Dimanche 22 février 7 22 /02 /Fév 09:33
 

Eh bien... Je ne sais comment, allongé sur la table à examens, le cul béant ... achevant ma tirade :

... Vois-tu, aujourd'hui, rassures-toi et partageons ensemble notre virginité... —

Avec la force du verbe emphatique d'un tribun... Ou avec la véhémence apostolique d'un prêcheur qui, bien que s'avouant pécheur, proclame la parole d'évangile du salut rédempteur promettant à celui qui croît le bonheur libérateur... Bref, ce genre de foi débile faisant « tout oublier du monde » ; faisant parfois s'oublier soi-même pour le bonheur de son prochain : que ne ferait-on pas pour pouvoir offrir du plaisir à ses voisins ! N'est-il pas ? N'est-ce pas le désir excitateur de nombre de tes fantasmes ? D'accord, je te le concède : pas tous tes voisins... Mais, une telle, avec ses seins de... Ou celui-ci avec son petit cul de joggeur... ou cette autre promenant son chien... sous ta fenêtre... Re-bref ! Il y a s'oublier... Et s'oublier ; s'oublier sans pour autant se laisser conduire et s'abandonner à ces sectarismes qui, cloîtrant les consciences, régentant la Pensée, avilissant les sens, plongent les humains dans l'esclavage le plus abject : celui du « Moi, Être libre ». Et ce n'est pas d'exister depuis la nuit des temps ; d'exister depuis Zoroastre, ni d'avoir été enseigné par la loi de Moïse, adapté par le christianisme, inlassablement colporté par Mani, assimilé par le « prophète », ni enjolivé par le « monde de l'Economie », que cet esclavage saurait en être légitimé par le libre-penseur que je suis. Et ce, ne serait-ce même que par amour du cul de mon prochain. Non : je préfère rester « vierge » !

... Eh bien, chers amis, je ne sais pas si c'est mon aveu qui libéra notre Camille, ou plutôt l'appel d'un abandon volontaire à ...vouloir bouter hors du « soi », tout sectarisme comme tout anathème pour jouir librement du vice des formes... mais il se libéra, posant une main à la racine de ma verge, caressant les lèvres de Christine qui la suçait. Et tandis qu'elle massait mon anus Christine retira sa bouche, posa sa main libre sur la nuque de Camille, l'incitant à prendre sa place : l'incitation était douce mais sans ambiguïté. Camille hésita moins d'une seconde avant d'ouvrir ses lèvres, de lécher mon gland, de l'introduire dans sa bouche et d'y exciter sa langue... Avec la science d'un expert. Et la rugosité de sa langue tranchant nettement de la douceur de celle de Christine me faisant frémir de bonheur, je me décontractai totalement. Tant et si bien que Christine autorisa quatre de ses doigts à fouiller le vide de mon antre que sa « bouche » se plût à sucer. Et non pas l'inverse... Et ces soins, pour agréables qu'ils fussent, m'incitaient, de nouveau à partir « en voyage ». Mais, ce n'était plus ce que je désirai réellement car ce dont j'avais envie c'était qu'eux aussi jouissent : je voulais les voir.

— Wouaouff ! — Articulai-je en me déculant de ses doigts : — Attends ! Attends un peu ! —

— Je t'ai fait mal — S'inquiéta-t-elle.

— Tout au contraire — La rassurai-je : — Mais c'est que je voudrais vous voir avant. —

— Nous voir ? Comment ça, nous voir : nus ? — Sembla-t-elle s'étonner.

— Nus, certes j'aimerai. Au moins voir sa trique. Et aussi ta praline. Mais pas seulement... —

— Par exemple — Dit-elle d'une inflexion vague laissant toutes suggestions et suppositions ouvertes.

— J'aimerai autant vous caresser que vous sucer ; j'aimerai autant... Tiens ! Comme si rien n'avait existé avant... Comme tout cela se passe... Normalement...— Bégayai-je en me redressant un peu pour les regarder.

— Normalement, normalement... T'es drôle toi — Nasilla Camille sans cesser de sucer mon zizi là...

