginez-vous pourquoi ? Non ? Peut-être qu'un jour et dans un autre récit, je vous l'expliquerai : Pourquoi ! Comment ! ... De toute façon, toujours avec toutes, ne me limitant jamais à une séance unique de copulation, indolemment je venais lécher leur sexe, peu de temps après m'être libéré en elles. J'aimais les lécher car je pensais en cela, leur offrir de mon affection dans cet instant d'apaisement venant après l'agitation de leur jouissance. Et pas seulement que j'aimasse les miasmes de leur jus de jouissance. Et moins encore les « laver » de mon sperme. D'ailleurs, les premières fois, j'avoue que mon sperme s'épanchant mêlé à leur mouille, ça ne me ragoutait pas vraiment. Toutefois, avec le temps... De la réflexion et de l'expérimentation, j'y trouvais de nouveaux plaisirs. En tout cas, avec cette maîtresse-ci lécher un con se vidant de mon foutre n'était plus un obstacle. De plus, comme avec elle, je venais de franchir un degré de plaisir supplémentaire à me délecter du jus quasi intarissable de sa fontaine intime, hein, fermons la parenthèse... Parce que, à ce moment même de la partition où tous les instruments concertisent « al vivace », le pouce poussant à l'anus, les quatre doigts fouraillant dans sa grotte, tels les trois mousquetaires assistés de leur d'Artagnan, étendards dressés, ma bouche verrouillant ses lèvres vaginales comme la porte blindée d'une salle forte. Le bassin gesticulant comme sous la torture, elle gagnait son troisième orgasme consécutif. Et je sentis son vagin s'enfler, et mes doigts s'inonder, et son jus vouloir exploser. Alors, je desserrai mes lèvres mais les gardai collées à son sexe qui gicla dans ma bouche, secouant amygdales et luette, hésitant entre le conduit à fumée et le garde-manger, manquant de m'étouffer... Je déglutis comme je pus. Et je sentis le reflux de mon incapacité couler sur mon menton à l'instant où un nouveau flux envahissait ma gorge... Encore, et encore, chaud et tout aussi suave qu'une tisane à la camomille, tandis qu'un long frisson de joie glissait dans mon dos lentement. Et ses mains pesant toujours sur ma tête, toujours plus, devrais-je dire, d'autant que ma position entre elle limitait grandement la contraction de ses jambes contre mes épaules, elle hurla : — OH ! OH-OH ! OOH

Puis : — RAH ! OUIH ! — ... Ad libitum, du coda au point d'orgue, le corps convulsé entier, comme agité par une lente et interminable agonie : la différence majeure, fondamentale et ineffable, entre cette agonie-ci et celle qui vous transporte dans le néant, tient en ce que l'agonie de ses orgasmes n'était qu'une petite mort d'où elle revint émerveillée après avoir vu et goûté au paradis des plaisirs. C'est elle qui me l'affirma... beaucoup plus tard, lorsque l'on se quitta plus de douze plus tard : douze heures sans qu'elle ne prit presque aucun répit ; douze heures d'agitations qui me laissèrent vidé, harassé, mais fort heureux ; douze heures au terme desquelles elle voulait me garder chez elle, pour elle ; douze heures après m'avoir avoué, non sans une certaine émotion, (déjà, l'aveu d'une femme, c'est « quelque chose ») que j'étais le seul de ses amants qui l'avait transportée aussi loin dans l'orgasme ; surtout, le seul, qui n'avait pas été dégoûté par ses « particularités » ; le seul qui ait su la conduite jusqu'à l'ultime point de ses jouissances : « au bout de moi-même », avait-elle dit... Personnellement, je ne le croyais pas. Tout du moins, je ne voulais pas y croire. Et comme, physiquement, elle ne m'attirait pas, j'avais pris cette expérience pour ce qu'elle était : expérience. Certes, ce fut une expérience forte, enrichissante et agréable, novatrice et éducative... Mais nulle sur le plan de l'ivresse des émotions et des sentiments. Pour couronner cela, je n'arrivai pas à me situer en face à face avec elle. Moi et mes dix-huit ans, elle et ses vingt-quatre ans. Elle et son snobisme, et moi, ma nonchalance. Elle et la « mode », moi, pas. Sa culture opposée à la mienne. Elle et son « pragmatisme utilitariste », moi et ma soif d'inconnues... Ses opinions différentes de mes opinions ; sa rigueur en opposition à ma rigueur... Le sexe, seul, aurait-il su lutter contre nos « moi » ?

Pourtant, à chacune de nos « parties » de sexe, le sexe effaçait toutes nos différences, aplanissait toutes oppositions. Et le sexe triomphait en apothéose. Et c'est la seule femme avec laquelle je suis parvenu à éjaculer à de multiples reprises au cours d'une même « partie » : neuf fois en une nuit. D'accord, après chacune d'elles, il me fallait plusieurs jours pour m'en remettre. Heureusement que notre liaison n'aboutit qu'à dix rapports en huit mois : dix rapports suivants les dix concerts où je me produisis devant son « clan ». Il y aurait pu y avoir d'autres concerts : son « clan » en réclamait. Mais il y eut notre « rupture ». Elle fut simple et rapide. A la fin de notre dernière « partie », au moment où je m'apprêtais à prendre congé, contre sa volonté de me garder auprès d'elle, chez elle, je lui demandai : — Pourquoi ? — Sa réponse : — Parce que tu me fais jouir comme une folle ! — je la saisis au bond et la jetai à terre sans ménagement : — C'est tout ? Je ne suis que ton objet ? —

Oui ! C'était tout ! Ainsi, tout s'arrêta aussi brutalement. Et je m'en sentis étrangement soulagé.

Mais au fait, de quoi était-il question au début ?

Ah oui !

La bouche aux lèvres glacées d'une femme ayant atteint l'orgasme.

Ça, cher ami, c'est ma plus belle récompense... Depuis toujours et ça le demeure à jamais (1).

Et comme ça, c'est Erica mon épouse qui m'a le plus souvent et merveilleusement récompensé.



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Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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