Réflexions

Jeudi 17 juin 4 17 /06 /Juin 11:42

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MÉDECINE ET CIRCONCISION,

LE PRÉPUCE, NON COUPABLE !



INTRODUCTION

Le premier grand principe médical est de ne pas nuire ("Primum non nocere.") mais la prestation de serment du médecin va plus loin :

"Je respecterai toutes les personnes...J'interviendrai pour les protéger si... elles sont menacées dans leur intégrité... "

Au début du XXème siècle, un jeune chercheur en neurologie autrichien (biologiste limité comme nous allons le voir), à l'occasion sexologue, découvre la sexualité infantile et l'équivalence inconsciente entre sein, pénis, cadeau et excréments.

50 ans plus tard, au Royaume-Uni, Gairdner souligne l'absence du prépuce dans les manuels de médecine :

"Quoique des dizaines de milliers de nouveau-nés soient circoncis chaque année dans "ce pays, les informations essentielles ne sont rassemblées nulle part."

25 ans après, aux États-Unis, Wald signale la même lacune :

"Il est curieux – et révélateur – de voir combien peu de personnes pensent à la circoncision… A un moment, en écrivant cet essai, j'ai parcouru les étagères de la bibliothèque de notre laboratoire de biologie, les livres sur les sens, la neurophysiologie et la neuroanatomie, dont certains étaient des manuels de médecine. Je cherchais quelle information nouvelle il pourrait y avoir sur les réactions sensorielles du gland et du prépuce. Aucun de ces termes ne figurait dans l'index d'aucun de ces livres."

Le prix Nobel de médecine 1967 aurait pu faire le même constat pour le clitoris. Cependant, il ne viendrait à l'idée d'aucun médecin Européen de couper un prépuce sans consentement préalable des intéressés. En insistant, aujourd'hui seulement il faut le regretter, sur cette exigence, les sociétés médicales Anglo-Saxonnes rappellent que la circoncision est une mutilation.

I – DES INCONVÉNIENTS CERTAINS

A – LES DOMMAGES PHYSIOLOGIQUES :

La perte de la triple fonction sexuelle du prépuce, les risques et la douleur opératoires

Introduction : la circoncision est une mutilation

Les diamants sont éternels

La mutilation est l'ablation d'un organe non autoreproductible.

Le seul organe humain aussi richement érogène que le prépuce est le clitoris mais la circoncision du prépuce est une mutilation beaucoup plus grave que celle du capuchon du clitoris. Elle supprime l'organe spécifique, vaginal, de l'autosexualité masculine, de façon symétrique à l'excision puisque le clitoris est l'organe spécifique de l'autosexualité féminine.

Celles et ceux qui, faute de posséder un prépuce, n'ont aucune expertise en la matière, sont mal placé(e)s pour affirmer péremptoirement la traditionnelle fadaise :

"La circoncision n'est pas une mutilation !"

Ou serait :

une "blessure symbolique", selon un titre de Bruno Bettelheim.

N'ayant jamais caressé un prépuce, ils n'ont pas le droit d'affirmer que ce ne serait que "un bout de peau inutile" qu'on supprime "pour le bien de l'enfant".

Par contre, celles qui aiment s'attarder aux préludes amoureux, si elles ont l'occasion de comparer, se rendent vite compte de l'étendue de la perte du non-entier, de la pauvreté de ses sensations.

Cependant, les homophiles sont encore mieux placés que nos compagnes pour apprécier à leur juste valeur tous les détails des sensations masculines. Experts praticiens de la jouissance féminine chez l'homme, ils sont les meilleurs témoins de la perte due à la circoncision. Pour eux, elle saute aux yeux de façon indéniable. Et dès qu'un ''sexuellement mutilé'' entre dans un groupe homophile, son handicap est évident.

 

1 – Les dommages érogènes :

la destruction des fonctions érogène et de protection du gland

Introduction : la jouissance préputiale, une jouissance féminine, tendre et douce, non moins extrême pour autant

Il en est des plaisirs du sexe comme de ceux de la table.

Celui qui a la langue coupée peut jouir de la déglutition, il ne peut goûter ce qu'il mange.

De même, celui qui n'a pas de prépuce perd une grande partie du plaisir sexuel. A la différence du gland, strictement érogène, le prépuce contient une énorme quantité de terminaisons nerveuses de toucher fin, sensibles à la caresse érotique.