A voir son entrain et le soin qu'il y portait me saisit tant que mon bassin se contracta en un spasme. Un spasme de plaisir foudroyant innervant la moindre cellule de mes muscles et explosant au bout de mon gland faisant sursauter Camille. Et sa bouche m'abandonner précipitamment.

— T'as eu peur que... — Lui souris-je.

— Oui ! - Fit-il d'un geste avant de lâcher : – OH ! – fort surpris de se retrouver... la bite à l'air.

Car Christine, dans un geste habile, avait profité de ma diversion pour ouvrir la blouse, défaire le ceinturon et faire glisser le pantalon de Camille sur ses talons. J'en profitai pour me lever, descendre de la table, laisser l'éveil de l'appareil s'affirmer jusqu'à l'insolence (non sans me promettre d'en user d'ici peu fort volontiers), passer derrière Christine pour, à mon tour, « venger » Camille, dégrafant sa blouse, la lui ôtant en un seul geste rapide, m'offrant une vue splendide sur sa chute de reins et... sur ses fesses d'un galbe divin. Elle se retourna d'un bond en criant : — Oh le cochon ! — Sauf que ses yeux noirs brillant d'un éclat libidineux affirmaient aimer le cochon. Ce qu'elle même confirma en goûtant mes lèvres avec volupté. Dans le dos de Christine, Camille m'apparaissant dépassé par la tournure des événements bien que sa bite étant parvenue à l'ultime insulte des cieux, ne semblait pas la désavouer, je la repoussai doucement :

Attends Christine ! Il semble que Camille a besoin d'un peu plus de temps que nous... —

Mais sa beauté me sautant au visage, ayant avalé l'explication que je voulais donner, je m'émerveillai :

— Putain T'es somptueuse, magnifique, splendide... — Je ne me souviens plus de quels autres superlatifs synonymes, je l'avais flattée. Surtout que j'en possède une liste innombrable.

— J'adore les corps élancés comme le tien. Le galbe de tes hanches accentué par l'extrême finesse de ta taille... J'adore ton ventre musclé... Et tes seins... J'adore les seins fermes. Et en forme de poire comme les tiens, ancrés hauts sur le buste... A moi, peu m'importe leur volume... —

Immobile, bouche bée, dans ce genre de posture offrant les merveilles du ravissement à mes yeux concupiscents, elle semblait aussi surprise que ravie de m'entendre l'encenser ainsi. Et, cet ensemble me semblant attiser le désir de Camille, je pris Christine par la taille, la soulevai, l'assis sur le bord de la table à examens et invitai Camille à la flatter aussi :

— Viens Camille, suce-lui sa dragée d'amour : je suis sûr qu'elle sent la cannelle... —

Comme animé par un ressort, Camille sautant hors de son pantalon, secouant sa blouse, son doigt d'amour prêt à tout, s'avança sans trembler vers le tabernacle Christinien en me disant :

— Elle a plus le goût de la coriandre que de la cannelle. Mais, je le préfère. —

— De la coriandre ? Moi aussi je préfère : fais-moi goûter... —

Et ce fut ainsi que la première fois les danses de ma langue se mêlèrent à celles de Camille...

Et que pour la première fois aussi je sus que j'aimais autant ce « mélange » que le « normal ».

Tout comme ce fut aussi dans l'enchantement de cet enchevêtrement à emberlificoter le fruit sacré de Christine que, la verge de Camille chatouillant mon ventre de toute sa virilité affirmée, pour la première fois de ma vie je me plus à caresser sans retenue une autre bite que la mienne. Sans retenue ? Que dis-je là ! La caresser avec envie, plutôt ! Alors, sentant sous nos langues le bouton rose aux portes de sa turgescence ultime je l'abandonnai avec joie à Camille et plongeai engloutir sa verge... Enfin : la réalité fut tout de même « plus mesurée ». Et « Plonger engloutir » releva davantage du désir que de l'action. Je ne veux pas dire en cela qu'elle est démesurée, non. Mais tout de même, ses mensurations ne sont pas négligeables. Et je pense même que nombre de chemins, pas aussi étroits que ça, se souviendraient durablement de son passage. Là, ce fut juste ma bouche inexperte qui interdit à mon désir de se laisser explorer jusqu'à la glotte. Toutefois, Camille, une main caressant les quatre cheveux qui me restent semblait fort bien apprécier mon traitement, tout en parachevant le traitement qu'il administrait à Christine... Et, le souffle court, elle haletait soupirait palpitait suffoquait avant de vocaliser une incompréhensible louange :

