Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 09:13
 

Nu, dans l'éclatante blancheur du couloir nu, suivant la jeune métisse aux parfums vanillés roulant ses fesses dans un rythme « biguiné » aux invitations si ardentes que, de nouveau, mon goupillon battit cadence fanatique en marquant son tempo frénétique. Je n'avais plus la sensation du marcher, mais l'impression de flotter au-dessus d'un champ de lys : blanc étincelant, blanc vierge, blanc pur. C'est comme si je n'avais plus eu de jambes, comme si mon corps finissait à la rose d'anus ; à la rose aux étamines frissonnantes, tantôt s'épanouissant comme une invitation, tantôt se resserrant sur un pistil jouisseur et électrisant faisant grimper l'onde jusqu'à mes occiputs. Et, dans ma tête tel Hermaprhodite naissant, un désir fou m'assaillant m'embarqua bien malgré moi dans des fantasmes aussi fantaisistes que fantastiques où ma métisse arborant son phallus noir arrogant au noeud carmin turgescent forçait ma fleur anale tandis que sa main saisissant ma trompe génitale la forçait à explorer son antre vaginale. Et tandis qu'elle me burinait, je la butinais, étrange animal chimérique ; animal à deux têtes hystériques ; animal aux deux corps tordus et enchevêtrés née d'une improbable, sinon impossible fusion ; corps tordus, autant par la jouissance née de ces totales pénétrations que de la douleur née des contorsions à aboutir l'enchevêtrement. Et alors que je le sentais monter ; alors que je sentais cet instant monter depuis le plus profond de mes gènes : l'instant où mon explosion se répandra... L'attribut viril de ma métisse s'ouvrait la voie de son débordement au-delà de ma rose enserrant voluptueusement sa puissance. Et ce débordement s'immisçant tel une boule de feu forçait ma fleur, explosait et emplissait mes fondements de sa semence sacrée me faisant hurler de plaisirs, et de son chant de Calypso ravissait toutes mes volontés. Toutes mes volontés, y compris celle où croyant ma jouissance mâle proche de son apogée elle m'introduisait... tout entier frissonnant, tout raide : raide du crâne jusqu'au cul ; au cul que je sentais palpitant comme un coeur plein de désirs ; au crâne palpitant sur mon cou raide comme mon doigt d'amour insultant les cieux... Ma métisse m'introduisait dans un nouveau laboratoire plongé dans une étrange pénombre...

Nous y voici ! Dit-elle dans un sourire ravissant : splendide, envahissant, enchanteur...

J'étais perplexe d'être ainsi sauvagement retombé dans un réel inquiétant où, si je ne sentais pas mieux mes jambes me porter, je ne me sentais plus rien de mon corps : juste mon coeur cogner comme un fou martelant la porte de sa cellule d'isolement.

Camille, nous sommes là ! S'exclama-t-elle dans l'obscurité où brilla un éclat d'émail articulant :

Woui, woui, Qwistin', souis là De sa voix grave à l'accent antillais.

T'as vu comme il bande cet animal ? Affirma-t-elle dans mon dos en manipulant ma verge.

Ma verge fermement et techniquement enserrée dans la main de Christine (puisque tel semblait être le prénom de ma métisse), Christine exhibait ma verge fièrement dressée en direction des yeux du Camille tout en griffant mon dos de son autre main, doucement et lentement, descendant le long de mon échine ; une griffure caressante me faisant frémir aussitôt du crâne jusqu'aux orteils. Je respirai profondément, sûrement soulagé de sentir à nouveau renaître les vérités de mon corps...

Putain ! Elle me plaît sa bite à ce vieux cochon. S'exclama-t-elle en la branlant promptement.

Tut, tut, doucement ! Ne vas pas le faire jouir maintenant : faut que j'examine cette érection.