Allongez-vous seulement sur le dos, messieurs, et laissez une femme vous faire l'amour à la califourchon, technique dans laquelle le plaisir des yeux n'est pas le moindre.

Pour peu qu'elle ait un minimum d'expertise, vous constaterez qu'elle ne le fait pas comme vous ; elle ne vous fait pas l'amour avec des mouvements rythmiques, pressés de parvenir à la satisfaction. C'est une caresse lente, de vitesse variable, tout en douceur et en recherche des sensations intenses, fines et délicates de la jouissance féminine. Ces actions, productrices de poly-orgasmes de faible ampleur, peuvent durer des heures.

Certains ''affirment'' que ce plaisir, dans lequel la femme "domine", était celui de Lilith et Adam.

Tandis que la jouissance des ''non-intacts'' serait celle d'Adam et Ève.

Cette jouissance est bien évidemment interdite aux circoncis, comme elle l'est aussi à ceux des entiers qui font ''l'amour à la va vite''.

Essayez de vous faire l'amour à vous-même de la même façon, en caressant lentement à sec votre prépuce, sans décalotter, et vous vous procurerez la vive et soyeuse jouissance purement préputiale.

Ses contractions orgastiques, isolées mais intenses, provoquent des orgasmes multiples, analogues aux orgasmes clitoridiens, mais pas l'orgasme complet. Elles semblent entraîner la fermeture d'un sphincter empêchant et contrôlant l'éjaculation. Elles sont d'autant plus nombreuses et suaves que la caresse est plus légère et lente. C'est la jouissance des préludes, délicate et raffinée, indéfiniment prolongeable, d'acuité variable et dont le siège se déplace subtilement et de façon imprévisible, du périnée à la pointe de la verge en passant par les bourses. L'excitation peut atteindre des niveaux extrêmes pour décroître ensuite mais il semble que le meilleur réside précisément dans des variations fines qui permettent à chaque fois une nouvelle découverte.

N'exagérons rien ; on dit ''préputial'' plutôt que ''préputiel'', parce que le ciel est dans l'autre sexe.

Ces gentils plaisirs sont inconnus des non-entiers, voire de certains entiers.

Stimulé en douceur, le prépuce procure une jouissance immédiate er raffinée, sans l'éjaculation.

Les trois types de circoncision masculine, par l'étendue de la surface de peau enlevée et donc par la perte d'un grand nombre de terminaisons nerveuses érogènes et de toucher fin, rendent bien compte de l'existence de cette jouissance féminine.

  • La circoncision judaïque n'enlève que l'excroissance : l'anneau de l'extrémité du prépuce,

  • la rabbinique détruit l'intégralité du prépuce jusqu'au sillon balano-préputial,

  • la tribale (certaines tribus Africaines et Sud-Arabiques) révèle une détermination farouche ; elle détruit toute la peau du pénis, des testicules et des bourses.

"On ne mange pas les bananes avec la peau !" déclare le Professeur Aldeeb en la recommandant ironiquement aux avocats de la circoncision.

Mais ces bourreaux, et victimes, font preuve d'une étrange parcimonie ; pourquoi diable ne dépècent-ils pas le corps entier ?

Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Sujets d'Etudes et de Réflexions
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Mercredi 16 juin 3 16 /06 /Juin 16:58

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ETHIQUE MEDICALE

ET MUTILATIONS GENITALES

AVANT - PROPOS

Cette étude s'attachera à traiter plus précisément de mutilations génitales de l'appareil masculin.

En effet, le consensus concernant les mutilations génitales de l'appareil féminin est quasi général. Tout au moins sous nos latitudes et dans nos Démocraties...

La preuve en est au moins fournie par les lois répressives en la matière.

Ainsi, s'attarder de nouveau ici à décrire ''premièrement" leurs conséquences sur la Santé Physique et Psychologique des femmes mutilées n'ajouterait pas grand chose de positif à notre étude.

Néanmoins, ayant constaté qu'il existe des ''pratiques chirurgicales'' visant à modifier l'esthétique de l'appareil génital féminin, notamment par interventions sur le prépuce du clitoris, sur les lèvres vaginales et sur la pilosité (destruction des bulbes) nous montrerons comment ces pratiques s'apparentent aussi à des mutilations. Et comment elles n'entrent en rien dans une logique médicale de préventions, en faveur d'une Hygiène intime améliorée, et à l'encontre des maladies infectieuses.

