Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 11:04
 
  • Aux hasards des croisements …

Un matin tôt, Claude assise à une table de lecture de la vaste bibliothèque du Palais étudiait un document constitutionnel... Comme chaque jour, venant y récupérer les «synthèses de la presse » montées par les attachés-de-presse à l'usage des attachés-parlementaires pour aider ces derniers à rédiger leur propre « revue-de-presse » à l'attention de leur parlementaire, afin de permettre à ceux-ci d'élaborer leur « abus de presse » relatif à un « sujet de presse brûlant » ( je sais cette paraphrase est un « rien »... perfide. ), Josy reconnaissant de loin le dos de Claude se détourna de son « ravitaillement de presse », pour aller à pas feutrés, la saluer d'un baiser chafouin au bord des lèvres ; d'un baiser inopiné et mutin...

Faut-il que j'explique ?

Il va l'exiger, j'en suis sûre ; il va exiger de savoir, pourquoi ou comment, l'ingénue Josy pouvait dispenser un baiser aussi familier à l'égard d'une collègue du double de son âge. C'est que, tout attaché qu'il est à relier l'histoire d'Alfred, il ne voit pas, lui, que dans son dos, il existe aussi d'autres vies, d'autres protagonistes, d'autres intrigues, d'autres relations, d'autres inter-pénétrations...

C'est ainsi qu'il aura oublié l'épisode « Thé » ; qu'il aura oublié qu'après avoir affirmé à Marinette :

Tu es jeune Marinette, tu es bien jeune !

En se contentant de sourire, Claude avait salué et quitté la table suivie de très près par Josy et Félicie. Il aura simplement pensé, que c'était une banale mise en scène figurative ; il n'aura pas imaginé que des affinités, sinon des intimités seraient possibles.

Or...

Nous autres libertines ne résistons jamais aux liaisons d'affinités intimes : elles sont le sel de nos fantasmes, de nos désirs, et davantage le piment de nos plaisirs. Et que l'ont soit hétéro-maniaque ou sapho-démoniaque, ou à la fois suceuse de dragées et de sucre-d'orges, n'y change rien. De même, que l'on soit libertine ou pas, pour nous autres femmes, c'est toujours la tendresse qui prévaut. Et le plus souvent d'elle naît le désir. Et de lui jaillit le plaisir. C'est ainsi que les femmes, sensitives et intuitives par essence, donnant au hasard une forme figurative, lui accordent un sens initiatique ; c'est ainsi que les femmes liant souvent hasard et destiné, les accouplant naturellement ensemble : un hasard et une destiné qu'elles ne pratiquent jamais par hasard, trouvent dans l'accomplissement de leurs passions, autant fortuites que construites, les raisons de leur destiné.

Donc, c'est ainsi que l'apprentie Josy frappée par l'affirmation d'expérience de Claude, emprunta ses pas, décidée à lui mendier quelques conseils utiles. Tout comme Félicie l'ayant compris ainsi emboîta leurs pas afin de saisir l'opportunité qui se présenterait... Halte ! Faudrait pas que je dérive « hors sujet ». Et puis... Tant pis : tiens ! Le voici l'alibi m'interrompant là : je dois raconter l'histoire à Minette menant Alfred par le bout de la queue.

Il ne pourra donc pas me reprocher de garder pour mes abus personnels des frasques se jouant en marges de notre Indécise et des ses amants décisifs. Et peut-être aussi que (tout conte fait) cette démarche-ci, créant des liaisons intimes entre amies de Marinette, aura pour mérite de l'isoler un peu de leurs influences pour mieux libérer ses débauches avec les hommes ses amants...

Cependant, histoire de faire saliver un peu mon co-adjuteur, je ne peux retenir mon plaisir de lui dévoiler que Claude, expliqua à Josy, de la voix et des mains, de la langue et des doigts, comment Marinette se perdant en conjectures de désirs, se perdait aussi en conjonctures de jouissances. Car ce qu'ignorera toujours Marinette est que Claude a un amant de coeur qui est à la fois l'ami de cul de son mari et l'époux de Félicie qui est leur maîtresse. Et que, Claude présentant ce joli amalgame à Josy, celle-ci se plut à devenir leur amante conjointe. Je dis bien l'amante : leur maîtresse à tous restant Félicie.