Dit le Camille en désarticulant sa stature de pivot vers moi. Dans ses grosses mains aux doigts immenses, il tenait une espèce de cornet gris aux tentacules multiples ayant plus l'apparence d'une seiche que d'un instrument à vocation médicale. Du moins fut-ce l'impression que j'en eu avant que, reprenant mes esprits, je reconnusse en ces tentacules de banals câbles de mesures électroniques... Lorsque prenant ma verge à pleine main elle y disparut presque entière malgré son expansion extrême (le gland seul restant visible) il l'introduisit dans le cornet à examens, je songeai tout de go que si son autre « exhumence » possède la même démence dimensionnelle que les doigts de sa main et que, s'il lui venait l'idée d'en user sur mon fondement pour raison d'expérience, pour sûr très cher, que je le paierai cher : je le paierai en hurlant de douleur et non de plaisir. Quoique... Car en cet instant, je n'aurais su dire si cette douleur là, aussi, n'eut pas également pu me faire beaucoup jouir... Parce qu'en fait, le traitement précédent prodigué par la Dominique aux sensibilités de mon anus faisait que, encore maintenant, je le sentais plus avide de jouissances que ma bite et ses fantaisies. Bref, ce genre de doute qui remet en cause vos certitudes d'appartenance à un genre plutôt qu'à un autre ; ce genre d'incertitudes qui défend cette cause marginale qui déclare :

Qu'importe l'identité du sexe, tant que demeure l'ivresse du sexe.

Surtout que, obligé de s'y reprendre plusieurs fois pour faire avaler ma bite par le cornet, dégonflant le boyau du cornet tout en tripotant popôl, encore et encore, maugréant dans sa langue fleurie des insanités à l'encontre des dimensions lilliputiennes de ses appareils de mesures, me laissant beaucoup de temps pour divaguer à loisir, j'étais reparti en voyage au pays des fantasmes.

Tout de même : on y est arrivé. Finit-il par soupirer, d'une main soupesant mes bourses, l'autre tirant sur le cornet comme pour le faire céder. Puis gonflant un peu plus le boyau du cornet sur ma bite, il dit : On peut y aller. C'est bon ? Ça serre pas trop ?

Qu'est-ce que tu dis ? Lui demandai-je car je n'entendais que mon coeur battre sur ma queue prisonnière du fourreau de latex du cornet. Il répéta ses questions que je lus sur ses lèvres : sur ses lèvres que j'eus soudain la folie d'un désir d'embrasser. Je déglutis : Oui !

Putain ! Me voilà pris, maintenant, à désirer le Camille. Putain, où vas-tu t'arrêter Pensai-je.

Sur l'écran face à moi, plein écran l'image en « 3D » de mon sexe : un sexe long de soixante dix centimètres au moins, large comme... Un jéroboam de Jameson... Rond et rouge comme un tuyau d'incendie... Et, à l'intérieur, toute une vie, grouillante, colorée, désordonnée, voire chaotique. Et, de veines en veinules, de caves en couloirs, de flux en reflux... Un charivari « vivace con entusiasmo ». Camille notait sur un calepin, entrait des données au clavier, se grattait la gorge, manipulait un manche à balai (un joystick)... Camille manipulait virtuellement ma bite. Et je la voyais, rouler, gonfler, dégonfler, se morceler, se diviser, se multiplier, se « caméléoner », se métamorphoser. Puis, se dissoudre dans l'écran au moment même où il affirma :

J'en ai fini avec sa queue ! Elle est tout ce qu'il y a de plus normal : elle est juste favorablement réceptive au composé chimique de notre préservatif. Je ne vois pas d'autre explication.

Je peux le faire jouir maintenant ? demanda Christine, un désir non dissimulé dans la voix.

Si tu veux ! Répondit-il.

Sa réponse me paraissant peu encourageante, je sursautai. Alors, Christine demanda :

ça te ferait pas plaisir, mon petit chou ?