Mais, notre étude met avant tout l'accent sur la mutilation principale de l'appareil génital masculin et plus principalement sur la circoncision. Et elle s'efforce de monter pourquoi.

Mais venons-en d'abord à l'Ethique médicale et à ce qui l'encadre, savoir : le serment d'Hippocrate et nos lois en matière de Santé - Sécurité

 

Texte du serment d'Hippocrate (moderne, modifié)

Au moment d'être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité. J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admis(e) dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité. Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j'y manque ”

Aujourd'hui, dans notre état de Droit, on pourrait s'étonner du cérémonial attribué au serment d'Hippocrate que prête le médecin pour son intronisation.

Dans sa formulation linguistique actuelle ce serment médical tel que publié ici n'est plus strictement identique au serment d'origine mais il le demeure dans l'esprit philosophique : il a été modernisé et adapté, en fonction des évolutions sociétales.

Entre autre, le texte a été réactualisé en 1996 par le Pr. Bernard Hoerni, et publié dans le Bulletin de l'Ordre des Médecins (Avril 1996, n°4).

De plus, il s'attache à respecter les évolutions récentes du droit impliquant de plus en plus fortement la responsabilité médicale, quant aux droits et devoirs de la charge ; droits marqués par une prise en compte croissante du respect des droits du patient ; devoirs accentués par l'évolution des connaissances scientifiques et des outils techniques des pratiques bio-médicales

L’étude comparative du Bulletin de l'Ordre des Médecins à-propos de ce serment médical entre le serment originel et le serment tel qu'il est modifié pour la pratique médicale d'aujourd'hui, est révélatrice de cette évolution :

"Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. (...)".

Ce principe de non discrimination est une « Universalité » et non pas une «spécificité médicale ».

On le retrouve aujourd'hui dans toutes les branches du droit : ainsi, le Code du travail l'a intégré, entre autres, dans l’article L 122-45 qui interdit toute discrimination à l’embauche qui serait fondée sur des critères tels que le sexe, l’âge, l’appartenance vraie ou supposée à une éthnie, les croyances religieuses ou philosophiques...

Cette lutte contre les discriminations a également inspiré la nouvelle loi sur l’égalité des chances qui légalise des pratiques comme le testing (dans les entrées en discothèque, lors d’entretiens d’embauche ou pour l’accès à la location ou à la propriété immobilière).

"J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences".

La première partie de ce texte paraît directement inspirée de la loi 2002-303 du 4 mars 2002 qui érige l’information du patient par le médecin comme un véritable droit : ce droit devant permettre au patient de donner un consentement libre et éclairé à tous les actes qui sont envisagés pour son traitement. Le médecin devient alors véritablement débiteur de cette information médicale et c’est d’ailleurs sur lui que pèse la charge de la preuve de cette information, d'autant plus qu'elle demeure relativement difficile à mettre en pratique...

"Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément".

Ce paragraphe correspond quant à lui à la promotion des soins palliatifs, à la prohibition de l’acharnement thérapeutique et à l’interdiction de l’euthanasie.

Vu les débats récents qui ont suivi l’affaire Vincent Humbert et l’adoption de la LOI 2005-370 22/04/2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, on pourrait se demander si dans les prochaines années, une nouvelle modification du serment ne risque pas d’intervenir...

Et en y regardant de plus près, on constate aisément l'ouverture laissée par ce serment à l'évolution des lois relatives aux pratiques des Sciences et Techniques Biomédicales, et à leur «encadrement» Légal et Juridique, notamment par la Loi n°2004-800 du 6 août 2004 relative à la bioéthique, consolidée au 20 décembre 2008.

Dans cette loi, c'est le Titre II – Droits de la Personne et Caractéristiques Génétiques – qui intéresse notre étude ci-après.

Non pas au « strict sens » des pratiques de « dons d'organes, de transplantations, de greffes...» mais bien au sens du « droit de la personne » au Titre de la Préservation de L'Intégrité Physique et Morale et de la Santé. Ne serait-ce que par simple application corrolaire des Codes de Santé Publique et de Sécurité Civile.