— Wouiallélouyahahhamenocétroohohohoho ! —

En tirant sauvagement sur la poignée du dossier de la table qui s'abattit dans un fracas indescriptible faisant également se crisper Camille, le conduisant à sa propre jouissance que ma main sur ses bourses sentit monter mais que je parvins à contenir en serrant fortement la base de sa verge, sans pour autant interrompre ma fellation. Je n'avais nullement craint qu'il ait pu inonder ma bouche de son foutre. Et j'avais su que si je n'étais parvenu à le contenir j'aurais eu du plaisir à m'en délecter. Mon action n'ayant été dictée que par mon désir intense de jouir encore et beaucoup de lui, je n'avais pas souhaité qu'il perdît « bénéfice » si rapidement : j'avais voulu qu'il dure dur longtemps.

Dans tous mes fantasmes où je suce un homme, je le suce jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche et que son foutre la remplisse et que je m'en délecte : dans tous mes fantasmes, je touche au paradis.

Aujourd'hui, là, avec Camille, avec Christine, et dois-je l'avouer, sans craindre un désaveu de ma femme, j'étais persuadé que j'étais capable d'assouvir ce fantasme.

Non ! Je ne veux pas dire que je craignais que mon épouse soit choquée, sinon dégoûtée : elle connaît tout de mes fantasmes et m'encourage à franchir le pas de mes désirs bisexuels. Non ! Pour une première, je craignais plus que « l'homme partenaire » ne plaise pas à nous deux en même temps ; je craignais qu'elle manifeste une réaction de rejet global de la relation homme-homme. Là, je dois avouer que je me sentais libéré... Et que je n'en avais point honte. Et puis, pour ne rien gâcher, ces deux là me plaisant bien, je ne doutais pas que tout irait bien. Et comme j'étais persuadé que, de son côté, mon épouse ne se s'étant privée de rien avec Dominique, je ne doutai pas que si elle rentrait ici à l'improviste, notre trio ne lui déplairait pas. Au contraire ! Et je pensai qu'elle viendrait y voir de plus près... « pour toucher du doigt » comme on dit. Comment ? Evidemment ! Pas que du doigt : faut pas être si naïfs...

Malgré les méandres de ma pensée, j'avais gardé embouchée la verge de Camille. Et même avais-je desserré l'étreinte de ma main, certain du résultat retardateur. Et la pointe de ma langue cueillit une larme de fuite furtive dont la saveur du velouté d'amarante plut à mes papilles de gourmet...

Quittant l'entre-cuisse de Christine, Camille se redressa. Interrompant la fellation, je me levai aussi. Nos bites croisèrent leur arrogance comme deux épées croisent leur fer. Camille prenant ma nuque dans ses mains me roula une pelle sublime à laquelle je répondis aussi bien : langue pour langue, posant ostensiblement et généreusement mes mains sur ses fesses ; ses fesses bien rondes et fermes comme je les aime en général : même chez les femmes j'aime les fesses rondes et musclées. En fait, plus que le galbe, c'est la tonicité que j'aime. Bref ! Mes mains aimaient bien celles-ci et le leur faisaient savoir sans retenues...

— Splendide ! — s'écria Christine redescendue parmi nous, assise au bord de la table.

Elle en descendit, posa ses mains sur les miennes... Pour en diriger leurs caresses qu'elle conduisit entre les deux lobes fessiers de telle sorte que mes doigts les séparent. Elle dit alors :

— Mon cher Camille, je vais te chatouiller la feuille ! —

— Chatouille-moi, chatouille-moi — Confirma-t-il après que nos lèvres se furent séparées.

Au bout de mes doigts, je sentis travailler la main de Christine sur l'anus de Camille : mon anus frissonna de souvenir. Les mains de Camille se crispant sur mes épaules, je frissonnai entier.