Je la regardai fixement, revoyant devant moi la scène du couloir mais n'osant, ou plus sûrement, ne parvenant pas à exprimer mon désir de la baiser à la hussarde, de la pénétrer à la sodomite, et de me faire enculer par sa bite rêvée... Je restai muet.

Mais non, mon bébé ! Si t'as envie de sa bite, à ton vieux cochon, ne t'en prive pas... C'est juste que je crains que tu n'arrives qu'à l'exciter plus...

Ah bon ! Dit Christine interrompant Camille, de la joie plein la voix. Tu crois ça !

Je suis prêt à le parier.

Moi aussi

D'accord : mais t'as déjà perdu

Ah bon ? Et pourquoi ?

Parce que Dominique est déjà passée par là. Et qu'elle n'y est pas allée de main morte. Ecoutes ! Je dois aussi examiner son cul. Et je n'ai pas envie de finir à l'heure de la brousse. Alors, pour le pari, on le jouera après, tu veux bien ? Vous êtes d'accord ?

Pardon ? M'étonnai-je.

Le monsieur te demande si tu es d'accord pour jouir après qu'il t'ait examiner le cul Rit-elle.

Pardon ? Bissai-je.

Bon, il est parti là, ce vieux cochon : on ne va pas perdre notre temps à examiner ses fantasmes. Après tout, il a signé pour l'expérience : il a accepté de se soumettre à nos procédures, non ?

Dit Christine. Puis, s'adressant à Camille elle ajouta en éclatant de rire :

Allez mon petit chou ! Examines-lui bien profond son trou du cul... Des fois que le secret de sa virilité y soit caché...

Et en relevant abruptement les étriers où mes pieds reposaient. Mes jambes s'écartèrent amplement et mes genoux butèrent sur mon buste. Je sentais, lentement, s'ouvrir mon « orifice honteux » ; je sentais une béance aspirant l'air d'ambiance. Et songeant soudain que je devais être à point pour ... au moins un poing, j'en vis la confirmation dans l'écran. Puis je vis Camille à quelques centimètres de mon cul, une canule à rayon bleu cobalt en main : sûrement une fibre optique filmant mon trou. Et Christine coiffant la canule d'une grosse bite translucide aux multiples fils ornant ses « bourses », encouragea Camille dont le regard me semblait inquiet... Ou pensif : (- Je verrai bien – Pensai-je.)

T'inquiètes pas mon petit chou ! Tu vas pas le lui casser son trou du cul... Tu l'as dit mon chou : «  Dominique est déjà passée par là. Et elle n'y est pas allée de main morte. »

Tu crois qu'elle est aussi passée par là ? Demanda-t-il confirmation.

Ça t'étonnerait mon chou ? Pourtant, hein, tu la connais bien Dominique. Dis-moi, hein ? -

Hein ?

C'est ça oui ! Dis-moi pas que t'as oublié, mon chou, dis-moi pas hein !

Bon, bon ! Ça va ! Monsieur, dites-moi... Oui, heu... Hésita-t-il .

Oui, heu ? Jouai-je à son jeu Que je vous dise si elle m'a enculé ?

Heu... Woui ! Soupira-t-il.

Woui ! Lui criai-je d'aise. Et même mieux : elle me l'a fisté mon trou du cul... « c'est la seule solution pour te faire débander » qu'elle m'a dit. Putain ! Qu'elle sait y faire ! Hein ?

Hein ? S'excusa-t-il en raclant sa gorge.

Ça, pour sûr, elle sait y faire notre Dominique. Et puis, comme c'est son fantasme le plus fort, fister un cul, dès qu'on l'y autorise... On n'a pas lieu de s'en plaindre, hein ? Dit Christine.

Hein ? S'excusa de nouveau Camille : en raclant sa gorge plus bruyamment encore.

Allez va, cher Camille, Fourre-moi la, ta bite de laboratoire ! Qu'enfin, on puisse passer aux choses sérieuses ! N'est-ce pas Christine ?

Woui ! Confirma-t-elle.