Et, ici, nous nous attacherons à montrer qu'il sera bien question de Préservation de l'Intégrité Physique des Caractéristiques Génétiques de la Personne et de son Droit à en Jouir en Liberté et Conscience.

Et par opposition, à montrer que les pratiques (médicales, ancestrales, idéologiques, théologiques) de mutilations sexuelles sont une Privation des Droits de la Personnes, des Infractions au Droit, à la Préservation de l'Intégrité Physique, à la Préservation de l'Intégrité Morale.

Par extension : une Information vous permettant de vous questionner à ce propos et de vous déterminer face à une atteinte psychologique à l'encontre des Libertés et de la Conscience.

 



Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Sujets d'Etudes et de Réflexions
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Mercredi 16 juin 3 16 /06 /Juin 16:31

Entre les récits de nos aventures libertines, quelles soient réelles ou fantasmagoriques, et que nous vivons toutes aussi bien, du point de vue sexuel etpsychologique, que du point de vue "scientifique, sociologique et philosophique" ; que nous vivons comme autant d'aventures expérimentales propices à nous rendre la vie agréable, nous conduisons aussi sur le plan professionnels des expérimentations et des études strictement technico-scientifique ou technico-sociologique "sérieuses".

Parfois, il peut nous arriver qu'une aventure libertine, ou/et qu'une réflexion libertaire recoupe l'une des Etudes de Recherche qui nous est commandée dans le cadre de notre spécialité professionnelle.

Parfois, Il nous arrive même le bonheur qu'elles se recoupent à l'ensemble de nos disciplines et nous offrent le plaisir de la conduire ensemble. 

C'est le cas pour celle-ci qui, après avoir débuté à la fin du siècle dernier dans sa discipline biologique première, s'est également et parallellement développée et étendue à d'autres disciplines d'ordre scientifique, sociologique, philosophique...

Ainsi, notre plaisir est grand de partager cette étude-ci au-delà du strict sens professionnel.

Et, comme on dit : - pour le plaisir soit total, il faut le partager - nous avons décidé de partager cette étude avec vous sous la forme de quelques extraits.

Mais avant, nous croyons utile de prévenir que ce sujet, déjà tel que présenté en Titre, est un sujet délicat, polémique pour le moins, et assez tabou. Ou, peu s'en faut. 

Au demeurant, la polémique ne nous faisant pas peur, nous asseyant joyeusement sur tous les tabous, disposant d'un "immeuble d'arguments et de données", eh bien, nous fonçons.

Donc, nous publierons-ici cet extrait en quatre articles...

Et nous serions intéressés de pouvoir mettre vos commentaires à profits...

Allez ! Pour le "bien public" ! Non ?

C'est vous qui voyez.

 

Ici il s'agira d'Extraits d'une Etude d'Ethno-sociologie comparée ayant servi de paramètres Sociologiques à la rédaction d'une ''Etude publique approfondie'' de Cindynique et Biologie dans les domaines de : ''Préservation Physique de la Santé et de Protection Sociale''.

Etudes réalisées par :

pseudo Sigismond : oldsigismund@hotmail.com

pseudo Sophie : sophie.gazy@yahoo.com

pseudo Erica : pateric.b@gmail.com

pseudo Patrice : pateric.b@gmail.com

Ce sont des boites email sur lesquelles vous pouvez poser les questions qui vous chagrinent, ou controverser si le coeur (ou la bile) vous en dit.

Ou bien encore, obtenir les informations techniques, scientifiques, philosophiques ou documentaires suceptibles de vous intéresser.

Maintenant, vous pouvez aussi débattre ici,

Et encore sur nos autres blogs.

 

Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Sujets d'Etudes et de Réflexions
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Mardi 2 mars 2 02 /03 /Mars 12:08

Sûrement, que bien avant la fin de la lecture de cet article, vous chercherez à savoir ce qu'il peut bien avoir à foutre sur un "site de cul"...
Pourquoi donc une réflexion sur la "gestion des risques" n'y aurait-elle pas sa place ?
En vertu de quel principe, "prendre soin de son intégrité physique" serait-elle à bannir d'un site Libertin ?
Voyons !
La pratique du libertinage mêne autant à tout que l'apprentissage des maths... Et sûrement même que le taux de réussite de la pratique du libertinage est nettement supérieur à celui de l'usage des maths.
En plus, je suis persuadé que préventivement à vos postures de libertins, l'analyse des risques déduite de la multiplicité de vos pratiques, n'est pas exempte de vos engagements libertins...
Si oui, de fait, vous êtes le meilleurs public pour comprendre les principes de Gestions des Risques,
Aussi, les meilleurs utilisateurs et acteurs de l'animation d'un "Principe Méthodologique" instituant les Analyses, Gestions, Managements, Cours d'Actions "Généraux" face aux Risques et au Dangers...