Ah, s'il n'y avait eu le carcan de son sujet pour bonder mon imagination, je suis sûre que j'en aurais bandé d'avance, de ce qui se tramera dans ce « joli enchevêtrement que voilà ». Parviendrai-je à retenir mes doigts sur les boutons du clavier ; d'abord faire courir mes doigts sur le clavier, et après... Qui sait ? Je ne m'exclamerai pas comme certaines : — Dieu seul le sait ! — Parce que la seule chose que je sais de Dieu ; la seule chose que je sais pour l'avoir expérimentée très souvent, c'est que Dieu hésite tout le temps ; il hésite même depuis toute éternité ; il hésite entre le paradis et le néant ; il hésite entre l'enfer et le chaos... Puis Dieu hésite encore : — Vais-je encore engrosser Gaïa la Terre, ou vais-je me taper une vierge ? — Mais... Indécis, il se tape les deux... Et de l'une naissent les Titans, les abîmes et les vents, la pluie et les volcans... Et de l'autre... Un crucifix ! Et le plus étonnant reste que tout se massacre ne lui a pas suffit à Dieu. Non ! Puisqu'il y a toujours plus de connards sur terre qui se disent « fils de Dieu » : Fils de Dieu pour mieux asservir l'Homme... et avilir la Femme ! Alors Dieu ! Dis donc, le vrai indécis, n'est-ce pas toi ? Allez Dieu ! Vas mendier ailleurs : tu n'auras pas plus mon bon coeur que mon petit cul. Oui mon amour ; mon diable d'amour dieu des culs ! Tu le vois bien toi que je ne suis jamais « hors sujet » !

...

Plus tard dans la journée, Marinette arpentait la grande galerie du palais (aujourd'hui désignée « annexe de la Bibliothèque ») comme quelqu'un qui fait les cent pas dans les pas perdus d'un hall de gare, ou comme une éperdue à la recherche d'un amant perdu, ou comme une ingénue en quête de sa vertu égarée... Mais l'on voyait bien que Marinette n'était là, ni par hasard, ni en quête d'inspiration mais plutôt d'aspirations. Qui donc attendait-elle ? Et attendait-elle vraiment quelqu'un en particulier ? Et cette attente était-elle si importante ? Non ! Marinette espérait simplement croiser là une oreille connue qui aurait la charité de l'écouter raconter ses mignardises avec Alfred ; d'aucun la connaissant parlera de minauderies et simagrées. Moi, je dis plutôt : singeries et chichis. Oui ! En cet instant, Marinette est loin de l'état libertin que nous connaissons ; Marinette, loin des libertés à jouir des autres pour elle-même, loin de jouer d'elle pour le plaisir des autres ; loin de tous les états libertins courants des libertins de conscience aux libertins de moeurs ; Marinette loin, perdue dans ses pensées aux complexions et contextures combinatoires ; ses pensées telles qu'héritées de son « école de la pragmatique libérale propre au macrocosme politico-économique d'aujourd'hui » ; Marinette déambulant cherchait la méthode ad-hoc susceptible de donner à son récit l'amorçage dynamique propre à produire de l'intérêt chez ses auditrices : au moins de l'intérêt, ou de la convoitise, sinon de la concupiscence... Marinette en était là, de sa perdition, quand une main se posant soudainement sur son épaule la fit sursauter.

Votre sujet doit-être d'importance, chère Marinette : à voir votre concentration ... —

Affirma d'un ton mi-badin, mi-solennel la main posée sur l'épaule. Surprise, Marinette lui reprocha :

Vous pourriez user d'autres manières pour aborder les gens, mon cher Albert ... —

— Suis désolé : je n'avais nulle intention de vous effrayer. Veuillez m'excuser je vous prie. —

Je vous... — S'interrompit-elle en se jetant dans ses bras et en l'embrassant au bord des lèvres ;

un baiser qui se voulait aussi ostensible que chaleureux... Car, comme par hasard, la grande bringue de Félicie entrant dans la galerie et se dirigeant vers eux, sûrement pour pénétrer dans la bibliothèque, ne manquant pas de remarquer cette scène torride, se ferait un plaisir, sinon un devoir, d'aller, dès que possible, se précipiter dans les bureaux de ses autres collègues la leur rapporter. Un frisson parcourut Marinette entière ; un frisson qu'Alfred ressentit si bien que, ses bras enserrant la taille de Marinette il répondit fougueusement au baiser. Marinette en était sûre : — Elle vont pas me lâcher ! — ; Marinette jubilait : — Je vais les faire baver ! — Toutefois, dès qu'elle vit Félicie sortie de la galerie, Marinette de ses deux mains sur les épaules d'Alfred le repoussa assez sèchement en disant sur un ton quasi offusqué : — Voyons Albert voyons je vous en prie ! —

Ce qui, le surprit tant qu'en la relâchant aussi sec il lui répondit : — C'est vous qui voyez ! —

Et, sans rien ajouter, surtout sans rectifier son prénom, il tourna les talons laissant Marinette figée comme une statue au milieu de l'allée. Elle leva un bras, sautilla deux fois dans le dos d'Alfred comme pour le héler mais sa bouche resta muette. Et Alfred disparut.

Ah ! Mais quelle conne je fais, putain ! — S'insulta-t-elle en se précipitant sur les pas d'Alfred.