— Penche-toi ! — Ordonna Christine — Allez penche-toi ! Tiens ! Suce-le. —

Camille s'exécuta. Et prenant ma bite il l'avala jusqu'à la garde. Sur quoi, manquant défaillir, je dis :

— Holà ! Doucement ! — Autant à l'intention de Christine qu'à l'attention de Camille.

— Viens me sucer, toi, au lieu de dire n'importe quoi ! — M'ordonna-t-elle en montant avec une étonnante souplesse sa jambe gauche au dessus de la paillasse où elle posa son pied.

Cette posture, outre le grand avantage de limiter les contorsions que j'aurais à faire pour la sucer, pris que j'étais dans la bouche de Camille lui-même le cul travaillé de la main de Christine, possédait aussi le privilège d'offrir à mes yeux la vision sublime de son nid d'amour grand ouvert. Et de son clitoris fier tel le soldat montant la garde à la porte du palais : palais de la reine, s'entend. Sauf, qu'au lieu de baisser ma tête vers lui, je me crispai soudain. Car dans ma tête venait de résonner une réflexion diablotine en réaction au dirigisme de Christine ; une réaction du genre :

— Non mais ! Suis du genre à laisser une femme me mener par la bite, moi... ! —

Une réaction typiquement machiste immédiatement corrigée par celle de mon ange libertin :

— Pourquoi ? Ta femme n'est pas une femme, peut-être ! —

Rappelant en cela que ma femme... Effectivement ma femme me mène à sa guise. Et pas que par le bout de ma queue ; queue toujours engloutie dans la bouche du Camille le cul manipulé par Christine la chatte toujours aussi à vide que béante ; béance semblable au minois de ta chatte miaulant de faim. Hein ? Que faire d'autre pour combattre sa faim que de baisser sa tête pour compatir enfin se rappelant qu'elle aime tant les épices qu'elle en abuse sans fin ma langue qui plongea au coeur des pétales carmin couverts des perles de la rosée d'un mâtin recueillant sur ses papilles les sucs du sirop chafouin ... Parfumé de safran...

Et ma langue s'en délecta, lentement, patiemment...

Et doucement, légèrement... Tandis qu'une idée drôle dans ma tête encore me dit...

Des idées dans ma tête ? Elles sont légions... Et, au plus mon corps se vautre dans la lubricité, au plus des idées s'ébranlent dans ma tête et masturbent mes neurones... C'est ma cérébralité à moi ; au plus je jouis de plaisirs charnels, reçus comme offerts, au plus je pense... Même s'il m'arrive aussi que, au plus je pense, au plus je jouisse. Je n'y peux rien : c'est comme pour la bite, chacun a la tête qu'il a...

— Une moule au safran, Dieu ce que c'est bon ! — Qui me fit rire, intérieurement...

Et immédiatement chassant l'autre, j'entendis une autre pensée résonner (non sans raison, peut-être) :

— Et tu trouves ça drôle sagouin, Salop ! — Dont je me défendis aussitôt ... Et radicalement :

— Oh ! Cocotte ! Ta gueule ! Il n'est nullement question de sentiment, là : il est simplement question de jeux ; jeux de l'amour certes, mais jeux quand même ; jeux de l'amour sans amour. Et vaut mieux pas que tu viennes me chatouiller la caboche avec le discours cognitif de ta morale. Sinon, gare à ta tronche ! Ça ne m'empêche pas de les respecter, eux, conasse ! —