Merci. 

De quelque origine qu'elles soient, sur les cinq continents et au-delà, les victimes des frasques de la Nature sont bien négligées et bafouées par leurs "dirigeants décideurs publics".

 De quelque origine qu'elles soient, sur les cinq continents et au-delà, les victimes des frasques du Libéralisme sont bien négligées et bafouées par leurs "dirigeants décideurs privés". 

De quelque origine qu'elles soient, sur les cinq continents et au-delà, les victimes des frasques en tout genre sont bien négligées et bafouées par leurs "obèses de Pouvoirs" : obèses du ventre et obèses de la "poche du coeur", obèses de la "larme à l'oeil" et de l'ego.

Pour parodier La Fontaine et son "le lièvre et la tortue", je dirai :
- Rien ne sert de pleurer après, faut "agir" avant de pleurer. -

En conséquence, je trouve malsain que ces "obèses" réclament de "son petit peuple", décence et receuillement en mémoire des victimes...
Parce que je me désintéresse du sort des victimes ? 
NON ! Le sort des victimes m'intéresse grandement.
Sauf, qu'à moi, il m'intéresse AVANT :
Il m'intéresse lorsqu'elles ne sont que des "victimes potentielles" afin qu'elles ne basculent pas au-delà de la "mesure potentielle" et ne se retrouvent ainsi qu'acculées à être considérées "victimes en devenir" pour enfin n'être que le décompte mutant de victimes en fin, condamnées à trépasser vers l'au-delà.
Comme "par fatalité". 
Si LA FATALITE existe, ce dont je ne suis pas sûr, vu que j'amais personne n'a été capable de me la présenter, ni de m'en dessiner son "portrait robot", Si LA FATALITE existe, disais-je, elle ne peut pas ressembler au sort rtéservé à des "victimes potentielles.

Qu'est-ce à dire ? 

Le risque est la potentialité la plus immanente de la Vie de l'Homme depuis la nuit des temps.
Vouloir éliminer les risques est une utopie. Que dis-je : utopie ? C'est une "abbération factuelle" : l'Homme ne peut pas vivre sans affronter LE risque.

Certes, avec l'Evolution, avec l'accroissement des connaissances, avec la maîtrise des savoirs, avec la dispensation de plus en plus répandue des enseignements, l'image des risques s'est affinée.
De même, quelques "modèles" de préventions face aux risques se sont "institués".
Et donc, dans la théorie tout au moins, l'Homme dispose d'éléments de "mesures du risque" qui lui permettent de s'auto-déterminer face aux risques et de se comporter en présence du danger subséquent.
Or, si les modèles existent, ce sont les méthodes d'exécutions de ces modèles, qui sont "stupides".
Face aux risques, il ne sert à rien de régenter et de contingenter l'Homme. Il ne sert à rien 

C'est sûr ! On ne peut pas "maîtriser" tous les risques. La preuve par l'exemple : 
A l'instant où je m'apprêtais à écrire la suite du ci-dessus "il ne sert à rien"...
Le réseau s'est planté sans prévenir : une vraie cata non maîtrisée ! 
Ceci dit, j'avais pris quelques mesures de préventions qui permirent que "tout ne sois pas perdu".
Au demeurant, cette petite catastrophe produite d'un défaut de maîtrise du risque connu, parce que si l'on ne peut prévoir exactement la survenance d'un "bug", on sait ce que cela produit comme conséquence... Et surtout, comment s'en prémunir...
Cependant, on y accorde que rarement l'importance qui convient pour toucher à "l'excellence"...
Dans mon cas présent, principalement parce que l'importance du risque contrevenant à ma volonté d'expression, n'étant en rien "mortelle", et que l'idée de cet article étant venue sous le "feu de l'Actu", je me suis épanché sans "mesurer le risque" de ma rédaction "directe en ligne".