Cependant, parvenue au bout de la galerie, elle dut se rendre à l'évidence : « son Albert » s'était volatilisé au hasard de l'immensité du palais du Luxembourg. Marinette, désabusée et renfrognée, décida d'aller par défaut s'envoyer un thé à la civette du palais...
Allez, mon amour, dis-moi qui y était, là comme par hasard ?

Alfred ? Oui, Alfred assit seul au comptoir à déguster son coca habituel... Mais aussi les quatre amies qui papotaient attablées. Et alors ? Ohlala, la tête à Marinette... Tout un orchestre de gros KA l'envahit faisant rouler ses yeux exorbités d'Alfred à la table ronde où elle vit les quatre têtes se rapprocher comme pour un conciliabule secret. Marinette n'arrivant plus à réfléchir sentait ses jambes trembler autant que sa raison chanceler. Un instant elle crut même vaciller là connement à deux pas, dans le dos d'Alfred... Rassemblant l'once de force et de lucidité mêlées elle parvint à agripper la barre du comptoir de sa main gauche à deux doigts de la main d'Alfred. Celui-ci, d'abord surpris, levant les yeux, voyant la pâleur du visage à sa droite éteint, craignant de le voir choir à ses pieds, saisi de compassion, il enserra vivement ses bras autour de la taille de Marinette qui s'y abandonna sans retenue ni aucune autre réaction.

Ça Va ? — S'inquiéta sobrement Alfred

— Oui ! Ça va mieux ! — Rassura Marinette. Ajoutant aussitôt : Je vous demande pardon ! —

Sans qu'il lui en coûtât. Et cette absence de regret de s'être ainsi offerte en pâture à Alfred comme à la raillerie des ses amies la remit immédiatement d'aplomb.

Je vous demande pardon ? — S'étonna Alfred

Pour tout à l'heure, dans la galerie, mon attirance soudaine pour vous m'a paniquée

Je l'ai parfaitement compris ! — Mentit par facilité Alfred : il ne pouvait sensément pas avouer qu'il n'avait rien compris de l'attitude de Marinette. Et pour cause, n'est-ce pas ?

Voyez-vous, là-bas, si l'on nous avait vu, ça aurait pu choquer certaines personnes qui... —

— Qui pourraient jaser... — L'interrompit-il. Complétant aussitôt en désignant du nez la table ronde : Surtout la grande bringue là bas : elle a la langue bien pendue !

Je sais, je sais... ! — Admit-elle

Remarquez, moi, je m'en fous : on pourrait me médire tout son saoul que ça n'aurait pas plus d'incidence sur ma professionnelle que sur vie privée. — Se découvrit-il sans pudeur ni vergogne :  Mais, peut-être... Que pour vous... — Chercha-t-il à discerner.

Vous savez, en dehors du Palais... Je me moque bien de ce qu'on peut dire à mon sujet : je suis une femme libre ! — Finauda-t-elle...

Marinette bras ballants était restée enlacée par Alfred, yeux dans les yeux. Réalisant soudain tout le parti de la preuve qu'elle avait à gagner sans même avoir plus besoin de rien raconter à ses collègues attablées, de ses bras elle enserra le cou d'Alfred et lui roula une pelle à laquelle il répondit sans coup férir. On entendit quelques gloussements et piaillements monter de la table ronde qui ne semblaient pas parvenir aux oreilles du couple tout accaparé à échanger leur salive en d'autre activité interdisant de parler. Bref !

Les filles se levèrent, passèrent à la caisse et quittèrent la buvette en jacassant à qui mieux-mieux.

Ah, Ah ! Ne t'y trompes pas mon cochon d'amour : je n'ai pas retourné mon zizi version machiste. Cette perception de l'image, c'est les « fricadoux » qui l'on perçue : pas moi. Car, en fait, les quatre complices n'avaient pas d'autre intérêt que de mettre au point le scénario de leurs prochaines folies culières.

Humm ! Délicieux... Il me pardonnera ! — Dit Marinette en reprenant son souffle

Qui ça ? — Demanda niaisement Alfred.

Jean-Joseph, mon ami — Sourit gaiement Marinette, toute fière de son effet produit sur Alfred.

Ah, vous avez un ami ? — Se démonta-t-il

Oui, un ami... Mais je suis une femme libre : totalement libre. Et je n'ai pas pour habitude de me reprocher mes élans de désirs, vous savez ! — Précisa-t-elle Joyeuse et véhémente.

Je vous crois volontiers et ça ne me gêne pas... — Sourit-il. Et elle aussi. Il embrassa son sourire... Et les voilà qu'ils repartaient à bisser leur langage baveux ?

Voyez-vous, je n'suis pas jaloux : pas du tout — Parodia-t-il sans fausse note dès qu'il eurent besoin, l'un et l'autre, de reprendre une bouffée du carbone ambiant...