D'autant qu'en ce moment, la raison du con (de Christine bien sûr) semblant approuver ma raison à casser la gueule à ma rigueur me fit sentir la brûlure de ses lèvres ; brûlure d'alerte de l'embarquement de Christine vers un voyage que considérant par trop anticipé, je tentai promptement de retarder par l'emploi d'une compétence de « directeur de mise à feu d'un lancement spatial » : rafraîchir. D'abord par l'apport d'un liquide lubrifiant adéquat aussi proche que possible de la zone d'échauffement tel ma salive que je fis rouler sur ma langue et pénétrer méthodiquement dans le canal brûlant. Puis, me reculant un peu, je soufflai par dessus tout doucement. Et très longuement : à la Sonny Rollins(*). Et l'instant suivant, Christine, contractant ses fesses autant que le lui permettait son grand-écart, contractant son ventre, de sa main gauche étirant son clitoris, frémit entière d'une splendide chair de poule fraichement déplumée et vidée des entrailles. Alors, ouvrant mes lèvres, chassant ses doigts d'un coup de langue, j'emprisonnai son bouton d'orge dans ma bouche, ma langue se plaisant à le masser ardemment jusqu'à ce que n'y tenant plus, elle hurle, ou mieux, éjacule dans ma bouche... Oui ! J'adore ça, la saveur nacrée au piment acre du foutre de jouissance d'une femme. Et Christine, comme si elle avait lu dans mes pensées l'attente de mon délice, hurla en ôtant son pied de la paillasse pour venir serrer sa jambe contre sa soeur. Et ma tête devenue prisonnière de ses cuisses refusant d'abandonner sa place avant de s'être repue au jus du calice jusqu'à sa lie garda entre ses lèvres serrée son bouton prisonnier. Et, sur mon menton, sentant couler sa lave, d'un geste ferme, d'une fermeté sans ambiguïté, je la saisis au fesses et collai son sexe sur ma bouche pour m'en repaître. Et j'étais si accaparé par mon culte rendu à Christine que je ne sentis rien lorsque Camille cracha ma bite. Ni, lorsqu'il se redressa vivement en grognant... Je ne lui prêtais de nouveau attention que lorsque, rendant enfin la liberté aux attributs sacrés de Christine, je me relevais à mon tour et le voyais, corps cambré, tête renversée, sexe bandé, et remarquai la main de Christine cachée dans son cul. Et, malgré ma curiosité à savoir où en était sa garde, je préférai succomber à la tentation de sucer cette arrogante bite... Et tandis que je la suçais savoureusement, tel un esquimau glacé qu'on ne veut ni laisser fondre, ni trop dévorer, m'efforçant à la performance d'en goûter toujours plus long, Christine s'écria, avec un ton de sincérité, je crois :

— Putain ! Qu'est-ce qu'il suce bien ce vieux cochon ! —

— Divinement bien ! — Confirma calmement Camille que la main de Christine avait abandonné.

— J'aime sucer : c'est là mon moindre défaut. — Répondis-je tout aussi calmement après que je me fusse raisonné à ne plus sucer Camille.

Pfuiou ! Je ne sais plus où j'habite. — Siffla Christine.

— Moi, c'est ma bite qui sait plus où elle habite. — Souffla Camille.

— Et ton cul, ça va ? — Demanda Christine.

—Oui, ça va. — Répondit-il : — C'était pas mal du tout ! Mais ma bite alors... Je ne suis plus qu'une bite ! —

— Ça fait plaisir qu'il n'y ait pas que moi à ne plus savoir : ni où j'habite, ni où est ma bite ! Ça me fait plaisir que nous puissions biter ensemble — Calembourai-je, comme on tambourine.

Mais il faut croire qu'en l'instant, je fus le seul à rire de mon calembour car, eux, ils me regardaient comme sans me voir. Heureusement, que ça ne dura pas trop longtemps : pas suffisamment pour faire perdre à nos verges l'arrogance d'un désir toujours vif. Heureusement, car j'aurais encore des nouveautés à partager...


 

A suivre !

Pateric ©

*     *     *     *     *







(*) Pour les rares qui ne connaissent pas Sonny ROLLINS, c'est un musicien de Jazz : l'un des meilleurs sax-ténor que le monde du Jazz a connu. Quant à sa technique, c'est un art qui n'est pas à la portée du premier venu : celui de pouvoir inspirer en soufflant. Ainsi, Sonny maîtrise les rifs les plus longs du monde ; des soli interminables à flots continus dont certains dépassent la minute sans aucune interruption ; des rifs comme des éruptions où l'on se demande : — Comment fait-il ? —

Moi, je sais ... Mais vous n'avez qu'à aller lui demander !

Par Pateric - Publié dans : Le feuilleton DUREX - Communauté : Fantasmagorie pure
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  • : 28/01/2009

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