Pour ce qui concerne l'actu, justement, Les risques de tempête et d'inondations en France sont bien répertoriés et leurs conséquences potentielles, parfaitement détaillées...
En revanche, ce qui ne l'est pas, ce sont les "mesures de sauvegardes face au danger imminent" qu'il convient de mettre préventivement en actions, qui ne le sont pas... 
Et par conséquences, les moyens d'interventions sont insuffisants, puisque "volontairement" non quantifier par l'absence des dites "mesures de sauvegardes face au danger imminent".

Attention ! Il n'est pas simplement question d'un quelconque ou banal décompte des Moyens de Secours et du nombre des "professionnels" formant leur corps.
D'ailleurs, la Sécurité Civile, ne compte pas que des "professionnels salariés" : elles compte majoritairement des "bénévoles".
Et potentiellement, chaque citoyen devrait être en mesure d'être "bénévole" de la Sécurité Civile.

Ainsi, si constitutionnellement, la Sécurité de l'Etat, est Affaire de l'Etat, elle est donc, autant affaire de tous les citoyens.
A la seule condition que la volonté de l'Etat mette en oeuvre la Politique convenable en matière de coordinations du management et de la gestion des risques et des dangers, visant à faciliter l'intervention coordonnées des Moyens collectifs et individuels.
Et je ne veux nullement parler de "Solidarité" : je parle de "connaissances" et de "compétences"

Quant au "fameux PPR", qui exitent bien pour une "immensité" de Risques, tels quels, il ne sont en rien des "plans" puisqu'ils ne comportent aucun "principe de planification"...
Et même pas le plus petit "principe de prévention". Alors, inutile de parler de "protection"... Parce que "naturellement", un Moyen de Protection ne peut exister que pour répondre à un pincipe de prévention.
Et aucune méthode de répression ne saurait être une mesure de protection.
Les fameux PPR, sont, tout au mieux, que des documents d'identifications de risques.
Et en établissent d'abord, la liste, puis lancent les procédures d'information et d'alerte à destination de l'Autorité Publique et des "personnes" situées à proximité de la "zone à risque"...
Et Basta !
La patate chaude balancée dans le camps du risque pour qu'il se démerde avec...

Mais où va-t-on ?

En tout cas, sur les 9 chapitres méthodologiques instutant "communément" un "principe de Prévention" qui se respecte : Information et Alerte n'en étant que les 1er et 5ème chapitre, le compte n'y est pas.

Quant à tout principe de Management et de Gestion des Risques et des Dangers, fondés sur l'évidente trilogie Prévention - Protection - Intervention, on est plus proche du néant que d'une apothéose !

Si vous le souhaitez, 
Questionnez et il vous sera répondu ! 

Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Sujets d'Etudes et de Réflexions
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Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 10:14