Vous boirez bien quelque chose pour respirer un peu ? — Plaisanta-t-il.

Oh voui ! Je prendrais bien une petite coupe, tiens ! Pas toi ? —

Si, si ! Il faut bien ça pour désaltérer une si désirable passionaria !

Après cinq ou six coupes ; après que les bulles aient commencé à produire quelques effets pétillants libérant quelques doigts de gaité, Albert guilleret demanda à Marinette :

T'es libre ce soir, on dîne ?

Volontiers, très volontiers. Attends ! — Accepta-t-elle en sortant de son sac à main (non sans peine), son téléphone portable [Si je ne n'avais pas noté cette parenthèse ici tu te serais moqué de moi, n'est-ce pas mon amour vache], elle lança ce message clair : Oui ! C'est moi ! M'attends pas ce soir : je rentre tard. Bonne soirée mon amour, je t'expliquerai. Puis, jetant son portable au fond du puits à main, se tournant vers Alfred, lui enserrant de nouveau le cou de ses mains libres pour un nouveau cycle à mains, elle lui chuchota lèvres à lèvres : Voilà, mon amour : ce soir, je suis toute à toi.

       — ....
Que nenni mon tendre amour ! Je ne te ferai pas bander à te raconter leur folle soirée... D'autant qu'il ne s'y passa rien de torride ; rien de suffisant pour faire bander le moins satyre des hommes ; rien d'autres que quelques flirts entre deux bouchées. Eh oui, « ma chose », c'est bien toi qui m'a refilé ce foutu cahier des charges à respecter, non ? Alors, tu sais très bien qu'entre ton Alfred et ma Marinette, rien ne s'est réellement concrétisé avant ce premier soir de cinéma où, selon ce qu'Alfred raconta à son ami Fred, le film déprima tant Marinette qu'elle n'eut de soulagement qu'après avoir baisé avec Alfred, oui ?

Eh bien Voilà ! Ce soir, Marinette se plût à se raconter à Alfred ; elle se plût à raconter quelques aventures ; elle se plût à justifier son statut libertin : elle se plût à s'affirmer « incapable de refuser d'assouvir ses désirs » ; « avide de libérer ses plaisirs », avouant toutefois que jusqu'à présent elle n'avait pas encore eu le courage de conserver longtemps deux amants conjoints, ajoutant aussitôt :

C'est drôle, jusqu'à aujourd'hui, je ne sais pas dire pourquoi, c'est toujours mon dernier coup de foudre qui « gagne » ma préférence.

       — Rassures-toi ! Je ne suis pas du tout jaloux... Et puis, j'adore les femmes libres. Et davantage celles qui assument leur liberté ; celles qui avouent refuser de brimer leurs désirs et leurs plaisirs. — Crut utile de préciser Alfred ; Alfred qui croyait que cette précision de non jalousie ne pouvait être qu'un gage supplémentaire pour réussir la liaison qu'il espérait avec Marinette. Car, comme nous le savons tous, mais comme elle l'ignore (elle), aux propos tenus plus avant dans la soirée par Alfred, Marinette aura clairement compris qu'il est « libre comme le vent » ; qu'il n'est présentement tenu par aucun engagement sentimental. Encore moins lié maritalement. Somme toute (surtout côté addition, faute d'être encore parvenu à une quelconque addiction), ils passèrent une soirée fort agréable, à se raconter l'un à l'autre, à se confier leurs « plaisirs respectifs » et même à s'avouer quelques-un de leurs fantasmes (faute de vécus assez croustillants). Ainsi, lorsqu'ils se quittèrent, ils se promirent, l'un pour l'autre et inversement, de se procurer des « bons temps partagés, brûlants et raides. » que, peut-être vous narrerais-je lors d'un prochain épisode... Car je vous connais bien, vous tous : il n'y a que ce qui émoustille qui est capable de satisfaire votre sauvage lubricité de libertins amoraux. Remarquez, j'avoue : MOI AUSSI !

Je sais mon amour ! Et c'est volontaire ! Le quatrième épisode sera « de temps féminin » que tu le veuilles ou pas. Comment ? Tu me fais rire, tiens, avec ton empressement « masculin ». Pourtant, à ton âge, tu n'ignores pas que nous autres femmes jouissons plus à atteindre notre plaisir jusqu'à l'extrême supplice du temps retenu où explose notre orgasme, non ? Et toi, tu es déjà là, à vouloir éjaculer, selon votre maladive précocité masculine ; déjà là à vouloir éjaculer ton épilogue vengeur ! Voyons ! Retiens-toi un peu, tout de même ! Non ? Tant pis : branle-toi en attendant. Tiens ! Je te regarde même ; je te regarde avec grand plaisir et j'aspire même, à ce que ça m'inspire : Tu vois, combien je t'aime, mon amour !

* * * * *

Par Pateric - Publié dans : Contes - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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