Et prenant la main armée de Camille elle dirigea habilement l'appareil dans mon antre qui l'accepta sans ambages et l'épousa délicieusement. Camille retira sèchement sa main de celle de Christine. Il se retourna brusquement et rejoignit sa paillasse, tapant frénétiquement sur le clavier, brusquant les verniers... Sourire aux lèvres, je regardai Christine sourire à l'écran tout en manipulant la canule à l'intérieur de son enveloppe « bite anale aliène ». Et je voyais aussi (évidemment) sur l'écran l'intérieur mauve de mon cul que l'oeil indiscret parcourait, du sphincter intestinal au cul de sac... D'aise, je contractai mon sphincter anal. Et je vis, devant mes yeux vu, tout le « travail » produit par cette étonnante masse musculaire, contractant le boyau culier, frisant les parois de chair, exhibant sur l'avant (du moins, la situai-je mentalement à l'avant du boyau) une bosse à la chair lisse à chacune de mes contractions. Christine se retourna vers moi et nos yeux et nos sourires se croisèrent puis se mêlèrent. Et tout en la regardant bien, au plus profond de ses yeux, je me contractai de plus en plus autour de sa bite d'essai... Scrutant dans ses yeux avec envie un frémissement de désir, sinon de plaisir ; scrutant la plus infirme parcelle d'émotion glisser à la commissure de ses lèvres...

Elle détourna sa tête pour regarder l'écran et un bref frisson la secouant elle cria :

Putain Camille ! Regarde, regarde : il va jouir du cul ce vieux cochon. Putain ! C'est génial !

Je comprends pas, je comprends pas... S'affola Camille. Regarde sa prostate : elle s'échauffe de la même façon qu'un noeud clitoridien. C'est impossible, ça...

C'est ma prostate ça ? Cette balle qui jaunit ? Demandai-je confirmation

Oui ! Me répondit Christine d'un simple hochement de tête...

Ouais ! Mais la bite, là, elle ne la touche même pas, ma prostate...

Ce fut un silence de sourd qui répondit à ma question, tandis que le plaisir persistait, irrépressible, m'engageant tout de même à parachever ma masturbation anale, qu'on me répondit ou pas.

C'est justement ça qui est étonnant Finit par lâcher Camille Étonnant que tu jouisses sans frottement réel, car, chez tous les sujets examinés jusqu'à présent, tu es le seul chez qui la prostate réagit sans frottement direct. Expliqua-t-il en me tutoyant pour la première fois depuis le début de l'expérience...

ça, je le sais depuis longtemps cher Camille Dis-je en affront à sa perplexité. Ajoutant illico :

Coco, je le sais si bien que lorsque je me laisse enculer et si je veux vraiment jouir, j'ai besoin de conduire la bite là où je sens gonfler et s'enflammer cette boule de feu : lorsque je me laisse enculer, j'ai besoin de danser sur la bite, pour jouir...

Putain ! Qu'il me plaît ce vieux cochon ! M'interrompit Christine Je vais te faire jouir du cul sans que t'es besoin de danser, moi...

Volontiers ! J'aime aussi : ma femme a déjà trouvé le « bon angle »...

Et, elle est où ta femme, en ce moment ? Et elle le sait que t'es venu te faire enculer, là...

Avec Dominique : ma femme est entre les mains expertes de Dominique. Et oui ! A mon avis, elle doit bien s'en douter... Que je ne me contenterai pas d'un vulgaire zizipanpan.

Ah voui ! Ah voui ! Putain, si elle est aussi cochonne que toi... Dit Christine en s'affairant sur un bouton de la bite qui s'enfla dans mon cul et le remplit entier.

Pire ! Elle est pire ! Hurlai-je.

C'est trop ? S'inquiéta un instant Christine.

Non ! Pire ! Ma femme est bien plus cochonne que moi. Hoquetai-je aux portes du Nirvana.

Elle doit pas s'ennuyer Dominique ! Affirma Camille, une main sous sa blouse.