Et pas assez de temps pour le faire.
A moins que, ce soit banalement, parce que je suis compliquée.
Lorsque je fantasme "sexe", je pratique "sexe". Et, au plus je fantasme, au plus je pratique.
Inversement : au plus je pratique, au plus je fantasme.
S'ajoute à cela, d'extraordinaires opportunités. Si extraordinaires que mes fantasmes les plus fous n'auraient jamais pu les révéler.
Peut-être est-ce vrai : - la chance ne vient pas seule : il faut la provoquer. -
Toujours est-il que ce qui est indiscutable, c'est qu'il faut vouloir et savoir placer sa pensée dans une disposition et une disponibilité d'esprit favorables.
De plus, en matière de libertinage, il convient aussi d'ouvrir sa "morale" sur une large et vaste plage de possibles située ipso-facto hors des berges d'étangs (voire des margelles de bassins ridicules ) des "lieux communs" moralistes...  
Eh bien là, après m'être trouvée et retrouvée moi-même, je trouve tout le temps qui m'est nécessaire pour assumer et accomplir mes plaisirs.
Et même le temps pour en "fabriquer plus" si jamais il venait à m'en manquer.
Mais après ?
Après, j'ai besoin de garder la mémoire de ces instants : d'y retrouver les émotions vécues et d'en formaliser les sensations des plaisirs pris et partagés. Aussi bien avec mes amants et maîtresses qu'avec mon mari.
Et de tout cela, j'ai besoin de le transcrire en notes. Pour de multiples raisons d'ordre personnel que je ne désire pas vous révéler. Aussi, pour des raisons d'ordre professionnel à visée sociologique. Surtout pour respecter l'engagement que nous avons pris ensemble, mon mari et moi. Principalement parce que nous avons constaté que "se parler" ne suffisait pas dans l'équilibre de la vie de couple. Je dis bien : "se parler ne suffit pas". Cependant, "se parler" demeure indispensable. C'est ainsi qu'un jour, alors qu'il considérait ne pas parvenir à m'expliquer un "truc" ; alors que moi, je considérais que ce 'truc" n'avait pas d'importance, il décida de m'écrire ce "truc". A sa première lecture, c'est vrai, je n'y vis aucune intérêt pour moi. Mais le fait qu'il ait pris la peine de me l'écrire me laissa entendre que, pour lui, ce "truc" avait de l'importance. Donc, j'ai prêté plus d'attention à ce que je lisais. Je l'ai lu en oubliant volontairement "l'auteur" ; je l'ai lu comme si c'était n'importe quel auteur qui l'eût écrit. Dans cette posture face à l'écrit, et non plus face à l'auteur, vous place d'emblée dans un état d'esprit sans préjugé. Et, nous nous sommes aperçus que c'est très agréable. D'autant que ça offre l'avantage d'ouvrir de nouveaux sujets de discussions. Egalement, que c'est prodigieux en cas de mésentente, sur un sujet et/ou une décision et/ou de conflit larvé. C'est d'ailleurs à propos d'un désaccord entre nous ; à propos de ce "fameux truc" justement, qu'il décida de m'écrire ses raisons et ses suggestions. Et ainsi, nous avons décidé de nous écrire à tous propos.
Donc ? 
Les récits de nos expériences libertines sont au coeur de nos écrits,  
Mais voilà !
Je garde, de mes coutumes d'adolescente amplifiées par mes activités présentes et leurs obligations à devoir communiquer, la nécessité à noter par écrit tout ce que j'expérimente comme tout ce qui me plait; Surtout si ça me procure du plaisir.
Ce qui est exactement le cas aujourd'hui.
Or, lorsque je transcris le souvenir de tous les plaisirs sexuels vécus, me reviennent aussi les idées, les images, les situations, les réflexions qui en sont concomitantes.
C'est à la fois un besoin, disons : atavique, et un besoin pour mon équilibre psychologique du moment : ça m'apparaît utile à ma "reconstruction" venant après des années de latence et de doute...
Ainsi donc, à mon mari, j'écris mes "aventures" et mes expérimentations" en "primeur", du premier jet. Telles qu'au sortir des étreintes et effusions, le souvenir et les ressentis les excitent encore ; je les lui livre sous la forme de notes : de notes qui me permettent autant d'éviter les oublis que de formaliser la rédaction des textes que je vous offre...
En conséquences, vous, vous avez aussi à subir mes circonvolutions neuronales, le fond de mes pensées, parfois le fond de mes arrières-pensées, d'autrefois mes sautes d'humeur, et quelquefois mes jugements péremptoires, ma philosophie de boulevard, ma mauvaise foi de poissonnière... Remarquez ! Ceci est conforme à la "Vie Parisienne", si l'on veut bien remarquer que nombre de pièces de boulevard se jouent faubourg poissonnière et dans les "travées" avoisinantes.
Ceci étant dit, l'ordonnancement (pour parler énarque) des débordements de mes pensées, ça prend pas mal de temps, surtout si l'on souhaite respecter le mieux possible "l'art du romanesque", y soigner la "forme littéraire", y cultiver un certain suspens... Bref ! Jouer à l'écrivaine. Alors là,  cher(e)s ami(e)s, pfiouf ! Parfois, c'est "galère". Surtout avec les délais.
C'est la raison de ce "petit mot d'intermède"...
S'il vous plait, ne riez pas à propos de la longueur du "petit mot" : mon mari en rit suffisamment, lui...
Toutefois, s'il advient que mes récits vous intéressent un peu, il faudra accepter de les lire à mon rythme... Parce qu'il est hors de question, surtout en cette période de "prise de plaisirs" (à l'image de la prise de bénéfices des spéculateurs) que je mise plus sur les récits de mes débordements sexuels que sur le temps que je mise à les vivre.

A bon entendeur, Je vous BISE bien !

Erica

Par Pateric - Publié dans : Réflexions - Communauté : Des Fantasmes par la Langue
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  • : 28/01/2009

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