Et ma femme non plus. Alors, si vous deux aussi... vous voulez pas être en reste, hein...

Qu'il me plaît ce vieux cochon ! Je vais me le bouffer... Intervint Christine en extirpant l'examinateur de mon cul Je vais me le bouffer... Insista-t-elle.

Hé Camille, tu dis rien ? T'as pas envie d'en bouffer aussi du vieux cochon ? L'excitai-je.

Heu ! Bafouilla-t-il.

Bon ! Tu viens ? Ou on arrête tout ! Tu te débrouilleras avec Christine. Tiens ! Ajoutai-je d'un ton faussement irrité.

C'est-à-dire, que... Hésita-t-il Je n'ai jamais enculé un homme... Ni l'inverse d'ailleurs...

Et alors ? T'as honte ou t'as peur ?

Il restait muet, le regard perdu dans la pénombre du labo. Christine s'approcha de lui et le secoua :

Ce sera pas plus difficile que la première fois où je l'ai prise moi. Et comme moi, c'est lui qui est demandeur... T'inquiètes pas mon chou, je t'aiderai...

Dès lors, me doutant que sa queue ne sera pas du genre « merguez », je m'en réjouis d'avance. Christine revint vers moi. Et elle commença à s'occuper de moi, lentement, prenant ma queue d'une main douce, elle approcha ses lèvres et de sa langue caressa mon gland... tandis qu'elle aventurait un doigt dans mon anus... Je passai une main dans ses cheveux. Sa bouche engloutit ma verge...

Reprenant respiration, elle dit, autant à mon intention qu'à celle de Camille :

Sa queue et son cul sont aussi brûlant l'un que l'autre.

Camille, enfin, s'approcha de nous. Plus exactement, il resta tout près de Christine, regardant sa fellation, caressant sa nuque mais retirant sa main dès que ma main cherchait son contact. Je n'insistai pas, allant même jusqu'à retirer ma main des cheveux de Christine... Et sa main remplaça ma main. Christine se releva et prenant la main de Camille elle la conduisit sur mon sexe où je la sentis, immense, se raidir, hésiter...

De l'acte à « vocation médicale » à l'acte à « caractère sexuel » il existait un gouffre qu'elle hésitait encore à franchir...

Je le comprenais parfaitement... Moi-même, tout cochon que l'on me juge, moi-même, je ne me suis pas laissé enculé « comme ça », sans me tordre l'esprit avec des réticences, des réflexions et des tabous que je croyais inexistants, incapables d'assaillir l'esprit libertin que je me vante d'être. Moi, qui me vante être le chantre de la philosophie Sadienne, moi, qui me vante d'être disciple d'Epicure, moi... Eh bien moi, jusqu'à aujourd'hui, là, allongé sur cette table à examens, le cul béant...

Eh bien, moi, mon cher Camille, si ça peut te rassurer un peu, moi le vieux cochon que je suis, je ne me suis jamais laissé enculer par un homme... Vois-tu, juste par ma femme... Et puis, aujourd'hui par Dominique. Vois-tu, aujourd'hui, rassures-toi et partageons ensemble notre virginité...

Eh bien, chers amis, je ne sais pas si c'est cet aveu qui libéra notre Camille, mais, il se libéra pour ma plus grande jouissance...

Que dis-je : une jouissance. Ce serait trop terne.

Et faudra que je vous raconte aussi comment se déchaîna notre jeune métisse : autant sur nos bites que sur nos culs.

Et, paraît-il, selon ce que nous ont rapporté deux nouvelles amies depuis ce jour, que ce ne fut que longtemps après qu'elle aient pénétré dans le laboratoire, que nous avons remarqué leur présence : assez longtemps pour que nos ébats les aient incitées, elles aussi à jouir encore d'elles.

Pateric©

Par Pateric - Publié dans : Le feuilleton DUREX - Communauté : Fantasmagorie pure
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  • : 28/01/2009

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